- colimasson a écrit:
Je t'envie ! c'est quoi ce bouquin, il a été édité ou tu l'as chopé par mégarde ?
Comme je l'avais écrit, ce bouquin s'intitule La marche du prince, de Lilian Vezin. Je l'ai emprunté à la bibliothèque, visiblement l'auteur est breton (du Finistère), ce qui explique sûrement sa présence. L'éditeur s'appelle Vent du large, mais quand on va sur le site, il n'édite en fait que les livres et documentaires de cet auteur.
J'en suis arrivée à 6 fautes sur une page, je ne compte plus les erreurs grammaticales. Je n'ai corrigé que l'orthographe sur le livre (il est à la bibli) et les erreurs de syntaxe grossières, mais j'aurais aimé rectifier les tournures de phrase plus qu'hasardeuses. C'est fou quand même, il n'a trouvé personne pour le relire correctement ? Quand on se pique d'éditer un ouvrage et de le faire payer 20€, on respecte son lecteur un minimum !
Tu veux d'autres perles ?
Je vous est apporté mes diplômes…
Les drapeaux de prière exposent les pêchés des hommes...
Des personnes que nous avons du croisées dans les rues…
Le rythme de ses pas se confonde avec les bruits matinaux…
L'énergie les purifient et les renforcent…
Et les phrases bancales (fautes incluses)
Chaque aurore nous amène un peu plus vers une liberté qui s'approprie lentement en notre conscience.
Nous voulons jouir de notre liberté d'autonomie jusqu'au bout de notre route...
Les épices et les condiments font parties intégrantes de la cuisine asiatique et rentre dans la base d'une multitude de composition dans les soins ayurvédiques. (siiiiiic !)
Le plus dur c'est le manque d'intimité flagrante dont nous avons à faire face.
Au beau milieu, je constate avec horreur que Lucylle me suis à talon, juste à mes fesses.
Les grandes demeures décrépitent par un climat acariâtre et un manque d'entretien flagrant offrent à la ville une illusion surannée.
Il nous suffit de suivre le lit des torrents de source glaciaire et la Ranipul qui borde en contrebas de la ville prend sa source à Tsomgo Lake.
A l'entrée du sanctuaire, nous pénétrons un petit chorten
enfermant un énorme moulin à prières.
Un vent violent balance la passerelle (…), elle se meut dangereusement et fait des "S" sous les violentes rafales qui l'assagissent…
Et enfin, je ne retrouve pas la phrase, mais je me souviens de mets épicés qui raffolent ses papilles… C'est du même acabit que les inventions ingénues ou les sommes exubérantes...