Cinéma-jeu [INDEX dans le premier message]

Bonne réponse animal, il fallait en effet reconnaitre le motif des saisons, avec leurs couleurs caractéristiques. Et l'errance des amants....
Un film qui m'avait beaucoup ému à l'époque, mais je ne l'ai pas revu depuis sa sortie.

je l'ai vu deux fois je crois bien. la deuxième photo m'a fait penser japon, la troisième m'a beaucoup mis la puce à l'oreille et le motif des deux silhouettes s'est recomposé avec la première !

bon souvenir aussi de ce film, à essayer de revoir ?

il faut maintenant que j'évite d'oublier de vous trouver la prochaine énigme...

hop, enfin le temps de relancer :

Humpf !

Métro ?? Bibliothèque Nationale de France ?? L'Amérique ????

suspens ! surtout que je ne sais pas où j'ai fourré le disque pour extraire une nouvelle image...

(mais ce n'est pas la BNF).

un indice supplémentaire très énigmatique ?

Fantastique? Science-fiction proche ?

pas du tout.

nouvelle image :

avec un type qui s'appelle Clint Eastwood ??

héhé non, ce n'est pas lui, c'est un autre, qui a aussi pas mal porté les flingues c'est vrai. c'est lui aussi sur la première image, ils n'ont pas la même gestuel et pas tout à fait les mêmes carrières non plus mais c'est un type très connu bien que trop souvent dans l'ombre ?

en tout cas dans ce film pas facile de trouver des images où il n'apparaît pas.

oups, il est temps de sortir les gros indices :

Lee Marvin ?
Après recherches, je penche pour "Le point de non-retour" de John Boorman
(Dis-donc, ça zigouille sec dans la bande-annonce !)

c'est bien ça !

plus que le zigouillage c'est l'ambiance bizarre avec des flashbacks récurrents et à tendances hallucinatoires qui travaille. et ça regorge d'images comme cette dernière où ça joue de couleurs, d'oppositions et de divergences.

pour la violence on peut relever la citations suivante sur la wikipage :

Angie Dickinson, en 1996, dira : « On a reproché sa violence au film, mais si vous regardez bien, le personnage de Lee Marvin ne tue personne, sauf une voiture et un lit. Il catalyse la violence, il ne la commet pas. »

Hop, on remet ça :