Nos lectures d'août 2015

shanidar a écrit:

pia a écrit:

Commencé à côté d’autres choses dont vous ne voulez pas entendre parler Katerina de Aharon Appelfeld. Il me tient en haleine, c’est merveilleux. Mais dur.

Il y a des livres dont on ne doit pas parler ?? (tu lis 50 nuances de grey, pia ?? ou j'ai loupé quelque chose ??) !

GrandGousierGuerin a écrit:

bix229 a écrit:

Trois G, "l' imagination la plus forte, voilà la seule réalité", ce n' est pas un précepte, mais une vocation et un refuge.
Tout comme le vers de Juarroz  que j' ai choisi.
ça ne marche pas à tous les coups, et c' est dommage !

Je persiste ... Je ne suis pas très friand de ces slogans dont le laconisme afin de rassembler au maximum se révèle au final vide ...
Mais sur le fond, je suis pour une imagination débordante. Pas de souci. Faut juste l'exprimer différemment car cela me défrise  


Sinon je commence La Puissance et la Gloire de Graham Greene

Tirées du contexte, ces phrases peuvent paraitre vides. Mais pour moi, elles sont vraiment très parlantes.
Je reconnais que c' est subjectif et qu' il m' a fallu des années pour condenser ce que savais sans pouvoir le formuler.
Mais je n' ai pas envie de cévelopper. Est acquis ce qu' on reconnait soi-même.

bix229 a écrit:

GrandGousierGuerin a écrit:

bix229 a écrit:

Trois G, "l' imagination la plus forte, voilà la seule réalité", ce n' est pas un précepte, mais une vocation et un refuge.
Tout comme le vers de Juarroz  que j' ai choisi.
ça ne marche pas à tous les coups, et c' est dommage !

Je persiste ... Je ne suis pas très friand de ces slogans dont le laconisme afin de rassembler au maximum se révèle au final vide ...
Mais sur le fond, je suis pour une imagination débordante. Pas de souci. Faut juste l'exprimer différemment car cela me défrise  


Sinon je commence La Puissance et la Gloire de Graham Greene

Tirées du contexte, ces phrases peuvent paraitre vides. Mais pour moi, elles sont vraiment très parlantes.
Je reconnais que c' est subjectif et qu' il m' a fallu des années pour condenser ce que savais sans pouvoir le formuler.
Mais je n' ai pas envie de cévelopper. Est acquis ce qu' on reconnait soi-même.

Ben oui. On ne va pas se fâcher pour si peu, non ?

GrandGousierGuerin a écrit:

Sinon je commence La Puissance et la Gloire de Graham Greene

Il m'avait très heureusement surprise, celui-là. Il faudrait que j'y revienne, à Graham Greene, d’ailleurs.

Je commence "la première femme nue" de Christophe Bouquerel. Je ne sais pas si j'ira très loin... 1193 pages, c'est écrit tout petit et le livre est très lourd...

uolav a écrit:

le livre est très lourd...

1,100 kilo... il aurait gagné à être sur ma liseuse...

La trilogie pas fatigante des Neshov d'Anne B. Ragde, Réparer les Vivants de Maylis de Kérangal, et en parallèle j'avance doucement mais sûrement dans Le Roi Lear de Shakespeare que je tiens à finir avant le spectacle prévu pour octobre.

J'essaie de caser un max de livres avant la rentrée parce qu'après.....

uolav a écrit:

Je commence "la première femme nue" de Christophe Bouquerel. Je ne sais pas si j'ira très loin... 1193 pages, c'est écrit tout petit et le livre est très lourd...

Tout ça pour une femme nue ? !  Il (l' auteur) aurait pu commencer par l' effeuiller, ça faisait long pour un effeuillage, mais bon...

églantine a écrit:

Echapper : Lionel Duroy

Déçue .
Il est difficile quelquefois d'Echapper à ses blessures narcissiques ....Lionel Duroy n'y parvient pas malgré une excellente idée  de base , celle de poursuivre le livre de Lenz consacré à Emil Nolde au travers de son imaginaire à lui ,en se rendant sur les lieux de vie qui ont nourri la créativité de l'artiste .
Néanmoins , complètement habité par "La leçon d'allemand" , pur chef-d'oeuvre , il a su retranscrire une atmosphère . Ce qui est déjà pas mal .
Dommage que son ego soit autant souffreteux : c'est un peu agaçant .

Mais bon ....Juste un avis . d'un moment .

Il n'a pas su déposer sa hargne, Lionel Duroy, c'est l'impression que j'avais eue avec Le chagrin.

Je vais lire Horace, histoire de voir si Corneille mérite tant de louanges! (mes souvenirs du Cid c'est vieux!!)

Fairyland (Alysia Abbott)

Je suis dans Le Zen (collection Que sais-je ; citons la page 57 : "Comprendre que le zen est incompréhensible, c'est déjà faire un pas vers la vérité") et dans Journal d'un apprenti moine zen, de Satô Giei (avec des dessins de l'auteur).