Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Enrique Vila-Matas [Espagne]

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shanidar
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MessageSujet: Re: Enrique Vila-Matas [Espagne]   Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 EmptyLun 19 Aoû 2013 - 9:52

Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 Enfant10 Enfants sans enfants

NATATION

L'Allemagne a déclaré la guerre à la Russie. Cet après-midi je suis aller nager.

Journal de Franz KAFKA, 2 août 1914.


C'est ainsi que débute ce recueil de nouvelles d'Enrique Vila-Matas, un recueil dédié à tous les amateurs de natation et à Kafka, bien sur.
La première nouvelle d'ailleurs, explique les raisons des différents récits :

Le livre contient quarante et un textes brefs, - quarante et un, l'âge de Kafka quand il est mort au sanatorium de Kierling (…), [textes] dans lesquels je fais sciemment allusion à la vie de l'écrivain tchèque, l'enfant sans enfants par excellence. Le lecteur pourra s'il le souhaite, s'amuser à découvrir les citations (…).

Au-delà des jeux de citations (pas toujours évidentes), on découvre aussi une atmosphère assez étrange puisque tous les évènements relatés dans les nouvelles se déroulent en Espagne mais font toujours référence à Prague ou directement à Kafka (et son visage de chauve-souris).
Le lecteur s'amusera à reconnaitre certaines tentations (une moustiquaire se prenant pour un écrivain, un narrateur s'imaginant en coléoptère, un ancien séminariste en quête du nom secret de Saragosse, une promenade comme une lettre au père…), des éléments qui font immédiatement penser à l'univers de Kafka et si comme bien souvent pour moi la relation de l'un à l'autre ne saute pas aux yeux, il aura tout de même le plaisir de découvrir l'atmosphère noire, maladive, inquiétante de ces nouvelles traitant de filiation et de reconnaissance .

Au-delà des références utilisées de façon à la fois ludique et étrange voire bizarre, les nouvelles d'Enrique Vila-Matas peuvent se lire indépendamment de notre connaissance de l'auteur praguois et le lecteur y retrouvera la limpidité du style de l'espagnol, son sens de la narration et de l'intrigue et quelques moments assez délicieusement décalés.


Cependant je n'ai pas été complètement séduite par ces textes brefs. Sans doute parce que par nature je suis assez hermétique à certains auteurs de nouvelles hispaniques (je pense à Bolaño, en particulier) qui me déroutent beaucoup et dont je n'arrive jamais à percer vraiment la raison d'être ou la nécessité (à l'inverse des auteurs de nouvelles d'Europe Centrale ou de l'Est dont j'apprécie tout particulièrement l'ironie et l'humour absurde…).

Et maintenant Le Dr Pasavento, m'attend !
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GrandGousierGuerin
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MessageSujet: Re: Enrique Vila-Matas [Espagne]   Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 EmptyLun 19 Aoû 2013 - 11:20

mdr2 On nage en plein délire
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MessageSujet: Re: Enrique Vila-Matas [Espagne]   Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 EmptyMar 20 Aoû 2013 - 12:51

Tu t'es plongé dans un livre loufoque Shanidar ! Le Docteur Pasavento est un peu plus classique, bonne lecture.

GrandGousierGuerin a écrit:
Abrégé d’histoire de la littérature portative

Loufoque et ludique.
Où les pérégrinations d’écrivains plus oubliés que connus au sectarisme universaliste, se fondant sur une lecture approfondie des œuvres, tressant les particularismes et coïncidences dans des mouvements, pensées où le portatif est un kaléidoscope dont les couleurs donneraient une jaunisse-rougeole à un caméléon. Et on se délecte ou on s’interroge devant Crowley dansant la gigue, Céline en traître par vocation, Meyrink accompagné de petits génies gigogne de compagnie. A vous de vous faire laisser porter ou, qui sait, transporter par Vila-Matas et de découvrir et redécouvrir des auteurs selon une trame macérée aux essences loufoques et ludiques. Une lecture qui donne faim d’autres lectures.

Pour ma part, j’ai rajouté à ma LAL Meyrink et Blanchot !
C'est très tentant... à lire le jour où je ne voudrais plus être raisonnable ! Very Happy
(Meyrink et Blanchot pour cet Abrégé, après Walser et Bove pour Pasavento...)
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MessageSujet: Re: Enrique Vila-Matas [Espagne]   Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 EmptyLun 16 Sep 2013 - 12:01

Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 Vila_m10 Dr Pasavento
 



Thème majeur, obsession récurrente, implacable manie, Enrique Vila-Matas est prisonnier de l'idée fixe de la disparition.

En se cachant derrière l'identité d'Andrès Pasavento, écrivain de son état et en proie à l'angoissante obsession de la disparition, Vila-Matas brouille les pistes d'un jeu qui met en scène réalité, vérité et fiction.

Partant pour Séville et rattrapé par cette idée qui le taraude, Pasavento n'arrivera jamais à son rendez-vous et reviendra à Barcelone, mettre dans une mallette rouge quelques effets personnels et des livres. Une minuscule bibliothèque portative dans laquelle se trouve entre autre une biographie de Sylvia Plath (suicidée).
Car ce n'est pas seulement sa propre disparition qui l'obsède, mais surtout celle de ceux qui comme lui firent de leur vie une écriture.

Obsédé par la figure emblématique de Robert Walser : enfermé dans un asile qui le rendra muet pendant 23 ans, ainsi que par Hölderlin (enfermé dans une tour) et qui tout deux cessèrent de produire de l'écrit ; Pasavento évoque également l'image d'un Kafka désireux de voir sa production détruite après sa mort ou encore les ombres américaines de Salinger ou Pynchon, qui continuèrent à écrire mais dans l'anonymat.

Cependant, le maitre dans l'art de la disparition est bien Walser qui voulait devenir moins que zéro, qui renonça avec bonheur si ce n'est à la célébrité au moins à la reconnaissance et qui se tut durant 23 longues années, qu'il passa à arpenter les neiges entourant l'asile psychiatrique dans lequel il tentait de se faire définitivement oublier.

La figure à la fois lumineuse et pleine de ténèbres de l'écrivain suisse, sert de fil conducteur aux agissements et aux réflexions de Pasavento.

Qui désirant à son tour disparaitre, s'enfuit à Naples et se fait passer pour un psychiatre retiré.

Mais pour que la disparition est un sens, il faut qu'elle soit reconnue par les autres. Or, Pasavento disparait sans que personne ne s'en rende compte, sans que personne ne parte à sa recherche.

Cette constatation (faite après avoir fuit Naples, où un ancien brillant professeur, lui-même interné dans un asile, rend fou notre narrateur) va plonger Pasavento dans les affres d'une angoisse indescriptible et outrancière, en un mot paranoïaque.

Pasavento se réfugie à Paris, rue Vaneau et va construire toute une mythologie autour de la disparition du sujet, centrée sur cette rue qui a hébergé Gide, Marx, Saint-Exupéry et quelques autres et qui abrite l'ambassade de Syrie et l'hôtel de Suède. Travaillant par analogie, Pasavento perd son statut d'écrivain pour devenir écrivant, relatant par le menu les élucubrations de son cerveau en ébullition, tiraillé par les coïncidences, trouvant dans l'écriture du quotidien  le seul échappatoire à son marasme psychologique. C'est alors que la solitude, le silence et l'exil peuvent rendre fou un homme. C'est alors que le réel (mais quel réel ?) prend évidemment pour l'homme disparu une autre dimension, bien plus riche, bien plus intense et bien plus torturante que pour le commun des mortels.

Et puis la rue Vaneau est pour le narrateur à travers les différents immeubles la bordant, comme un chemin de croix bordé par des stations qui permettent de se raconter et de raconter toujours et encore des histoires parallèles qui finissent par former un grand tout.

Alors, puisque personne ne se rend compte de sa disparition, Pasavento s'invente une troisième identité, sorte de démon malicieux, qui sous le nom de Dr Ingravello va le maltraiter au point de le mettre physiquement et psychologiquement fortement en danger.

La fuite n'en finit plus et seules les mêmes images attachées à des lieux viennent poser des bornes dans le récit : asile psychiatrique, hôtel, jardin, pharmacie, aéroport sont des repères dans un récit haletant, biscornu et fascinant.

 Fascinant, parce que Vila-Matas (contrairement à ce que semble dire le narrateur) est loin d'être fou et qu'il sait très bien où la disparition volontaire de son héros va le conduire. Chaque élément (la Patagonie, la littérature, les lieux) ne sont jamais choisis au hasard mais tissent des liens qui forment un tout compact, extraordinairement lisible et envoûtant.

J'ai, comme à chaque fois avec Vila-Matas, l'impression d'être brinquebalée dans un récit chaotique qui finalement s'avère parfaitement maitrisé et qui se servant magistralement des ressorts de la littérature (du jeu ébouriffant entre réalité et fiction) parvient à être à la fois profondément didactique, poétique et narratif.

Trois qualités qui me rendent Vila-Matas attachant, nébuleux, érudit et attirant...    

A noter pour finir, la beauté irradiante de la dernière page, alors que, acceptant non pas le dédoublement de l'identité mais bien le doublement de l'être (le personnage vivant sa vie tout en vivant celle de son double et inversement), le Dr Pasavento finit par trouver doublement le moyen de 'vivre à l'écart'.

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MessageSujet: Re: Enrique Vila-Matas [Espagne]   Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 EmptyLun 16 Sep 2013 - 12:31

@Shanidar : respect bravo 
Plus le choix ... Dans ma LAL donc ...
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MessageSujet: Re: Enrique Vila-Matas [Espagne]   Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 EmptyMar 26 Mai 2015 - 21:03

Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 Vila-m10
Photographié à Montjuïc (Barcelone), le 15/05/2015.

- Perdre des théories (Perder teorias, 2010). Traduit de l'espagnol par André Gabastou. Christian Bourgois éditeur. 63 pages.
Un écrivain barcelonais, le double d'Enrique Vila-Matas, est invité à Lyon pour une causerie.
Citation :
"Je suis allé à Lyon parce qu'une organisation nommée Villa Fondebrider m'avait invité à participer à une causerie sur les relations entre la fiction et la réalité programmée dans des Rencontres internationales de littérature. J'ai accepté parce que je n'y étais jamais allé et que j'avais envie de connaître la ville. En plus, participaient à ce symposium John Banville et Rick Moody, deux de mes écrivains préférés. Quant aux relations entre la fiction et la réalité, sujet de plus en plus rebattu, j'avais déjà écrit sur ce thème un nombre infini de fois, sous les formes les plus variées, et il me semblait que le temps était arrivé de définir une bonne fois pour toutes, malgré ma méfiance, une position ferme." (pages 7-8 ).
Mais personne n'est à l'aéroport pour l'accueillir. Il va à son hôtel. Personne ne l'y attend non plus. Il va dans sa chambre et se demande ce qu'il doit faire. L'a-t-on oublié ? Va-t-on venir le chercher ? et si oui, quand ? Doit-il vraiment intervenir le lendemain... On est dans un monde qui vire à l'absurde.
Finalement, il va se promener un peu. Il parle (dans sa tête) de Gracq, de Rimbaud, Richard Francis Burton (fil ici), Charles Simic ("Chez Simic, l'imagination ne nous éloigne pas de la réalité, elle est la clé qui nous permet d'accéder à la carte de nos murs intérieurs", page 38), Elizabeth Smart (à propos de son livre À la hauteur de Grand Central Station je me suis assise et j'ai pleuré, il écrit : "[...] l'un de ses charmes est d'avoir été pionnier dans un procédé que j'apprécie, consistant à faire du texte une machine de citations littéraires aidant à créer des sens différents.", page 39), Roberto Arlt (fil ici), Javier Marías, Kafka...

Il se pose des questions existentielles.
Citation :
"Je me suis souvenu d'une note de Kafka : « Il y a des questions que nous ne réussirions jamais à laisser dans notre sillage si nous ne nous étions pas naturellement libérés d'elles. » Je ne savais pas très bien ce qu'avait voulu dire Kafka mais ses mots m'ont servi à me libérer de ma question. Ainsi qu'à me libérer de tout. C'est une phrase extraordinaire, qui aide. Peut-être montre-t-elle que les phrases que nous ne comprenons pas peuvent nous aider beaucoup plus que celles que nous comprenons parfaitement." (page 25).
Il faut faire attention à toutes ces références, car le narrateur parle lui-même de "l'invasion de mes textes par des citations littéraires totalement inventées, s'entremêlant aux vraies." (page 37).
Perdre des théories est un petit texte post-moderne traitant finalement du sujet même qui a amené notre écrivain à Lyon : une causerie sur la fiction, la réalité, la réalité de la fiction, les citations - inventées ou non - et ce qu'on peut en faire... Mais aussi d'autres sujets, tels que : les théories sur le roman se suffisent-elles à elles-mêmes ou faut-il les mettre en pratique ?

C'est ludique et pas désagréable du tout. Reste à savoir si Vila-Matas parvient à maintenir l'intérêt du lecteur sur une durée plus longue que ces 63 petites pages...
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MessageSujet: Re: Enrique Vila-Matas [Espagne]   Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 EmptyDim 4 Sep 2016 - 12:22

Suicides exemplaires

On ne le dira jamais assez, non seulement Vila-Matas est un immense connaisseur de la littérature mondiale mais c'est en plus un conteur de génie.

Il le démontre une nouvelle fois dans ce recueils de douze textes (le premier et le dernier étant très courts), passant en revue différentes formes de suicides ou de tentations du suicide. Sans jamais être morbide, ni faire l'apologie de la fin de vie (certains personnages renonçant même à la mort volontaire pour retrouver la médiocrité de leur existence), Vila-Matas propose à la fois des textes drôles et des textes qui abordent les motifs qui marquent son répertoire : la disparition par l'effacement, la folie ou sa simulation, le doublement de personnages auxquels il ajoute l'idée que la mort ou l'idée même de la mort (possible, envisageable, rêvée) apporte cette plénitude dont la vie s'absente. Comme si la course effrénée des êtres ou leur banale fixité ne leur permettaient aucun des plaisirs simples que la plénitude (celle qui précède la fin) apporte.

Se jouant des codes narratifs, Vila-Matas fait se rencontrer les vivants et les morts, les vagabonds et les aristocrates, les blancs et les noirs, les espagnols et les cubains dans des récits qui ont le goût de l'inattendu, de l'irréel et d'une sensibilité particulière aux objets qui nous entourent.

Rafraîchissant.
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MessageSujet: Re: Enrique Vila-Matas [Espagne]   Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 EmptyDim 4 Sep 2016 - 14:17

Merci Shanidar tu m'appètes à le lire miammiam
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MessageSujet: Re: Enrique Vila-Matas [Espagne]   Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 EmptyDim 4 Sep 2016 - 16:11

jamais lu cet auteur , je suis un peu tiède (!?)
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MessageSujet: Re: Enrique Vila-Matas [Espagne]   Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 EmptyDim 4 Sep 2016 - 16:14

Chamaco a écrit:
Merci Shanidar tu m'appètes à le lire miammiam
J'ai du relire ta phrase 2 fois. Je ne savais pas qu'on pouvait conjuguer le verbe appéter! Ça sonne rigolo.
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MessageSujet: Re: Enrique Vila-Matas [Espagne]   Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 EmptyDim 4 Sep 2016 - 16:19

Marko a écrit:
Chamaco a écrit:
Merci Shanidar tu m'appètes à le lire miammiam
J'ai du relire ta phrase 2 fois. Je ne savais pas qu'on pouvait conjuguer le verbe appéter! Ça sonne rigolo.

héhé Very Happy , c'est vrai il se conjugue mdr2

Passé simple
j'appétai
tu appétas
il appéta
nous appétâmes
vous appétâtes
ils appétèrent

Futur simple
j'appéterai
tu appéteras
il appétera
nous appéterons
vous appéterez
ils appéteront
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MessageSujet: Re: Enrique Vila-Matas [Espagne]   Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 EmptyDim 4 Sep 2016 - 17:10

Marko a écrit:
Chamaco a écrit:
Merci Shanidar tu m'appètes à le lire miammiam
J'ai du relire ta phrase 2 fois. Je ne savais pas qu'on pouvait conjuguer le verbe appéter! Ça sonne rigolo.
Facétieux Chamaco . dentsblanches
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MessageSujet: Re: Enrique Vila-Matas [Espagne]   Enrique Vila-Matas [Espagne] - Page 4 EmptyDim 4 Sep 2016 - 17:14

en d'autres temps j'aurais été fou du roi
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