Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Setouchi Jakuchô

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Sophie
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Sophie


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MessageSujet: Setouchi Jakuchô   Setouchi Jakuchô EmptyJeu 22 Nov 2007 - 21:06

Setouchi Jakuchô Lwf310

LA FIN DE L'ETE
Tomoko aime Shingo mais aussi Ryota.
Plus précisément, Tomoko est une femme de 40 ans, Shingo est marié et a une dizaine d'années de plus qu'elle, tandis que Ryota, à la limite de la clochardisation, est plus jeune. Tomoko se partage entre ses deux hommes sans se cacher puisqu'ils sont au courant de cette liaison à trois et en plus la cautionnent. Déjà là, j'ai du mal.
La femme de Shingo est plus ou moins au courant de l'adultère de son mari, mais Tomoko, elle, aimerait beaucoup la rencontrer pour savoir ce qu'elle en pense. Soit...
Cerise sur le gâteau: Tomoko préfère Shingo à Ryota mais les plaque tous les deux, tout en continuant à les voir, surtout Shingo.
Là, j'avoue que je ne suis plus, je n'y arrive plus. Au final,Tomoko se retrouve seule ou presque.

Ceci est un roman autobiographique, écrit en 1962 et ayant fait scandale à sa sortie au Japon. Or, c'est très chaste, rien de choquant dans ces pages, du moins en 2007. Mais cette relation à trois m'a fatiguée; ces jeux à la "je t'aime moi non plus", je n'y suis pas sensible. Pour moi, on n'aime ou on n'aime pas et on ne se complique pas la vie qui l'est déjà pas mal sans en ajouter.
Tomoko m'a énervée: c'est quoi ce comportement? Toujours indécise mais menant ses hommes par le bout du nez, souhaitant être discrète mais espérant bien que l'officielle de Shingo est au courant. Elle voulait le beurre, l'argent du beurre et la crémière (le crémier dans son cas), et bien elle n'aura rien!

SETOUCHI Jakuchô, en 1973, se fait nonne bouddhiste: elle a bien fait, car elle n'était visiblement pas faite pour les relations amoureuses, en out cas pas les plus simples.
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MessageSujet: Re: Setouchi Jakuchô   Setouchi Jakuchô EmptyJeu 22 Nov 2007 - 21:08

Née en 1922 dans la préfecture de Tokushima, Setouchi Harumi est diplômée de l'Université Chrétienne de Jeunes Filles de Tôkyô.

En 1960 elle publia une biographie de la féministe Tamura Toshiko pour laquelle elle reçut le premier prix Tamura Toshiko.

En 1973 elle devient nonne Bouddhiste et change de nom de plume : Setouchi Jakuchō.

De 1996 à 1998 elle publia en 10 volumes une version en japonais moderne du Genji monogatari.
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MessageSujet: Re: Setouchi Jakuchô   Setouchi Jakuchô EmptyJeu 22 Nov 2007 - 21:45

J'ai eu tout à fait la même impression que toi Sophie, et ai trouvé le personnage de Tomoko assez exaspérant, et à bien y réfléchir...tous les personnages! Cela m'arrive rarement d'avoir la dent dure avec un roman japonais, mais alors là, quel ennui... bailler


Je me permets de poster ma note de lecture de l'époque.

Ce court roman de Setouchi Jakuchô ne me laissera pas un souvenir impérissable. Non pas parce qu'il est bien sage pour un ouvrage qui a fait scandale (sa publication valut à son auteur la réputation de "romancière pornographe"). Car replaçons les choses dans leur contexte... En 1963, au Japon, les moeurs plutôt libres et le mode de vie du personnage central, Tomoko ont en effet de quoi choquer. Indépendante financièrement, divorcée, cette femme de 38 ans navigue entre deux hommes. Shingo, un quinquagénaire,dont elle est la maîtresse officielle depuis 8 ans, et Ryota, plus jeune qu'elle, qui fut son amant autrefois et pour qui elle quitta son mari. Vous suivez?
Ce qui est profondément ennuyeux dans La Fin de l'été, ce n'est pas l'absence de scènes torrides mais le manque de charisme des personnages et le peu de crédibilité des sentiments qu'ils éprouvent. Ce qui est embêtant, pour un roman psychologique...
On n'arrive pas à s'intéresser, à défaut de les comprendre, aux "mouvements chaotiques du coeur de Tomoko" (dixit la 4e de couv), femme passionnée et sensuelle, dont ledit coeur balance entre deux hommes aussi antipathiques l'un que l'autre. Ses scènes, ses cris, atermoiements et revirements (je pars? je reste?) se brisent sur eux comme sur une muraille molle. Et tout au plus éprouve t'on une vague compassion pour cette pauvre Tomoko, enlisée dans une telle situation...
Ce n'est pas "tempête sous un crâne" mais tempête dans un verre d'eau tiède (du robinet).
Comme Setouchi n'est pas Tanizaki, rien de troublant ou d'ambigu dans l'étude de ces triangles amoureux (Tomoko et ses deux amants, Shingo et ses deux femmes) . Au lieu de cela, l' analyse psychologique est alourdie de commentaires inutiles ( "Elle aimait encore Shingo. et son comportement la désespérait, incapable qu'elle aurait été d'en apporter la moindre justification aux deux hommes. Elle pouvait perdre Ryota mais une vie sans Shingo lui était inimaginable") et d'une redondance systématique.
Comme si le lecteur au cuir épais (et donc insensible aux mouvements chaotiques du coeur) n'avait pas bien tout compris, et que l'auteur se croyait obligée de résumer clairement la situation toutes les 2 pages.
Amateur de style elliptique, passe ton chemin.
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MessageSujet: Re: Setouchi Jakuchô   Setouchi Jakuchô EmptyJeu 22 Nov 2007 - 21:57

Sophie a écrit:

Setouchi Jakuchô, en 1973, se fait nonne bouddhiste: elle a bien fait, car elle n'était visiblement pas faite pour les relations amoureuses, en out cas pas les plus simples.

Dans l'émission Carnet nomade,(France Culture), consacrée à Kyôto, un des intervenants disait de Setouchi qu'elle était "devenue moine comme on pouvait entrer en retraite ou dans une abbaye dans les romans libertins du 18e siècle".

Voici un extrait de l'interview qu'elle avait donnée à cette occasion à Colette Fellous, accompagnée du romancier Hirano Keiichirô.

Colette Fellous: Comment les voyez-vous aujourd'hui, tous ces romans que vous avez écrits, qui ont scandalisé à un moment... ces romans érotiques, on peut dire...?

Setouchi Jakuchô: Oui, c'est vrai, quand je relis mes oeuvres de jeunesse maintenant, je me dis que c'était finalement beaucoup de bruit pour pas grand-chose, et en particulier ma première oeuvre qui s'appelait Kashin. C'est un mot chinois qui signifie "utérus". Je l'ai utilisé pour ne pas utiliser directement le mot japonais. Mais en dépit de ce truc, les critiques ont été impitoyables. Il y a même un critique qui est allé jusqu'à compter le nombre de fois où le mot kashin apparaissait dans le livre et suite à ça il a écrit une critique des plus incendiaires. Et moi, bien entendu, j'ai été très touchée et ça m'a mis aussi en colère.

Hirano Keiichirô: Moi, j'aime beaucoup cette première oeuvre, Kashin, et il ne faut pas oublier qu'elle a été publiée à une époque où les gens étaient encore très conservateurs et on ne parlait pas encore des problèmes des femmes comme on en parle aujourd'hui. Donc à mon avis, Kashin est une oeuvre courageuse qui a abordé un thème de plein-pied et qui a provoqué un scandale. Mais je pense que c'est le rôle d'un écrivain que de parler des problèmes de la société. Et quoiqu'il en soit, cette oeuvre est devenue maintenant quasiment légendaire.

Setouchi Jakuchô: On parle de ma première oeuvre, mais la sienne, Takasegawa (1), à mon avis, c'est pire. Mais lui n'a pas été critiqué et il a même reçu le prix Akutagawa(2) à l'âge de 23 ans! Et à propos du prix Akutagawa, cette année il a été remis à deux jeunes filles qui ont respectivement 18 et 19 ans (3). Et leurs oeuvres sont très extrêmes, elles parlent de sexe de manière très très crue. et elles n'ont pas été critiquées, bien au contraire elles ont été même encensées. Quand je vois ça, eh bien, je me dis que les temps ont changé. (rires)

© Radio France

(1) La Rivière Takase, recueil de nouvelles de Hirano Keiichirô, 2003, inédit en France.
(2) le Goncourt japonais . Hirano l'a reçu en 1998 pour L'Eclipse.
(3) en 2003, Wataya Risa (Appel du pied) et Kanehara Hitomi (Serpents et Piercings)
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MessageSujet: Re: Setouchi Jakuchô   Setouchi Jakuchô EmptyVen 23 Nov 2007 - 4:22

Nezumi a écrit:
J'ai eu tout à fait la même impression que toi Sophie, et ai trouvé le personnage de Tomoko assez exaspérant, et à bien y réfléchir...tous les personnages! Cela m'arrive rarement d'avoir la dent dure avec un roman japonais, mais alors là, quel ennui... bailler

Tout pareil; tous les romans japonais que j'ai lus (c'est-à-dire peu) m'ont plu par leur côté décalé, et original.
Là, effectivement, les eprsonnages (réels en plus) sont énervants, indécis et mous.
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MessageSujet: Re: Setouchi Jakuchô   Setouchi Jakuchô EmptySam 24 Nov 2007 - 12:57

Pareil aussi ; les personnages m'ont presque autant énervé que ceux de Manon Lescaut...

Le livre a beau ne pas être très long, il en paraît dix fois plus à la lecture, il a une capacité incroyable à dilater le temps... A ne pas lire dans les transports, donc !
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MessageSujet: Re: Setouchi Jakuchô   Setouchi Jakuchô EmptyMer 25 Nov 2009 - 16:54

Où Setouchi refait parler d'elle:

Citation :
Ecrivain subversive devenue bonzesse, Jakucho Setouchi a inventé un secret qui a passionné 6 millions de Japonais via...leur téléphone portable.

La suite dans un grand article du Télérama du 28/11 au 04/12 p.26

Spoiler:
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MessageSujet: Re: Setouchi Jakuchô   Setouchi Jakuchô EmptyMer 25 Nov 2009 - 21:26

Je profite de l'article de Télérama de cette semaine, mentionné par Nezumi, pour copier/coller une critique que j'avais écrite il y a un certain temps (en novembre 2005 ! ce que ça file...)
Cela peut vous faire gagner du temps, et en me relisant, je m'aperçois avec surprise qu'il m'arrive parfois d'être un peu acerbe.

La Fin de l'Eté (natsu no owari, 180 pages, Picquier poche, traduit du Japonais par Jean-François Gény)
C'est l'histoire (on a presque envie de dire la non-histoire) de Tomoko, une pauvre fille qui gagne néanmoins pas mal sa vie en pratiquant la teinture de tissu, qui est tiraillée entre deux pauvres types : Shingô, un écrivain raté qui partage son temps libre entre sa femme et Tomoko (qui est donc sa maîtresse), et Ryota, un nullard complet - et nettement plus jeune qu'elle - qui travaille vaguement dans une agence publicitaire au bord de la faillite.

Tout ça la fait beaucoup pleurer, toutes les deux ou trois pages à peu près. Parfois, elle est malheureuse d'être malheureuse (ce qui, en soi, est une raison bien valable), ou bien alors elle est heureuse, mais être heureuse avec un de ses deux pauvres types, cela signifie être éloigné de l'autre, et ça, c'est vraiment trop triste ; elle s'imagine que l'autre, loin d'elle, est pitoyable :
Citation :
"Ou bien il était en train de laver ses chaussettes dans son minuscule lavabo ou encore elle l'imaginait errant dans les parages. Solitude pitoyable de Ryota qui ébranlait Tomoko, allongée tranquillement contre Shingo. Un tristesse vive lui déchirait le corps et son amour pour Ryota ressurgissait alors, plus intense encore que lorsqu'ils venaient de faire l'amour" (page 61).

Elle se dit que tout ça, ce n'est pas bien. Mais qui doit-elle quitter : l'écrivain raté ou bien le publicitaire nullard ? Ou les deux ? Choix on ne peut plus difficile, quasi cornélien. Elle tergiverse donc (ce qui se traduit concrètement par quelques torrents de larmes), elle veut en quitter un mais sans oser vraiment aller jusqu'au bout, alors elle se contente de demi-vérités (il faut bien faire durer un peu le livre). "Elle découvrit ainsi que l'on pouvait faire des aveux sans pour autant révéler la vérité" (page 75).

Ryota est un pauvre type, mais il faut lui reconnaître cette qualité : il ne fait pas les choses à moitié.
"Sans compter ses appels en soirée, il téléphonait maintenant en pleine nuit pour décrire à Tomoko les progrès de son insomnie" (page 76), mais Tomoko l'imagine alors baignant dans son propre sang (page 78), loin d'elle, et ça la rend... très triste.

Tout ceci ne ferait qu'un livre conventionnel (ce qu'il est tout de même au bout du compte).

Alors, pour être un peu scandaleux (pour l'époque), on a droit à quelques détails : "A un certain point de leur relation, Shingo avait commencé à se soucier de sa santé et pour l'épargner il avait limité leur activité sexuelle" (pages 61-62) ; ou bien encore, sans doute par souci d'exactitude, au milieu d'une conversation dans un restaurant, "un petit renvoi lui était venu sans prévenir du fond de la gorge"(page 29). Dans cette catégorie du pas ragoûtant, Shingo ne se lave pas lorsqu'il est chez Tomoko, car il n'y a pas de baignoire et que Monsieur n'aime pas les bains publics. Lorsqu'il revient chez sa femme (où il y a une baignoire), il ne sent donc pas très bon.

Pour faire bonne mesure, on nous précise aussi (pour le cas où cela intéresserait le lecteur, ou bien y aurait-il la révélation de quelque profondeur psychologique ?), que "Tomoko se glissait en ronronnant à ses côtés pour, après une course bruyante comme celle d'un enfant, aller s'engouffrer dans les toilettes : Tomoko ne voulait jamais utiliser celles des autres" (page 59). C'est vrai que, outre pleurer, elle sait également ronronner, se comporter comme un enfant un peu irresponsable ("elle s'en remettait à lui jusque pour ses règles", page 60), se pelotonner ou se blottir contre ses bonshommes, etc.

En fait, ce qui rassemble ces trois toquards, c'est le goût du malheur. Tomoko aime se sacrifier :
Citation :
"sa manière de l'aimer consistait à sacrifier ses propres désirs dans le seul but d'épargner les siens"(page 154).
A propos de Shingo :
Citation :
"Quelques annnées auparavant, l'écrivain malchanceux avait vu un de ses livres, qu'il n'aimait pas beaucoup, jouir d'un bref succès, ce qui lui avait miraculeusement rapporté de l'argent. Il avait vécu cette période comme un cauchemar puis retrouvé des temps d'une misère encore plus terrible" (page 159).

La quatrième de couverture dit : "C'est un célèbre roman autobiographique, scandaleux, éblouissant de sensibilité". Comme quoi il ne faut pas toujours croire ce qu'on lit (et donc, ma critique).

Il n'y avait pas de prozac à l'époque. Dommage, car Setouchi n'aurait peut-être pas écrit ce livre.

Alors, in fine, pourquoi peut-on tout de même se procurer ce livre ? Deux raisons.
Une bien jolie couverture à la dominante rouge, et surtout le fait que le prochain livre que vous lirez vous paraîtra d'autant meilleur.
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MessageSujet: Re: Setouchi Jakuchô   Setouchi Jakuchô EmptyMer 25 Nov 2009 - 21:34

ça fait envie dites donc jemetate

et par rapport aux pleurs du Lys dans la vallée ? mdr2
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MessageSujet: Re: Setouchi Jakuchô   Setouchi Jakuchô EmptyMer 25 Nov 2009 - 21:41

animal a écrit:
ça fait envie dites donc jemetate

et par rapport aux pleurs du Lys dans la vallée ? mdr2

Hé hé, j'y ai repensé. Mais franchement, les deux livres ne boxent vraiment pas dans la même catégorie !
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MessageSujet: Re: Setouchi Jakuchô   Setouchi Jakuchô EmptyMer 25 Nov 2009 - 22:03

eXPie a écrit:
en me relisant, je m'aperçois avec surprise qu'il m'arrive parfois d'être un peu acerbe.
Ah bon ? laugh
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