Séance rattrapage dvd 2011

Les deux récentes Guerres des boutons me donnent des boutons, alors pas vues. J'ai acheté la 1ère, celle de Jacques Daroy, avec Mouloudji (13 ans) et Charles Aznavour (11 ans).
Bizarre, je ne revois pas du tout la version de 1962 d'Yves Robert avec Martin Lartigue dans le rôle du Petit Gibus et Jean Richard et Michel Galabru. Qu'est-ce que je faisais en 1962?
Et même pas un extrait de Moulou à 13 ans sur Dailymotion?

Je me suis endormie sur Detective Dee (Le mystère de la flamme fantome) de Tsui Hark. C'est pourtant impressionnant et dépaysant. Les personnages ont l'air de danser comme chez Zhang Yimou.
Dans quel genre (à part action et histoire bien sûr) peut-on caser ce film?

Babelle a écrit:

Les deux récentes Guerres des boutons me donnent des boutons, alors pas vues. J'ai acheté la 1ère, celle de Jacques Daroy, avec Mouloudji (13 ans) et Charles Aznavour (11 ans).
Bizarre, je ne revois pas du tout la version de 1962 d'Yves Robert avec Martin Lartigue dans le rôle du Petit Gibus et Jean Richard et Michel Galabru. Qu'est-ce que je faisais en 1962?
Et même pas un extrait de Moulou à 13 ans sur Dailymotion?

J'ai dû enregistrer La guerre des boutons d'Yves Robert diffusé une A.M sur FR3. Je vais la revoir un de ces jours.

J'ai raté. Je ne crois pas la connaître cette version d'Yves Robert.
Toujours pas trouvé d'extrait avec Moulou dans celle de Jacques Daroy. Peut-être sur le site de L'INA? Google est de moins en moins pertinent je trouve.

Protektor (Marek Najbrt, 2009, République Tchèque)
Prague 1942. Un journaliste devient la voix officielle de la radio nationale pour protéger sa femme juive. Ceci avant que le "protecteur" de la Bohème-Moravie, Heydrich, ne soit tué par la Résistance. Un assez bon film, qui s'interroge sur la collaboration tchèque durant la guerre, au travers de plusieurs personnages qui ont tous leurs raisons. Le scénario joue sur les ambigüités avec brio et c'est son montage, plus que sa mise en scène, qui séduit avec une désynchronisation astucieuse, quoique déjà utilisée par les cinéastes tchèques des années 60/70, de l'image et du son. Un exemple de la bonne tenue du cinéma d'Europe centrale, hélas rarement à l'affiche dans les salles françaises.

Note : 6,5/10

Très déçue par le dernier oscar du film étranger. C'est d'un lourdingue!
Quand je pense qu'il y avait aussi dans la sélection Incendies et Biutiful, heu...
Peu d'importance, mais pourquoi ,quand un réalisateur donne un titre international qui est In a better world ( que je trouve d'ailleurs plus adapté, le titre français est il Revenge?? Il y a des mystères de traduction qui me laisseront toujours rêveuse.
Traversay ne mâchait pas ses mots :

Citation :

Appuyé, démonstratif, il fait apparaître l'artificialité de ces histoires qui s'empilent les unes sur les autres et détruit le bel édifice, qui tanguait déjà sans que l'on se rende compte. Les dernières scènes, celles du pardon, accentuent le sentiment de malaise, avec cet angélisme qui sonne faux et qui contredit une grande partie du propos antérieur.

Marko , un peu moins négatif, mais quand même:

Citation :

Par contre le récit, bien que prenant, reste très fabriqué avec de grosses coutures.

Citation :

Il est à voir quand même...