Voyage dans la cosmogonie des dieux

Un peu moins raide ?


Domenico Ghirlandaio



La Visitation de Marie. 1491

ça ne me gêne pas forcément les postures raides, au contraire parfois ?  ce n'est pas le réalisme de la représentation qui m'émeut, c'est avant, en cherchant, par exemple (et il y a aussi l'incroyable détail souvent présent aussi dans le motif de ces fonds et auréoles dorés)...

Ambrogio Lorenzetti (1290-1348):

Il est probablement formé à l'atelier de Duccio di Buoninsegna comme son frère aîné Pietro Lorenzetti et Simone Martini.

animal a écrit:

ça ne me gêne pas forcément les postures raides, au contraire parfois ?  ce n'est pas le réalisme de la représentation qui m'émeut, c'est avant, en cherchant, par exemple (et il y a aussi l'incroyable détail souvent présent aussi dans le motif de ces fonds et auréoles dorés)...

Ambrogio Lorenzetti (1290-1348):

Il est probablement formé à l'atelier de Duccio di Buoninsegna comme son frère aîné Pietro Lorenzetti et Simone Martini.

Comme il est mignon ce petit sein !

Un épisode que je ne connaissais pas...



Le palmier s'incline devant Marie

Il devait pas se sentir très bien chez lui tous les jours...

Matthias Grünewald



La tentation de Saint-Antoine



Last Supper



The Crucifixion



The mocking of Christ

Changement de registre...

Gustave Moreau



Hésiode et une Muse

Paolo Uccello



Saint Georges terrassant le dragon, 1470


Raphaël



Saint Georges terrassant le dragon

Gaston Duchet-Suchaux a écrit:

[…] Georges, officier dans l’armée romaine, traverse un jour une ville terrorisée par un redoutable dragon. Celui-ci dévore tous les animaux de la contrée et exige des habitants un tribut quotidien de deux jeunes gens tirés au sort. Georges arrive le jour où le sort tombe sur la fille du roi, au moment où celle-ci va être victime du monstre. Georges engage avec le dragon un combat acharné ; avec l’aide du Christ, il finit par triompher.

Je préfère nettement la première version...

colimasson a écrit:

Je préfère nettement la première version...

Dans la toile d'Uccello, la mise en scène de l'instant de la mise à mort du dragon exalte l'acte épique.