Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Stéphanie Hochet

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Acta est fabula
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Acta est fabula


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MessageSujet: Stéphanie Hochet   Stéphanie Hochet EmptyMer 6 Fév 2008 - 15:46

Stéphanie Hochet L_9a5e10
Coup de foudre de la rentrée littéraire de septembre! / Start of the new literary year : a crush !
Article à l'origine écrit pour un Webzine

Rentrée littéraire : coup de foudre !

Stéphanie Hochet nous avait déjà étonnés avec son premier roman épistolaire Moutarde douce, publié à l'âge de 26 ans aux Editions Robert Laffont puis avec le Néant de Léon, L'Apocalypse selon Embrun et Les Infernales (Editions Stock), un triptyque que je qualifie de véritable « Jardin des Délices »… J'attendais avec impatience son prochain livre et quelle surprise en découvrant, en lisant, en dévorant avec avidité et frénésie Je ne connais pas ma force, son cinquième roman qui paraîtra le jeudi 16 août aux Editions Fayard.
Stéphanie Hochet 2_je_n11 Stéphanie Hochet 3_je_n12

Voici l'histoire d'une guérison paradoxale. Un garçon de quinze ans atteint d'une tumeur au cerveau entre à l'hôpital, subit des traitements lourds qui l'épuisent et dans les moments de rémission de sa maladie verse dans l'idéologie d'extrême droite, persuadé que celle-ci va le sauver. Le pire c'est qu'à force de pratiquer l'autosuggestion, l'adolescent guérit mais son credo fait aussi de lui un criminel en puissance… « On ne revient pas de l'enfer sans s'interroger sur la signification de sa résurrection. » écrit Stéphanie Hochet. En effet, il faut suivre le cheminement psychologique de ce garçon, sa logique terrible entrecoupée de moments de grâce où foisonnent les souvenirs qui posent le lecteur dans des états d'apesanteur. Incroyable !
Et toujours ce style classique et lapidaire. La plume aiguisée. De l'humour aussi. Un roman que j'aime, que je défends et un auteur contemporain qui a un bel avenir. A suivre, ou à découvrir…

Je ne connais pas ma force, je ne connaissais pas cette force de Stéphanie Hochet et vous, la connaissez-vous ?
A. (c'est moi)

Je ne connais pas ma force, Stéphanie HOCHET, Editions Fayard, 16 août 2007, roman, 140 pages, 13 euro. ISBN: 978 2213 63 39 54

Stéphanie HOCHET, MySpace Officiel : www.myspace.com/stephanie_hochet
Site Fayard : http://www.fayard.fr/rentreelitteraire/site.html

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Start of the new literary year : a crush !

I wasn't the only one to be astonished by Stéphanie Hochet's first book : Moutarde douce, an epistolary novel she published when she was 26 in 2001 at Editions Robert Laffont. Three others followed : Le Néant de Léon, L'Apocalypse selon Embrun and Les infernales (Editions Stock), a "triptych" that calls to my mind as "The Delights Garden"... I was wondering what would follow and I must say I was again surprised when discovering Je ne connais pas ma force ("I don't know the strength that is mine").
A page-turner I read furiously. A novel that will be sold from the 16th of august at Editions Fayard.
This is the story of a paradoxical recovery. A 15 year-old boy suffering from brain cancer enters hospital where he undergoes a painfull course of treatment, during the times of remission he lapses into Nazi ideology, being convinced those ideas have the power to cure him. Believing in "autosuggestion" (he sees himself as a hero and the other patients as parasites), this is exactly what happens, the boy feels better for a while but on the oher hand his new faith transforms him in a potential criminal... " One doesn't return from hell without wondering on the meaning of one's own resurrection" says the author. And indeed the reader follows with a dreadful feeling the psychological progression of the boy, his logic of terror interrupted with poetical glimpses and memories of childhood of moving impression. Fascinating !
And as far as the "style" is concerned : it is a classical one, concentrated, a sharpened writing. With a sens of humour. A novel I enjoyed reading and for which I will stand for. A writer with a beautiful future. To pay attention to.
Je ne connais pas ma force, I didn't know this strength in Stéphanie Hochet, did you ?

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Reanudacion literaria: El flechazo !


Stephanie Hochet nos habia sorprendido con su primera novela epistolar Moutarde douce, publicada a la edad de 26 anos en las Ediciones Robert Laffont, luego con Le Neant de Leon, L'apocalypse selon Embrun y Les Infernales (Ediciones Stock), un triptico que califico como un verdadero "Jardin de Delicias"... Esperaba con impaciencia su proxima novela y que sopresa me lleve al descubrir, al leer, y deborando con ansia y frenesi Je ne connais pas ma force (« No conozco mi fuerza »), su quinta novela que aparecera el proximo jueves 16 de agosto en las Ediciones Fayard.
Una historia de una curacion paradojica. Un joven de 15 anos aquejado de un tumor en el cerebro ingresa al hospital, llevando tratamientos muy pesados que lo agotan y en los momentos de mejoria se deja llevar por una ideologia de extrema derecha, convencido que esta lo salvara. Lo peor es que al practicar la autosugestion, el adolescente se cura pero su credo hace de el un criminal en potencia... "No se regresa del infierno sin preguntarse el significado de su resurreccion" dice Stephanie Hochet. Efectivamente, hay que seguir la evolucion psicologica de este joven, su terrible logica entrecortada de momentos de gracia donde abundan los recuerdos que posede el lector en los estados de ingravidez. ¡Es increíble
Siempre este estilo clasico y lapidario. La pluma afilada y un poco de humor tambien. Una novela que me gusta, que defiendo y un autor contemporaneo con un futuro prometedor.
Je ne connais pas ma force, no conocía esta fuerza de Stéphanie Hochet. ¿ La conocen ustedes?
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MessageSujet: Re: Stéphanie Hochet   Stéphanie Hochet EmptySam 6 Sep 2014 - 20:55

Maintenant que l'on sait qu'il s'agit de l'écrivain caché sous le nom de Pétronille Fanto, dans le dernier livre en date d'Amelie Nothomb, ce fil sera sans doute alimenté un peu plus dans pas très longtemps...
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MessageSujet: Re: Stéphanie Hochet   Stéphanie Hochet EmptyVen 19 Sep 2014 - 20:28

Stéphanie Hochet Hochet10
Le Néant de Léon. 2003. 140 pages. Editions Stock.
Le roman commence par une citation :
"L'adolescence est le seul temps où l'on ait appris quelque chose.
Marcel Proust, À l'ombre des jeunes filles en fleurs
"

Les personnages principaux de ce roman, à une exception près, sont les membres de la famille Sybar.
Paul, le père, est à la tête de la FCF (Fédération des Chemins de Fer). C'est une pointure.
Jusqu'à lui, tous les garçons faisaient carrière dans l'armée, sans qu'on leur demande leur avis.
Citation :
"Ce qui les excusait, car le choix est louche quand il provient de la personne concernée : un militaire de vocation, c'est un boucher qui a des prétentions." (page 25)
Avec sa femme, Jeanne, il ont trois enfants : Léon, 15 ans, et deux filles plus petites, Louise et Rosine.
Citation :
"Bien qu'il eût deux soeurs remarquables, Louise et Rosine, Léon ne dérogeait pas au statut d'enfant prodige aux yeux de sa mère, d'abord parce qu'il était un garçon et ensuite parce que, bébé, il avait failli mourir d'une angine. Léon considérait cette élection sentimentale comme un fait indiscutable et juste ; c'est pourquoi il n'avait aucun élan de tendresse particulier envers sa mère.
À quinze ans, Léon avait atteint un tel état de lassitude morale qu'il déclarait que la littérature ne servait à rien, sinon à occuper les profs de français, et que plus un livre est court, meilleur il est. Il détesta Zola, Cervantès, Les Mille et Une Nuits pour cette raison. Néanmoins, Léon se cherchait une identité avec acharnement : plusieurs fois par jour, il « faisait le point » en écoutant Nirvana dans sa chambre. C'est ainsi qu'il prit conscience qu'il était différent et que sa vie n'était pas une sinécure." (pages 12-13).

Le père sait comment parler avec ses collègues ou avec les syndicalistes, mais pas avec ses enfants. Il est toujours à côté de la plaque. Ceci dit, parler avec Léon est difficile : il ne répond pas.
Citation :
"Capter son attention était un fait si rare qu'on croyait qu'il se donnait un genre, le genre indifférent. On se trompait : Léon se foutait vraiment de tout. Enfin, de presque tout." (page 15).
Parmi ses quelques rares centres d'intérêt : embêter sa soeur Rosine.

Le père, qui a le sens du devoir, va tenter quelque chose.
Citation :
"Paul savait qu'il était de son devoir d'éveiller Léon. L'affaire s'avérait rébarbative. Plus grave qu'il n'y paraissait. Auparavant, il prenait Léon pour un cancre, aujourd'hui il avait la preuve qu'il était la vacuité incarnée. Un cancre, c'est touchant : on imagine le poète creusant des gouffres de rêverie pour parvenir au ciel. Léon n'était même pas un méditatif. Jamais il n'avait assis la beauté sur ses genoux pour la peindre en poème. On ne lui connaissait de « productions » que celles de ses glandes sébacées : sébum dans les cheveux et acné comme unique chef-d'oeuvre." (pages 43-44).

Léon a tout de même des camarades de classe.
Citation :
"Ils se retrouvaient à quatre pendant les récréations et fumaient des cigarettes américaines derrière un arbre. [...] Une fois ces sujets de conversation épuisés, chacun tirait sur sa sèche et regardait ses chaussures en balançant légèrement le bassin - recherche d'une pose virile ? -, alors un des quatre garçons finissait toujours par dire, après un silence :
- C'est cool.
Sans raison ni référence. Et tout le monde approuvait." (page 53).
À cause de profs trop nazes qui ne les autorisent pas à fumer en classe ou qui leur donnent des mauvais notes quand ils ne savent rien à un contrôle (alors que, déjà, les profs devraient être bien contents que les élèves ne sèchent pas leurs cours, parce que franchement, il faut se les taper !), ils risquent de se retrouver au ban de la société. C'est pas facile.
Trop dur.

Le père arrivera-t-il à stimuler un peu le cerveau de son fils ?

Un roman souvent amusant, avec de nombreux bons passages et des phrases joliment écrites, mais dont la limite est qu'il ne comporte que des personnages un peu outrés.
Ce roman, le deuxième de l'auteur, n'est vraisemblablement pas son meilleur.
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MessageSujet: Re: Stéphanie Hochet   Stéphanie Hochet EmptySam 12 Sep 2015 - 16:41

Un roman anglais (2015)

La quatrième de couverture :
Citation :
1917, quelque part dans la campagne anglaise. Anna Whig, bourgeoise lettrée, mère d’un petit garçon de deux ans, Jack, persuade son mari Edward d’embaucher par courrier pour sa garde d’enfant une certaine George (comme George Eliot, pense-t-elle). Le jour où elle va chercher George à la gare, elle découvre qu’il s’agit d’un homme. Celui-ci va faire preuve d’un réel instinct maternel à l’égard de l’enfant, et finira pas susciter la jalousie d’Edward, qui pressent l’amour naissant entre George et Anna.

Dans ce roman à la fois pudique et tourmenté, Stéphanie Hochet traite avec beaucoup de finesse le thème de l’ambiguïté sexuelle, avec son lot de non-dits et de paradoxes, dans ce cadre post-victorien qui rappelle tant Virginia Woolf, tout en restituant le climat d’inquiets atermoiements qui régnait en Angleterre lors de cette période troublée.

Un roman intéressant à la lecture duquel je me suis malheureusement ennuyée…
Pourquoi ?

L’éditeur ne nous ment pas en vantant l’écriture ‘fine’ de Stéphanie Hochet : je lui trouve un certain dynamisme, peut-être dû à une belle maîtrise de la phrase nominale… ou à une absence de ‘chasse’ un peu artificielle à la répétition. Et cette écriture, l’air de rien, véhicule de belles subtilités, beaucoup de non-dits.
Lire encore un roman de Stéphanie Hochet, donc, pourquoi pas ; j’aimerais bien, même. Mais c’est parce que j’aimerais voir cette écriture au service d’autres thèmes…
Un roman anglais m’a rappelé le roman de John Fowles Sarah et le lieutenant français (que pour le coup j’ai trouvé vraiment chiant) : Stéphanie Hochet et John Fowles utilisent tous deux la forme du roman ‘d’époque’ comme support à une réflexion sur cette époque.
Si le point de vue adopté par John Fowles est clairement extérieur, critique, marqué par le recul, dans le roman de Stéphanie Hochet, l’auteur se fond davantage à ses personnages : à Anna, bien sûr, mais aussi, dans certains passages, à son époux Edward. Je préfère personnellement ce qu’a fait Stéphanie Hochet, parce que cela facilite pour moi l’investissement dans l’histoire tout en rendant la réflexion historique plus subtile.  
Cela étant dit, je connais mal la littérature anglaise, a fortiori celle à laquelle Stéphanie Hochet fait allusion dans Un roman anglais. Je ne peux donc tirer que peu de joie de la référence… et n’en trouve pas assez, de la joie, dans ce qui reste du roman, une fois la référence éliminée. En effet, certains thèmes sont très bien traités : je pense notamment à la contemplation de l’enfance d’un point de vue adulte, jeu tout à la fois de mémoire et d’interprétation. Pourtant, ce ne sont pas les thèmes qui sont mis en avant. Et bizarrement, ceux qui le sont me semblent analysés de manière beaucoup moins fine… par exemple, on parle beaucoup, dans Un roman anglais, de l’ambiguïté du sentiment maternel : un peu par hasard, j’ai lu pas mal de romans qui évoquaient ce thème, ces derniers temps. Et la comparaison avec Les jours de mon abandon, par exemple, est un peu dure pour Un roman anglais.
Je serais très curieuse de lire l’avis de quelqu’un qui connaisse bien cette littérature : peut-être apprécierait-il, bien davantage que moi, Un roman anglais. Pour moi, ce sera ‘mouais… à retenter’.

Et un petit extrait pour terminer :
Citation :
George et Jack rentrent au bout d’une heure. Ils sont retournés à la ferme des Murphy, un endroit prodigieux, une caverne d’Ali Baba pour Jack. Les animaux sont une attraction inépuisable, et Jack a le droit de s’approcher de certains en restant sous la surveillance de George. George explique, accroupi devant l’enfant, que ce qui grogne mange de tout comme nous et donne naissance à des portées de petits ongulés roses qu’il faut allaiter, alors que ce qui caquette picore et pond des œufs comestibles dans lesquels se trouve la descendance ; attention à préciser que ce que nous mangeons dans sa coquille n’est pas un petit être mort-né ou à peine vivant ou tué au moment où nous décalottons le haut de sa coquille avec la cuillère. La vision de l’ogre traverse l’imagination de l’enfant. Expliquer la différence entre comestible et fécondé : qu’en retient Jack ? Jack trop jeune pour comprendre mais attrapant du sens, digérant les informations fournies par George, saisissant des détails qu’il retiendra et qui nous surprendront un jour. Ce qu’il garde en mémoire demeure un mystère pour nous tous. Chaque animal est désigné par son nom, différencié selon l’âge, le petit du cochon ne s’appelle pas « cochon », les rejetons de la poule sont nommés autrement, leurs habitudes alimentaires ne ressemblent pas aux nôtres. L’enfant s’approche, au comble du trouble : l’animé existe autrement que sous sa forme humaine. Plus étrange, plus attirant que l’espèce qui se déplace sur deux jambes, qui le nourrit, l’attrape par la main, lui frotte désagréablement le nez lorsqu’un liquide en sort, le déshabille d’autorité lorsqu’il faut immerger son corps dans une bassine d’eau tiède, lui pince les aisselles en le soulevant du sol, etc. La forme et le comportement sont différents et pourtant, ces êtres vivants interpellent Jack, le petit d’homme. La bête est une merveille, un être divin en qui il pourrait se projeter. C’est une sorte de miroir, Jack s’identifie facilement au petit cochon de la fable qui en compte trois. Les variétés qu’offre la ferme le fascinent. L’enfant se sent naturellement proche de l’animal qui ne possède pas le langage, craint l’humain adulte, explore son environnement avec ses sens, ses instincts dans l’urgence et la voracité. J’ai vu mon fils rester des heures entières avec Pitch [leur chien], l’enlacer, l’embrasser, s’en servir comme monture sans pour autant blesser la bête. L’enfant en est fou, peut-être parce que cette race de chien est courte sur pattes, donc à hauteur d’enfant. Ces chiens semblent adaptés, conçus pour les gosses comme des jouets. Comment Jack voit-il Pitch ? Un ami tiède au sang chaud, un enfant « comme lui » mais plus rapide car quadrupède et vivant dans un manteau de fourrure. L’enfant n’est pas incommodé par l’odeur fétide qui émane de la gueule du chien. Pas dérangé par ses manières canines : se rouler dans des déjections et parfois dans des cadavres d’animaux. A quel âge le dégoût vient-il ? A quel âge cesse-t-on d’éprouver cette stupeur archaïque qui ravit, étreint à la vue de l’être non-humain ? […]
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MessageSujet: Re: Stéphanie Hochet   Stéphanie Hochet EmptySam 12 Sep 2015 - 16:52

Si tu connais mal la littérature romanesque anglaise, tu pourrais peut etre commencer par Jane Austen, George Eliot, les sœurs Bronte,
Anthony Trollope, Fielding, Swift, Defoe...
Mais tu connais peut etre...
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MessageSujet: Re: Stéphanie Hochet   Stéphanie Hochet EmptySam 12 Sep 2015 - 17:08

Ici, c’est plus période Virginia Woolf, dont je n’ai lu que Une chambre à soi : pas forcément le plus représentatif, d’après ce que j’ai compris.
Non non, je connais vraiment mal. De ceux que tu cites, je n’ai lu qu’Austen (Orgueil et préjugés, que j’ai pas particulièrement aimé, mais je suis prête à retenter un autre titre) et les sœurs Brontë (encore que… même pas Anne).
J’aimerais en lire plus, cependant ! Merci pour les pistes, je vais consulter leurs fils et me constituer une petite PàL 'anglaise'.
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MessageSujet: Re: Stéphanie Hochet   Stéphanie Hochet EmptyVen 27 Nov 2015 - 23:41

Je n'ai pas lu tous les romans anglais mais j'ai lu tous les romans Hochet. Le dernier en date, Un roman anglais, m'apparaît de loin comme le plus abouti. On en ressort avec l'impression d'avoir bien mangé. Je ne vous dis rien mais il y a des passages sublimes vers la fin.
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