Ron McLarty

Citation :

Biographie de l'auteur
Ron McLarty est un acteur abonné aux seconds rôles de cinéma ou de séries télévisées (Law et Order, Sex and the City...). Ecrivain à ses heures perdues mais refusé par les éditeurs, il enregistre le texte de J'ai rêvé de courir longtemps et envoie une cassette à Stephen King, qui lui consacre alors une page dans Entertainment Weekly sous le titre : " Le meilleur livre que vous ne pouvez pas lire ". Best-seller aux Etats-Unis, bientôt adapté au cinéma, le roman a été acheté par les plus grands éditeurs dans le monde entier.
source: éditeur

Je viens de terminer son deuxième roman : Retour à Providence

l'histoire :


ce que j'en pense :

Ecriture honnête, un bon livre pour les vacances.
J'ai aimé l'alternance entre des retours en arrière et le présent.
l'adolescence de cette époque (de 1959 à 1968 environ) avec ses espoirs, ses soucis est très attachante. L'histoire se situe dans une ville où coexistent des émigrants (Italiens, Portugais, Irlandais....)
avec plus ou moins de bonheur, mais pour les familles de ces adolescents l'amitié, la solidarité et le respect sont bien présents.
Une amitié sans faille unit Jono, Cubby, Billy et Bobby.
Une intrigue policière se greffe sur l'histoire et trouve son dénouement plus de 30 ans plus tard.

au final une lecture agréable.

je vais certainement me procurer son premier livre cité plus haut.

quelques passages :








alors nos conversations. Les Beatles, les gros seins, le base-ball, et le hockey. Je n'ai pas oblié les gros seins ?
La mère de Bobby continua à mener une vie sociale et fut même fiancée à un type, ce qui fut imprimé dans le journal.
Mais jamais elle ne se remaria. De nombreuses années plus

J'ai révé de courrir longtemps
J’ai acheté ce livre dans un lot à emmaüs puis oublié dans un coin de ma biblio pensant être une histoire un peu ennuyeuse où un anti héros se cherchait tout le long du livre. Puis je suis tombée sur l’avis d'une blogueuse qui m’a donné envie de ressortir ce livre enfoui sous la pile d’oubliée.


Dès les premières pages, j’ai aimé Smithy, un personnage simple et attachant, son périple à travers l’Amérique est riche en rencontre. Nous suivons parallèlement son présent et son passé : le présent est comme un renaissance, Smithy change, devient plus mince, ne fume et boit plus, il retrouve son équilibre physique et mental ; alors que son passé avec  l’histoire de sa sœur est une descente aux enfers, Smithy est tombé dans la dépression, ne se nourrissant plus que de bières, de bretzel et cigarettes.

J’ai fait une belle ballade avec Smithy, lui sur son vélo et moi m’imaginant à ses cotés, ces rencontres sont le reflet de l’Amérique, des personnages tous très variés. Voila un livre que je n’aurai pas ouvert à cause d’un titre trompeur et mal interprété ; car après avoir été parmi les oubliées, il est a présent parmi mes préférées.

Retour à Providence

Idéal roman d'été avec tout ce qu'il faut de nostalgie de l'adolescence à Providence , les copains à la vie à la mort (c'est le cas de le dire), les filles plus ou moins offertes, les matchs de base-ball, les bandes rivales et l'université ou la guerre du Vietnam qui se profilent.
Tout cela paraissait tout simple en le vivant et s 'avère beaucoup plus compliqué quand on y retourne trente ans après : on ne connait jamais vraiment personne...

je viens de me rendre compte que je l'ai lu depuis déjà 7 ans !

oui un roman pour les vacances.

Sept ans??? Il est sympathique mais il n'est pas impérissable, il n'a pas dû te laisser beaucoup de traces.

non il a fallu que je relise mon petit com pour me rappeler !

(entre temps sont passé, Koestler, Bouvier, S.Weil, Carpentier etc......................)

Une autre pointure, c'est sûr. Enfin, ces livres-là et Retour à Providence, ce n'est pas le même usage!