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 Jean Favier (Histoire médiévale)

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MessageSujet: Jean Favier (Histoire médiévale)   Jean Favier (Histoire médiévale) EmptyJeu 14 Fév 2008 - 18:02

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Jean Favier, né à Paris le 2 avril 1932 est un historien médiéviste français.

Élève de l'École des chartes, il y rédige une thèse intitulée Un conseiller de Philippe le Bel : Enguerran de Marigny et en sort archiviste paléographe en 1956. Il obtient ensuite l'agrégation d'histoire et devient membre de l'École française de Rome.

Il est d'abord conservateur aux Archives nationales de 1958 à 1961 avant d'être nommé professeur au lycée d'Orléans pour l'année 1961-1962. Il obtient cependant rapidement un poste d'attaché de recherche au CNRS, qu'il occupe de 1962 à 1964.

Il commence alors une carrière d'universitaire comme maître de conférences à l'université de Rennes (1964-1966), comme professeur à l'université de Rouen (1966-1969), puis à Paris, comme directeur d'études à l'École pratique des hautes études (1965-1997) et professeur à l'Université de Paris Sorbonne de 1969 à 1997.

Parallèlement à sa carrière d'enseignant-chercheur, il occupe des postes dans l'administration de la culture, devant notamment directeur général des Archives de France et directeur des Archives nationales de 1975 à 1994, puis, de 1994 à 1997, président de la Bibliothèque nationale de France.

Il est membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres depuis 1985 et président de la Commission française pour l'UNESCO. Il fut également directeur de la Revue historique (1973-1997).

C'est aussi un homme de radio, animant en particulier sur France Inter l'émission Question pour l'Histoire.

Bibliographie:

« Introitus et exitus » sous Clément VII et Benoit XIII… , Instituto di paleografia dell' Università di Roma, Rome, 1957.

Les Archives, PUF (coll. Que sais-je ?), Paris, 1959.

Un conseiller de Philippe le Bel : Enguerran de Marigny, PUF, Paris, 1963.

Les finances pontificales à l'époque du Grand Schisme d'Occident, 1378-1409, De Boccard, Paris, 1966.

De Marco Polo à Christophe Colomb, Éditions Larousse, Paris, 1968.

Les Contribuables parisiens à la fin de la guerre de Cent ans, les rôles d'impôt de 1421, 1423 et 1438, Droz, Paris/Genève, 1970.

Paris au XVe siècle, Diffusion Hachette, Paris, 1974.

Le registre des compagnies françaises : 1449-1467, Imprimerie nationale, Paris, 1975.

Philippe le Bel, Éditions Fayard, Paris, 1978.

La Guerre de Cent ans, éditions Fayard, Paris 1980. Grand Prix Gobert 1981.

François Villon, Éditions Fayard, Paris, 1982.

Une Histoire de la Normandie, Ouest-France, Rennes, 1986.

De l'Or et des épices [Texte imprimé] : naissance de l'homme d'affaires au Moyen âge, Éditions Fayard, Paris, 1987.

Archives nationales: quinze siècles d'histoire, Nathan, Paris, 1988.

L'Univers de Chartres, Éditions Bordas, Paris, 1988.

Les Grandes découvertes : d'Alexandre à Magellan, Éditions Fayard, Paris, 1991.

Dictionnaire de la France médiévale, Éditions Fayard, Paris, 1993.

La France féodale, le Grand livre du mois, Paris, 1995.

La naissance de l'État, le Grand livre du mois, Paris, 1995.

Paris, Deux mille ans d'Histoire, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1997.

Charlemagne, le Grand livre du mois, Paris, 1999.

Louis XI, Éditions Fayard, Paris, 2001.

Les Plantagenêts : origines et destin d'un empire : XIe-XIVe siècles, Éditions Fayard, Paris, 2004.

Les Papes d'Avignon, Éditions Fayard, Paris, 2006.

(Source Wikipédia)
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MessageSujet: Re: Jean Favier (Histoire médiévale)   Jean Favier (Histoire médiévale) EmptyJeu 14 Fév 2008 - 18:06

"La Guerre de Cent Ans"



Pour la plupart d'entre nous, l'évocation de la Guerre de Cent Ans revient à ressusciter quelques images empoussiérées, lointaines réminiscences scolaires symbolisées par la figure emblématique de Jeanne d'Arc. Au mieux restent dans nos mémoires quelques dates, quelques noms de grandes batailles: Crécy, Azincourt ; quelques personnages marquants aussi : Bertrand Du Guesclin, le Prince Noir, Charles VII...
Pour le reste – que ce soient les causes et conséquences de ce conflit (ou plutôt de "ces" conflits), le déroulement chronologique des évenements, l'étude sociologique, politique et économique de l'époque – le sujet apparaît singulièrement vaste et confus.

C'est pourquoi Jean Favier – médiéviste reconnu, membre de l'Institut, directeur général des Archives de France et professeur à l'Université de Paris-Sorbonne, auteur de célèbres biographies telles que celles de Charlemagne, de Philippe le Bel, de François Villon, de Louis XI – s'est attelé à la difficile tâche de revenir sur cette période troublée de l'histoire de France.

Bien entendu, Jean Favier ne prétend pas retracer dans cet ouvrage l'intégralité des rivalités franco-anglaise, celles-ci s'étendant sur une période d'environ trois siècles, approximativement de 1152, date du mariage d' Aliénor d'Aquitaine avec Henri II Plantagenêt, jusqu'en 1453, date de la reconquête définitive de la Guyenne par Charles VII et de la bataille de Castillon.
L'auteur s'est ici focalisé sur la période s'étendant de 1328, date de l'avènement de Philippe VI de Valois, avènement qui met fin à la dynastie des Capétiens, jusqu'à la victoire de Charles VII en 1453.
Ce sont donc ces 125 années qui – au regard de l'Histoire – ont donné naissance à l'appellation de cette période dite de la « Guerre de Cent Ans ».

Mais qu'est-ce que cette Guerre de Cent Ans ? Un conflit initerrompu entre français et anglais pour la possession du Royaume de France ? La réalité, comme souvent en ce qui concerne l'Histoire, est beaucoup plus complexe.

Tout d'abord il serait vain de réduire ce conflit à un affrontement continu s'étalant sur plus d'un siècle. La guerre de cent ans est avant tout une succession de batailles, de prises de possession de territoires, d'avancées et de reculades des uns et des autres, tout ceci entrecoupé de périodes de trêve plus ou moins longues, de traîtés de paix qui ne demandent qu'à être enfreints.
On ne peut pas à proprement parler réduire cette période à un conflit mais plutôt à une suite d'échauffourées plus ou moins meurtrières dans lesquelles l'un et l'autre camp regagne ce qu'il a perdu la fois précédente, annexe de nouveaux territoires au détriment de son rival jusqu'à ce que celui-ci, au hasard des circonstances et des alliances vienne à en reprendre possession.
De plus, une guerre ininterrompue sur une telle période aurait eu pour effet de laisser nombre de territoires exsangues aussi bien démographiquement qu'économiquement.

Malgré ces périodes d'accalmie relative, on ne peut pourtant pas dire que les populations de l'un et l'autre camp réussissent à échapper à échapper à de cruelles saignées. L'argent, le nerf de la guerre, est collecté par la mise en place d'une fiscalité de plus en plus pesante qui conduira à de nombreux soulèvements populaires cruellement réprimés par la noblesse.
Quant aux populations, rurales ou citadines, elles n'échappent pas aux massacres perpétrés par les assaillants de l'un et l'autre camp. Tout ceci sans compter sur l'apparition, en 1348, de la grande épidémie de peste noire qui emportera un tiers de la population européenne de l'époque.

En ce qui concerne le conflit franco-anglais en lui-même, il serait tentant et caricatural de réduire celui-ci à un affrontement entre deux nations bien définies. La guerre de cent ans n'est pas un conflit où le patriotisme des uns tente de s'opposer à l'invasion des autres. Le sentiment national n'a pas sa place dans cette confrontation. C'est seulement vers la fin des hostilités, quand Armagnacs et Bourguignons consentiront à s'unir sous la bannière de Charles VII que l'on verra naître l'ébauche de ce que l'on pourrait appeler un sentiment national. De plus, il est nécessaire de préciser que le soldat « anglais » de l'époque est bien plus souvent un gascon de pure souche qu'un natif d'Outre-Manche. La guerre de cent ans n'est donc pas un affrontement où s'exacerbent les sentiments nationalistes des uns et des autres. Cette guerre est avant tout une guerre féodale.

Bien au delà des clivages nationaux, cette guerre est le fruit de nombreux conflits de succession.
On sait que le mariage d'Aliénor en 1152 avec Henri Plantagenêt va faire du duché d'Aquitaine une possession de la couronne d'Angleterre. Henri II roi d'Angleterre, désormais duc d'Aquitaine et de Normandie, devient de par ce fait vassal du roi de France en ce qui concerne ses possessions continentales. Le cas est inédit. Un roi devient le vassal d'un autre roi. Cette situation perdurera jusqu'à la victoire de Philippe-Auguste à Bouvines en 1214 où le duché de Normandie réintègre le royaume de France.
La tension s'accroît nettement lorsque s'éteint en 1328 Charles IV, dernier fils de Philippe le Bel et dernier des Capétiens. Philippe VI de Valois, neveu de Philippe le Bel, monte alors sur le trône de France. Edouard III, roi d'Angleterre, fait alors valoir ses droits sur la couronne de France : n'est-il pas, par sa mère, Isabelle de France, fille de Philippe le Bel et épouse d'Edouard II, le plus proche descendant des Capétiens ?
A partir de l'accession au pouvoir de Philippe de Valois, les hostilités vont aller en s'accroissant entre les deux royaumes, hostilités attisées par ces autres querelles dynastiques que sont les successions d'Artois, de Navarre, de Bretagne et de Bourgogne.
La convoitise des uns et des autres sera source de maints retournements d'alliance, de trahisons et de parjures. Tout cela sans compter les soulèvements populaires, conséquences de pressions fiscales énormes destinées à entretenir les armées des belligérants. De Jacques Van Artevelde en Flandre au parisien Etienne Marcel, de la révolte des Jacques aux Cabochiens, le peuple gronde, se soulève, puis est cruellement réprimé. A tout cela s'ajoute la confusion religieuse entre tenants du pape de Rome et fidèles du pape d'Avignon, conséquence du Grand Schisme d'Occident.

On le voit, cette période pleine de convulsions, émaillée de sièges, de batailles, de massacres, d'épidémies, de famines, de révoltes, ne se laisse pas appréhender d'un simple regard. Les intrications dynastiques, les facteurs économiques, politiques, sociaux et religieux prennent une large part dans la relation de cette Guerre de Cent Ans, un conflit qui s'avère bien plus complexe qu'une simple passe d'armes entre deux royaumes concurrents.
Cette relation des faits dans toutes leurs dimensions, Jean Favier a réussi la gageure de nous la faire partager dans un texte clair, précis, abordable par le non-spécialiste, constituant ainsi un récit de cette Guerre de Cent Ans qui est également un vaste panorama des sociétés et des mentalités des XIVème et XVème siècles. Passionnant
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MessageSujet: Re: Jean Favier (Histoire médiévale)   Jean Favier (Histoire médiévale) EmptyJeu 14 Fév 2008 - 23:16

Très beau résumé qui donnerait presque envie de devenir médiéviste! sourire
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MessageSujet: Re: Jean Favier (Histoire médiévale)   Jean Favier (Histoire médiévale) EmptyMar 24 Juil 2012 - 13:55

Je vous conseille chaudement la lecture de Le Roi René, publié par Jean Favier en 2008.

Tenant parfois un propos de spécialiste lorsqu’il aborde les problèmes d’hérédité des différentes branches et lignées capétiennes, Jean Favier se concentre dans ce livre sur le principal personnage de ce que l’on appelle encore à l’époque la Maison d’Anjou : le duc René Ier d’Anjou, qui passera à la postérité sous l’appellation du « bon » Roi René. Plus que la destinée chaotique d’un des plus grands princes du Royaume de France, c’est la reconfiguration permanente qui bouleversent les royaumes occidentaux au XVe siècle qui nous intéressent ici. Car Jean Favier s’attarde longuement sur les conflits armés et diplomatiques qui agitent la France sous la volonté centralisatrice des Rois et qui ensanglantent l’Europe à coups de guerre franco-anglaise ou d’expéditions militaires envoyées dans les principautés ou royaumes étrangers. Mieux encore, l’auteur nous introduit, à travers la vie du Roi René, dans le jeu européen des alliances et des coups-fourrés diplomatiques pour la possession des royaumes, principautés, duchés, comtés ou autres possessions terrestres et nobiliaires. Et quel plus bel exemple pour illustrer cela que le Roi René, qui réunit à différents moments de sa vie les titres de duc d’Anjou, duc de Lorraine, duc du Bar, Comte de Provence, Roi de Naples et de Sicile, Roi de Jérusalem, Roi de Hongrie et Roi d’Aragon ? Ce que l’on réalise au fil des pages, c’est que les souverains des royaumes européens dépendent en ces temps autant de leurs défaites ou victoires militaires que de leur filiation ou des mariages d’intérêt qu’ils peuvent contracter. S’ensuivent des transactions et négociations diplomatiques à n’en plus finir, où les juristes en droit héréditaire, voire même le Pape, interviennent de manière récurrente. La géographie de l’ « empire angevin » se recompose au XVe siècle au gré des traités que ratifie le Roi René et de l’appui que lui accord le plus en plus puissant et centralisateur Roi de France (Charles VII puis Louis XI). Mais la majorité des titres nobiliaires du Roi René sont en fait illusoires : les royaumes de Hongrie et de Jérusalem sont perdus depuis longtemps, après plusieurs tentatives infructueuses de reconquêtes la Sicile et Naples passent définitivement au royaume d’Aragon, les duchés de Bar et de Lorraine sont cédés à son petit-fils. Ne lui restent plus à la fin de sa vie que son duché d’Anjou natal, apanage que le Roi de France finira par s’approprier, et son comté de Provence, seul endroit où il fur véritablement le seul maître sur ses terres et où il décèdera en 1480. Au fur et à mesure que l’on entre dans la vie du Roi René on comprend mieux les tenants et aboutissants du pouvoir, et l’on finit par saisir que le mariage constitue la pierre angulaire de la diplomatie féodale. Durant le Moyen-Âge il n’y a que le mariage qui peut, du jour au lendemain, renverser les alliances et faire de l’ennemi d’hier l’allié de demain. Il ne faut dès lors pas tant remporter la victoire sur le champ de bataille que posséder à sa cour des juristes habiles qui sauront prouver votre droit légitime sur tel fief ou principauté. Voilà un système politique que le Roi René n’aura en fin de compte fait que subir tout au long de sa vie, préférant la construction de nouveaux châteaux et le mécénat des arts plutôt que les intrigues politiques. Son second mariage avec Jeanne de Laval, en 1454, sera d’ailleurs un mariage d’amour et non d’alliance, fait extrêmement rare à l’époque.

Pour conclure je trouve que ce livre offre, par l’étendu de son panorama sur l’Europe occidentale au XVe siècle, un compte-rendu inestimable des enjeux internationaux et géostratégiques de ce temps.

Source perso : http://leslecturesdares.over-blog.com
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MessageSujet: Re: Jean Favier (Histoire médiévale)   Jean Favier (Histoire médiévale) EmptyMar 24 Juil 2012 - 15:33

L' étude du Moyen Age est passionnante et demande le croisement des lectures, tellement c' est une époque riche en évènements divers, religieux, artistique, guerrier, sociologique, sur les mentalités. Je n' ai pas lu grand chose de Favier, mais il fait partie de ceux qui donnent envie d' en savoir plus.

Froissart, 1337-1404, est un grand chroniqueur d' une époque, notamment la 1ère partie de la guerre de 100 ans. Il a un style très vivant et brillant. Quant aux médiévistes, je pense notamment à Duby, dont les livres passionnants se lisent vraiment comme des romans.
Quelques titres :

- Guerriers et paysans

- L' An mil

- Guillaume le maréchal

- Le Chevalier, la femme, le pretre

"A propos de l' amour qu' on dit courtois"

"Que sait-on de l' amour en France au XIIe siècle"

- Dames du XIIe siècle
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MessageSujet: Re: Jean Favier (Histoire médiévale)   Jean Favier (Histoire médiévale) EmptySam 16 Aoû 2014 - 18:11

Citation :
L'historien médiéviste Jean Favier est mort

L'historien Jean Favier est mort mardi 12 août, à l'âge de 82 ans, des suites d'un cancer, a annoncé son fils samedi. Médiéviste réputé, Jean Favier avait été directeur des Archives nationales et président de la Bibliothèque nationale de France.
Totalité de l'article à lire sur : http://www.lemonde.fr/disparitions/article/2014/08/16/mort-de-l-historien-medieviste-jean-favier_4472484_3382.html
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