Feist

Ah quelquefois j'ai un peu de chance...Je m'aperçois que je ne vous avais pas parlé du concert de Feist que j'ai vu en octobre 2007...Eh oui!...Dans mon patelin!...C'est incroyable non?...

Feist, en fait, je l'écoutais en boucle depuis le mois de juin...Une amie raide fan me l'avait fait découvrir...Une parisienne qui a pu venir voir le concert avec moi...pour 11 euros!
C'était géant!
Et franchement je vous invite à courir voir ceux qui s'annoncent et dont tout le monde parle aujourd'hui...

Depuis, le disque je me le suis fait piquer (de bonnes grâces) par mon petit-fils qui a découvert que sa grand'mère était quand même un peu "branchée", qu'elle n'écoutait pas que de la musique classique...et que ...la classe!...elle était même allée voir Feist en concert!
Pour une fois, avant tout le monde...

Dans Le Monde:(extraits)

Un an après la sortie de son troisième album,The Reminder, la chanteuse canadienne Feist, qui jouera à guichets fermés, à Paris, au Grand Rex les 3 et 4 juin, peut s'enorgueillir d'un joli succès. Plus de 1,2 million d'albums vendus dans le monde, dont 510 000 aux Etats-Unis, 240 000 au Canada, 150 000 en France, 100 000 en Grande-Bretagne ; un tube, 1234, fredonné partout ; un accueil critique dithyrambique ; quatre nominations aux Grammy Awards. Cela pourrait paraître banal pour une vedette pop anglo-saxonne. Ça ne l'est pas quand on sait que cette jeune femme, née il y a trente-deux ans en Nouvelle-Ecosse, a été produite en France par la branche locale de Polydor, un label d'Universal.

Feist en concert : les 3 et 4 juin au Grand Rex, à Paris ; le 5, à Villeurbanne. Complet.

Si la France a su exporter des artistes étrangers dans le domaine du jazz ou des musiques du monde, rarissimes étaient jusque-là les artistes pop-rock anglo-saxons à s'imaginer l'Hexagone comme tremplin international.

Après avoir autoproduit au Canada un très confidentiel premier album, Monarch (Lay Your Jewelled Head Down), Leslie Feist a choisi de s'exiler en Europe. "C'était un choix de vie, explique aujourd'hui la chanteuse, une façon de m'enrichir artistiquement et de profiter d'un art de vivre qui fait défaut à l'Amérique."

Elle s'installe d'abord à Berlin, proche d'une communauté d'artistes parmi lesquels son compatriote le pianiste Gonzales, demeuré son fidèle complice. Après un séjour à Rome, elle emménage finalement à Paris et enregistre les maquettes d'un nouvel album, [i]Let It Die, avec Gonzales et l'ingénieur du son français Renaud Letang.

La filiale anglaise de Mercury, autre label d'Universal, courtise la demoiselle. Pourtant, Feist signe chez Polydor France. "J'ai senti que je pouvais ici obtenir une liberté artistique totale", estime Feist.

Une voix "à la fois énergique et émotive" et des chansons batifolant avec grâce entre pop contemporaine et musiques d'avant le rock.Enregistré de nouveau avec Gonzales et Renaud Letang, dans un manoir de la région parisienne, l'excellent The Reminder sort fin avril 2007. Stéphane Davet[/i]

Feist dans Telérama: clic

1,2,3,4...

My moon my man

I feel It all

Mushaboom

Mordicus a écrit:

(1, 2, 3, 4... Ca a été ma chanson de réveil doux pendant quelques mois...)

à force de l'entendre dans la pub, j'ai fini par l'aimer.
je déteste quand je me lobotomise comme ça. J'aime pas un truc, pas spécialement, et après des mois de matraquage, vlà que j'ai envie de l'avoir... (j'ai résisté, je suis forte quand même)

et en concert je l'ai trouvé insupportable, alors je l'ai toujours zappée.

Queenie a écrit:

et en concert je l'ai trouvé insupportable, alors je l'ai toujours zappée.

Tu ne peux pas savoir puisque tu as zappé...Alors évidemment...nous n'avons pas les mêmes attentes musicales...mais je l'ai trouvé excellente en concert...
(A côté du concert c'est le CD qui neDéchirepasSaMère)

Mordicus a écrit:

coline a écrit:

(A côté du concert c'est le CD qui neDéchirepasSaMère)

Hé.
Coline "Rox du Poney".

Le problème c'est que je ne comprends pas ce que tu me dis... "DéchirerSaMère"...ça allait encore...