À l’ombre du maître - Citation :
- 4e de couverture
La vie d'un village comme les autres : un maire riche, un employé mélancolique, un maître amoureux, des gamins sans scrupules, un avare furieux... Un petit monde que l'auteur connaît bien.
J’ai voulu découvrir cet auteur à cause du livre d’
Antonio Ventura/Pablo Audladell –
ici – qui est un hommage pour Farias.
Il a écrit plus de livres pour la jeunesse, mais aussi pour les adultes. Malheureusement je n’ai pas réussi de dénicher un de ses livres pour adultes dans une des langues que je peux lire. J’ai donc opté pour un livre de jeunesse. Bien que je dois dire après la lecture que cette notion a besoin d’être bien définie pour ce livre. Bien que c’est écrit dans un style ‘simple’ et se présente certainement comme facile à suivre, il y a beaucoup de non-dits et des connaissances préalables entre les lignes.
Publié en 1995, le portrait qu’il peint de ce petit village, pourrait bien se retrouver lors des années franquistes. Le maire qui a trop de pouvoir et trop d’argent. Le maître qui n’enseigne pas ce que lui dit le maire et se fait donc licencié…
Mais n’importe les significations entre les lignes, la lecture est très bonne et fait beaucoup de plaisir.
Un très bon aperçu d’un village qui pourrait se trouver un peu partout dans le monde
Avec des illustrations en noir et blanc de
Jesús Gabánson site