Barbet Schroeder

C'est exactement ça

Faut dire que la techno, j'y connais rien (c'en est Marko ?) et les boites, pas grand-chose.

C'est vrai que j'ai pas forcément accroché à cette scène, mais elle est relativement courte (3-4 minutes ?). En revanche, j'ai adoré le reste.

Barfly, de Barbet Schroeder (1987)

Quelqu'un qui l'a vu ?
Je me le suis maté hier soir. On s'y croirait. Je trouve que l'univers de Bukowski est plutôt bien retranscris.
C'est glauque, ça picole (petit reproche : y a jamais de gueule de bois), et il erre sans but, préférant sa vie d'ivrogne dans les bas-fonds de L.A à toute sorte de possible élévation sociale. Il veut simplement n'être rien, juste rien.
Mickey Rourke colle assez bien au personnage.

pas vu pour ma part.

(bricolage de fil pour le réalisateur au passage).

ArturoBandini a écrit:

Barfly, de Barbet Schroeder (1987)

Quelqu'un qui l'a vu ?
Je me le suis maté hier soir. On s'y croirait. Je trouve que l'univers de Bukowski est plutôt bien retranscris.
C'est glauque, ça picole (petit reproche : y a jamais de gueule de bois), et il erre sans but, préférant sa vie d'ivrogne dans les bas-fonds de L.A à toute sorte de possible élévation sociale. Il veut simplement n'être rien, juste rien.
Mickey Rourke colle assez bien au personnage.

Allez hop, Buko + picole, ça suffit pour me convaincre (bien qu'il n'y ait pas de gueule de bois mais bon...)

tu viendras nous donner tes impressions j'espère. En tant qu'adepte de son univers ...

ArturoBandini a écrit:

Barfly, de Barbet Schroeder (1987)

Quelqu'un qui l'a vu ?
Je me le suis maté hier soir. On s'y croirait. Je trouve que l'univers de Bukowski est plutôt bien retranscris.
C'est glauque, ça picole (petit reproche : y a jamais de gueule de bois), et il erre sans but, préférant sa vie d'ivrogne dans les bas-fonds de L.A à toute sorte de possible élévation sociale. Il veut simplement n'être rien, juste rien.
Mickey Rourke colle assez bien au personnage.

Oh oui, je l'avais vu à sa sortie, avec le fameux Mickey Rourke (En 87??? ouch, si loin que ça??) et euh...disons ce n'etait pas ma cup of tea, ou plutôt mon deci de rouge. Je m'étais copieusement rasée, à l'époque. Mais qui sait? J'étais jeune et fragile en ces temps , peut être que l'esprit Bukowski passerait mieux chez moi, à présent?