Parfum de livres… parfum d’ailleurs
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Parfum de livres… parfum d’ailleurs

Littérature, forum littéraire : passion, imaginaire, partage et liberté. Ce forum livre l’émotion littéraire. Parlez d’écrivains, du plaisir livres, de littérature : romans, poèmes…ou d’arts…
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment : -23%
(Black Friday) Apple watch Apple SE GPS 44mm ...
Voir le deal
199 €

 

 Bernhard Kellermann [Allemagne]

Aller en bas 
AuteurMessage
kenavo
Zen Littéraire
kenavo


Messages : 63288
Inscription le : 08/11/2007

Bernhard Kellermann [Allemagne] Empty
MessageSujet: Bernhard Kellermann [Allemagne]   Bernhard Kellermann [Allemagne] EmptyMer 28 Sep 2016 - 6:21

Bernhard Kellermann [Allemagne] A_310

Bernhard Kellermann, né le 4 mars 1879 à Fürth en Allemagne et décédé le 17 octobre 1951 à Klein-Glienicke, près de Potsdam, est un écrivain allemand.


source et suite
Revenir en haut Aller en bas
kenavo
Zen Littéraire
kenavo


Messages : 63288
Inscription le : 08/11/2007

Bernhard Kellermann [Allemagne] Empty
MessageSujet: Re: Bernhard Kellermann [Allemagne]   Bernhard Kellermann [Allemagne] EmptyMer 28 Sep 2016 - 6:21

Bernhard Kellermann [Allemagne] A178 / Bernhard Kellermann [Allemagne] A_211
Das Meer / La mer
Citation :
Présentation de l’éditeur
"Le meilleur roman de la mer" selon Céline !
Après un séjour de quatre mois à la pointe de Pern sur l’île d’Ouessant en 1907 dans la Villa des Tempêtes ancien bâtiment hébergeant la trompette de brume à vapeur (1885 à 1900), Bernhard Kellermann publie en 1910 Das Meer, traduit en français en 1924.
L’île (Ouessant jamais nommée), la mer, le vent, les femmes, les hommes partis sur l’Océan sont la matière de ce roman magnifique et intemporel.
« Nous avions tout ce que le c ur peut désirer. Nous avions des femmes à foison, nous avions à boire, nous avions des tempêtes qui tourbillonnaient à une vitesse de quatre-vingts nœuds. Nous n’avions besoin de rien : merci, passez votre chemin... Dans notre île, il n’y avait ni arbres ni buissons. Elle avait l’air d’une chaîne de montagnes tombée en ruines, et tout autour, les écueils râlaient dans le ressac. Mais nuit et jour il tonnait, écoute ! C’était la mer. Il ventait ; le vent criait continuellement, et quand un humain passait sur la lande, il ondoyait comme un drapeau en loques. À toute heure du jour et de la nuit, les mouettes striaient. L‘île et la mer leur appartenaient...

Jusqu’à présent, je n’ai pas encore lu des livres de Céline, mais avec cette phrase de lui, je suis tout à fait d’accord.

Ce qui est regrettable, je l’ai lu en allemand et ne pourrais donc pas donner des extraits.

Il a en quelque sorte ‘inventé’ tout un dictionnaire de mots pour décrire la mer, les vagues, le paysage de l’île d’Ouessant.

C’est tellement fascinant, on se croit en plein milieu des tempêtes qu’il décrit. Il fait vraiment fort, aussi bien côté mer que côté terre.

La vie sur l’île début du XXème est aussi très bien décrite. On partage les moments des marins lors de leur séjour à terre, il est parmi les invités d'un mariage.

Il y a beaucoup d’alcool, du vent, de la pluie. Il sort avec les pêcheurs, il participe à leur vie de tous les jours.

Si on connait Ouessant, c’est encore mieux, on y est à 100%.

Une lecture vraiment passionnante que j’ai savourée pleinement.

Un séjour îlien qui m’a rafraichi !

Bernhard Kellermann [Allemagne] A_212

Maurice Utrillo, Ferme sur l’île d’Ouessant, 1910
Revenir en haut Aller en bas
 
Bernhard Kellermann [Allemagne]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Parfum de livres… parfum d’ailleurs :: Le cœur du forum : Commentons nos lectures en toute liberté… :: Littérature germano-néerlandaise (par auteur ou fils spécifiques)-
Sauter vers: