kenavo Zen Littéraire
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| Sujet: Sheila Watson Ven 14 Oct 2016 - 6:16 | |
| Née en 1909 à New Westminster, Sheila Watson a obtenu des diplômes des universités de Colombie-Britannique et de Toronto, et s’est principalement consacrée à l’enseignement. La publication, en 1959, de son premier livre, The Double Hook ( Sous l’oeil de Coyote), marque le début du roman canadien moderne. Sheila Watson est décédée à Nanaimo en 1998. Source : Editeur
pour en savoir plus (en anglais) | |
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kenavo Zen Littéraire
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| Sujet: Re: Sheila Watson Ven 14 Oct 2016 - 6:16 | |
| / Deep Hollow Creek - Citation :
- Présentation de l’éditeur
Stella, institutrice tout juste diplômée, choisit d’aller enseigner aux enfants des colons du hameau isolé de Deep Hollow Creek, en Colombie-Britannique, pendant la Dépression. Influencée par la beauté de la nature environnante, la jeune femme absorbe l’esprit des lieux, qui deviennent peu à peu partie d’elle-même, miroir de ses émotions. Seules les familles qui l’entourent, avec les histoires qu’elles racontent et les épreuves qu’elles endurent, arrivent parfois à ouvrir une brèche dans sa forteresse de solitude, faite de mots et de soliloques. Rédigé dans les années 1930, ce classique des lettres canadiennes d’une puissance et d’une modernité étonnantes ne fut publié en anglais qu’en 1992. Je suis avec beaucoup d’intérêt les parutions de la maison d’édition Les Allusifs et ce livre ne pouvait donc pas m’échapper. Je l’ai lu en anglais… et après les premières pages je me suis demandée si j’avais bien fait, j’avais l’impression que je ne comprenais rien du tout… ou qu’il manquait des mots, voire des phrases entières… Peu à peu je me suis laissée emporter par ses mots (dont je gardais jusqu’à la fin l’impression qu’il y avait trop de « blancs » dans certaines phrases), mais je n’ai quand même pas trouvé tout à fait l’entrée pour ce récit. Après les premiers chapitres je suis allée voir si je pouvais avoir plus d’informations aussi bien sur Sheila Watson que sur ce livre. Dans sa biographie sur Wikipédia (anglais) j’ai pu lire qu’elle a une façon à part d’écrire, c’est la moindre des choses qu’on peut dire. Si ses romans sont considérés comme début du roman moderne en littérature canadienne, je dois dire que je ne suis pas très susceptible pour cette modernité. Oui, vous avez raison, c’est rare, presque exceptionnelle, que je ne parle pas en éloges d’un livre. C’est surtout que je suis pour la plupart du temps bon public, et je sais très bien cibler mes lectures, du coup, très peu de déceptions. Si cela arrive, que je n'aime pas, je ne vois pas non plus la faute dans le livre. Il y a des rencontres qui ne se font pas et ce livre de Sheila Watson en fait malheureusement partie. Et j’avais vraiment envie d’aimer ce livre, le sujet était intéressant, le résumé alléchant… mais bon, cela n’a pas suffit dans ce cas. Un avis d’une lecture qui rejoint la mienne Village en Colombie-Britannique, fin années 30 | |
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shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Sheila Watson Ven 14 Oct 2016 - 10:47 | |
| d'après ton commentaire au moins ce livre publié par Les Allusifs a bien trouvé sa maison.
ceci dit la référence à une 'modernité' littéraire me fait dresser l'oreille (et puis j'aime bien aussi cette maison d'édition)... je le note au cas où ... | |
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kenavo Zen Littéraire
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| Sujet: Re: Sheila Watson Ven 14 Oct 2016 - 14:02 | |
| oui, en effet, cela se pourrait que tu sois la bonne lectrice pour ce roman... | |
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