Où lisais-tu ? Où lis-tu ? Où liras-tu ?

Steven a écrit:

En ce moment, je lis là :





Quand je lève les yeux, je vois ça :



ET je ne vous dis même pas quand je tends le bras !

kenavo a écrit:

c'est décidé, prochaine rencontre parfumée chez Steven

Je vote pour !

Steven a écrit:

En ce moment, je lis là :





Quand je lève les yeux, je vois ça :



ET je ne vous dis même pas quand je tends le bras !

J'ai les mêmes bains de soleil verts mais pas le même arbre fruitier....j'ai un merisier dont je ne goûte à aucun fruits puisque ces de goinfres de merles les mangent tous!
Je vote pour une rencontre estivale chez steven aussi (j'apporte mes "sun daskes" + coussins moëlleux)

Chatperlipopette a écrit:

(j'apporte mes "sun daskes" + coussins moëlleux)

et confitures maison

Ah oui, je vote pour aussi, quand les pêches seront bien mûres

Attention steven, les parfumés arriiiiiiiiiiiiiiiivent

Chatperlipopette a écrit:

Attention steven, les parfumés arriiiiiiiiiiiiiiiivent

Là, j'hésite entre et

Steven a écrit:

Là, j'hésite entre et

Plus que nous tu meurs

Epi a écrit:

Steven a écrit:

Là, j'hésite entre et

Plus que nous tu meurs

Steven, ta première réaction est appropriée

Comme une envie de faire remonter ce fil pour savoir si vos habitudes de lecteur ont changé depuis vos réponses, pour connaître les habitudes des autres.
Depuis que j'ai ouvert ce fil, mes habitudes ont bien changé : Deux lieux de lecture principalement. Dans mon lit, demi allongé, sans couette à bras - j'ai entendu ça l'autre jour - ou sur ma terrasse plein sud, les petits matins de soleil... Même en plein hiver, quand le soleil est timide mais si agréable.

Pas faciles tes questions Steven...

Où lisais-je ?
Quand j'étais gamine il me semble que je lisais surtout dans mon lit ou sur le lit de ma grand-mère. J'aimais bien aussi m'installer sur la table de la cuisine et apprendre par coeur mes histoires préférées (je connaissais Blanche-Neige sur le bout de la langue). J'adorais lire sur la terrasse de la piscine municipale après m'être bien dépensée dans l'eau, et je lisais parfois à table. J'avais le droit de manger un sandwich en lisant des BDs pendant que ma mère et mes grands-parents prenaient leur repas à côté
Y a pas si longtemps que ça je lisais encore en cours, dans les amphis ou pendant les TDs. Non seulement je ne perdais pas mon temps inutilement mais en plus cette pratique m'a permis de développer une concentration accrue (pas facile de se concentrer sur des textes quand le boucan autour est constitué d'une centaine de décibels de blablas en tous genres). Maintenant je ne le fais plus : je ne vais plus en cours, ah, ah, ah !

Où lis-je ?
Dans les transports (voiture/train/bus). Dans mon lit... Aux chiottes... En faisant du vélo d'appartement... En prenant mon petit-déjeuner (interdit de me parler pendant ce temps-là. Mon petit-déjeuner ne dure jamais moins de trente minutes. Parfois j'oublie qu'il faut manger)... Dans les salles d'attentes des toubibs... En caisse quand le magasin est vide... Au ciné en attendant que le film commence... Dans un bar en attendant quelqu'un... Dans un bar alors que je n'attends personne...
Bref, rien de très original...

Où lirai-je ?
Bon, question trop difficile, je saute.

Le vélo d'appartement, je ne peux pas, comme tous les sports d'intérieur. Le sport, je ne peux que le pratiquer qu'en plein air, quelque soit le temps. Quand j'ai dû me faire opérer du genou et que j'ai du faire des séances de re-athlétisation en salle, j'ai beaucoup souffert. Mais j'avais un livre lorsque je soulevais la font ou lorsque je pédalais... Je crois que c'était La maladie de Sachs de Winckler et La dérive des sentiments d' Yves Simon.

Justement, la lecture sur un vélo d'appartement ça aide à faire du sport sans qu'on ne s'en rende compte. J'ai avalé des kilomètres sur ce bon vieux vélo sans avoir jamais eu le sentiment de faire le moindre effort...

Les livres que tu as lus lors de tes séances obligatoires ne t'ont pas laissé de trop mauvais souvenirs ?

Pour la dérive des sentiments, ça a été un gros coup de coeur et la découverte d'un auteur qui m'est très cher.
Plus mitigé pour La maladie de Sachs. J'avais lu aussi L'historienne et Dracula, en deux tomes mais il m'avait lassé.