| Parfum de livres… parfum d’ailleurs Littérature, forum littéraire : passion, imaginaire, partage et liberté. Ce forum livre l’émotion littéraire. Parlez d’écrivains, du plaisir livres, de littérature : romans, poèmes…ou d’arts… |
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| Abé Kôbô | |
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Auteur | Message |
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eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Abé Kôbô Mar 17 Fév 2009 - 17:35 | |
| - The Valuk a écrit:
- un coup c'est un homme qui déambule dans une ville et qui se transforme en plante
Tiens, ça me rappelle l'excellente et stupéfiante nouvelle de Yasutaka Tsutsui, Plantée là... (du recueil Le Censeur de rêves, dont je pourrais difficilement dire assez de bien). Dans cette nouvelle, c'est une dictature qui plante les opposants. C'est bien, ça fait des arbres en plus dans la ville. Il y a des liens entre Abé Kobo et Yasutaka Tsutsui, en fait… mais chez ce dernier, tous les thèmes du genre perte d'identité sont utilisés de façon provocatrice et humoristique, pas sinistre, mais finalement vraiment très forts. Je regrette énormément que ses livres soient devenus très difficilement trouvables. Quand je pense que deux livres sont en attente de trouver des éditeurs… On peut le voir sur le site de jlpp : http://www.jlpp.com/tsutsui-yasutaka.html Sur ce même site, on peut baver sur d'autres livres en attente de trouver un éditeur… rhââââ… Il y a même du Kafû ( http://www.jlpp.com/rivalite.html ). | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Abé Kôbô Mar 17 Fév 2009 - 17:41 | |
| - eXPie a écrit:
- Quand je pense que deux livres sont en attente de trouver des éditeurs… On peut le voir sur le site de jlpp : http://www.jlpp.com/tsutsui-yasutaka.html
le deuxième: Mon sang est le sang d’un autre est publié en allemand (2006) - puisque tu sais lire cette langue | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Abé Kôbô Mar 17 Fév 2009 - 18:02 | |
| - kenavo a écrit:
- eXPie a écrit:
- Quand je pense que deux livres sont en attente de trouver des éditeurs… On peut le voir sur le site de jlpp : http://www.jlpp.com/tsutsui-yasutaka.html
le deuxième: Mon sang est le sang d’un autre est publié en allemand (2006) - puisque tu sais lire cette langue Il faudrait que j'en fasse, des progrès, pour pouvoir le lire... Les éditeurs allemands sont meilleurs que les nôtres, ou les lecteurs plus curieux, je ne sais pas... | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Abé Kôbô Mar 17 Fév 2009 - 18:10 | |
| - eXPie a écrit:
- Il faudrait que j'en fasse, des progrès, pour pouvoir le lire...
- eXPie a écrit:
- Les éditeurs allemands sont meilleurs que les nôtres, ou les lecteurs plus curieux, je ne sais pas...
disons - voilà l'exception qui fait la règle - en ce qui concerne littérature japonaise/chinoise.. en fait presque toute l'Asie (à part Haruki Murakami ) on est plutôt mieux avec les maisons d'éditions française qu'allemande!! | |
| | | Elise Envolée postale
Messages : 129 Inscription le : 23/08/2008 Age : 37
| Sujet: Re: Abé Kôbô Ven 17 Juil 2009 - 17:15 | |
| C'est marrant ce que tu dis eXPie sur la traduction : on m'a dit que Murakami était très mal traduit par exemple, ou tout du moins, que c'était d'une platitude terrible stylistiquement, dans sa traduction française.
Le problème de la traduction est insoluble. Particulièrement quand il s'agit de langues orientales, si éloignées de la langue française. Chaque langue portant en son sein une culture riche, touffue, voire toute une manière de penser, de conceptualiser le monde... Impossible, probablement, à transmettre pleinement à des lecteurs étrangers.
Je n'ai pas lu La Femme des sables pour l'instant, je n'ai lu que Le Visage d'un autre. Pour Le Visage d'un autre, le style adopté est clairement non littéraire.
Pour le coup, tout ceci me rappelle en fait les polémiques sur les traductions de Dostoïevski et Kafka. Enfin, la dernière traduction en date de Markowicz des Dostoïevski est, intentionnellement, au plus près du texte original : sans fioritures, un texte rugueux, âpre, qui se répète, avec beaucoup de virgules, parfois difficile à bien ingérer tant c'est dense, lancinant etc. Quelque chose qui, il faut croire, se veut plus proche du texte original, et même du maniement de la langue originale (et qui fait sens par rapport au fond même de l'oeuvre du monsieur russe). Il ne m'étonnerait pas, pour une histoire aussi particulière que La Femme des sables, pour une langue aussi étrange que le japonais (rien qu'en lisant des traductions de manga... on se rend compte de certains gouffres impossibles à résoudre quand il s'agit de traduire) que l'auteur n'ait pas voulu créer des distorsions dans la langue... Après, pour l'instant j'ai été moins gênée que tu as pu l'être par les extraits que tu as postés... Je vois la maladresse des tentatives du traducteur à retranscrire quelque chose qui se veut moins lisse, peut-être plus boiteux qu'un texte plus conventionnel... mais je salue quand même l'intention du traducteur. Je ne pense pas que les textes d'Abe Kobo soient purement intellectuels, surtout avec une langue aussi biscornue. Enfin, c'est peut-être parce que moi-même je suis en ce moment particulièrement sensible à la matière même d'une langue et à ses possibilités poétiques... Le plaisir est différent, je trouve. | |
| | | Kashima Envolée postale
Messages : 111 Inscription le : 13/04/2009
| Sujet: Re: Abé Kôbô Lun 10 Aoû 2009 - 10:38 | |
| - sentinelle a écrit:
- La femme des sables , prix du Meilleur Livre étranger en France (1962).
D’avoir vu le film m’a donné envie de lire le livre de cet auteur japonais.
Un homme, passionné par les cincidèles (sorte de mouches) dont il fait la collection et dont il voudrait découvrir une espèce, part pendant ses trois jours de congé dans un désert. Un vieil homme lui propose de lui trouver un lieu où dormir pour la nuit. L’homme accepte : il se retrouve prisonnier d’un trou où vit une veuve d’une trentaine d’année : impossible d’en sortir…
Le livre se compose en grande partie des pensées du narrateur, ce professeur séquestré pour mener une vie absurde qui consiste à déblayer le sable pour que le trou ne se trouve pas recouvert. En regardant les stries que fait le sable à ses pieds, par exemple, ces images lui viennent : « Et s’il se faisait que ces vagues fussent des vagues de sons, (…) quel genre de musique pourrait-il en sortir ? Qui sait, peut-être un chant tout pareil à celui que se mettrait à chanter un être humain si… Si quoi ? Si on lui enfonçait des pincettes dans les narines pour lui boucher les deux oreilles avec les caillots de sang qui lui tomberaient du nez… Si, une à une, on lui cassait les dents à coups de marteau pour lui en enfoncer les éclats dans l’urètre… Si on lui coupait au bistouri les deux lèvres de sa vulve pour lui recoudre aux paupières… » (186) Son intelligence se laisse gagner par ces idées surréalistes : la chaleur, le manque d’eau, l’impossibilité d’une issue le poussent à penser sans cesse. P 187, cette chanson : « J’ai pour le cafard un billet, Un aller sans Retour, wouh, wouh.. »
Parfois, il se laisse aller à coucher avec la femme des sables qui semble aimer cela et rechercher ce contact. Une image, encore, frappante, de l’après-coït : « Entre les chairs du coquillage, sa verge demeurait fanée. » (169) Avec elle, il retrouve la vitalité d’un désir brut. Chez lui, avec celle qu’il appelle « l’autre », sa femme, il ne pouvait pas arriver à faire l’amour sans un préservatif, il se sentait impuissant, comme une « blennorragique mental », comme elle le disait.
Dans le trou où il vit, la maison est envahie par le sable qu’il faut déblayer. Celui-ci est humide, entraîne pourriture et mauvaises odeurs. A propos de celles-ci, l’homme se dit (207) : « Entre autres choses, qu’il n’est pour un chacun rien dont le goût soit plus exquis que le goût de la cire crasseuse qu’il a dans ses propres oreilles, et que ça passait même en saveur le meilleur fromage d’origine. »
Le sable, l’objet de toutes les réflexions et de tous les maux. Dans les de ses rêves à demi-éveillés, l’homme s’imagine que les villageois pourraient vivre dans des tonneaux qui rouleraient sur le sable et qui permettraient d’éviter le déblaiement. Tentatives d’évasion, résignation, illuminations… Mais l’échec est là, dès les premières pages : « En plein mois d’août, un beau jour, il advint qu’un homme s’évanouit sans laisser de traces. (…) Et c’est ainsi que, nul n’ayant saisi la véritable chaîne, les choses restant en l’état et sept années ayant passé, - par application de l’article trente du Code Civil, le décès fut, en fin de compte, enregistré. » Ce n’est pas un livre à suspens : les jeux sont faits, le lecteur le sait, l’homme ne le sait pas, et son espoir en est d’autant plus dérisoire.
Le film de Teshigahara me semble une très bonne adaptation, le noir et blanc rendant encore plus la pesanteur et l’absurdité de cet emprisonnement sans fin.
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| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Abé Kôbô Lun 10 Aoû 2009 - 10:46 | |
| - Kashima a écrit:
D’avoir vu le film m’a donné envie de lire le livre de cet auteur japonais.
[...]
Le film de Teshigahara me semble une très bonne adaptation, le noir et blanc rendant encore plus la pesanteur et l’absurdité de cet emprisonnement sans fin.
Un des très rares cas où j'ai préféré le film au livre... | |
| | | Kashima Envolée postale
Messages : 111 Inscription le : 13/04/2009
| Sujet: Re: Abé Kôbô Lun 10 Aoû 2009 - 10:55 | |
| J'aime bien lire avant de voir et là, j'ai fait le contraire, fortement marquée par ce film étrange. Je dois dire que les deux m'ont plu, que j'ai trouvé l'adaptation cinématographique très fidèle au livre, très juste. | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Abé Kôbô Sam 29 Jan 2011 - 18:44 | |
| L'homme boîte publié en 1973 Présentation de l'éditeur : - Citation :
- Kôbô Abé est un des tous premiers écrivains japonais d'aujourd'hui. Redoutable parabole des temps modernes, son roman L'Homme-boîte nous interroge un peu à la manière des pièces de Beckett. Cet homme qui a enfoui sa tête et le haut de son corps dans une boîte en carton n'est pas un Diogène cynique réfugié dans un tonneau par mépris de l'humanité. C'est un anti-héros, un être mythique dont le mal profond est l'impuissance. Un voyeur aussi, car la seule relation qu'il peut établir avec le monde extérieur se fait par l'intermédiaire de son regard. Ce personnage anonyme a placé un écran entre les autres et lui afin de se protéger des contraintes de la société et la boîte est pour lui à la fois sécurisante et protectrice. Tourmenté et solitaire, il est en même temps capable d'humour et même d'amour. Pour Kôbô Abé, qui est aussi médecin, une identité détruite peut en quelque sorte être "refaçonnée". Et c'est grâce à la femme qu'il aime que "l'homme-boîte" sortira de son carcan volontaire et rejoindra la vie.
Comme certains d'entre vous, j'ai trouvé le style d'Abé souvent lourd et pompeux, n'hésitant pas à nous bassiner d'effets spéciaux sans que l'on sache où il veut en venir. J'ai parfois eu l'impression que tout cela ne servait qu'à cacher un éventuel manque d'idées, ce que je n'aurais pas trouvé étonnant vu que l'histoire tourne vite en rond. Le début m'avait pourtant bien plu. L'histoire est originale, le style n'est pas encore trop pompeux, et puis tout se dégrade au fil des pages. Il vient se mêler une histoire de vrai/faux homme-boîte où je me suis bien emmêlée les pinceaux... Les premières pages sont intrigantes : - Citation :
- Il est certain que l’homme-boîte ne se remarque pas facilement. Il est comme une ordure qui aurait été jetée sous un pont ou bien entre une palissade et des v-c publics. Mais il y a une différence entre ne pas être visible et ne pas être remarqué. Comme il ne s’agit pas d’un être particulièrement remarquable, il y a toutes les chances que tu aies eu l’occasion d’en apercevoir un. Toi, par exemple, il t’a sûrement sauté aux yeux. Mais je conçois bien que, par ton attitude, tu aies refusé de le reconnaître. Tu n’es pas la seule personne à le regarder sans le voir ; tu détournes les yeux instinctivement. C’est comme si, la nuit, tu portais des lunettes très sombres ou un masque, tu ne pourrais éviter que l’on te prenne pour une créature très timide, ou pour quelqu’un qui mijote un mauvais coup.
- Citation :
La seule erreur de A. était d’être plus conscient qu’un autre de sa condition d’homme-boîte. Vous ne pouvez pas vous moquer de lui. Si vous êtes un de ceux qui ont imaginé dans leurs pensées, même une fois, une ville anonyme qui existerait seulement pour les habitants anonymes, une ville où ce qu’on appelle les portes seraient ouvertes à tous sans discrimination, une ville où, parmi ceux qui vous sont étrangers, vous n’auriez pas besoin d’être sur la défensive, où vous pourriez marcher sur la tête ou dormir dans la rue sans qu’on vous dise rien, où vous pourriez chanter si vous êtes fier de votre talent, et où, quand vous avez fait tout cela, vous pourriez, si vous le désiriez, vous mélanger à la foule anonyme –alors, vous ne devriez pas être indifférent, car vous pouvez toujours être exposé aux mêmes dangers que lui. C’est pourquoi, il ne faut jamais pointer un fusil devant un homme-boîte. Passage lourd dont Abé a le génie ( ). Le passage est court, je vous épargne le pire : - Citation :
- Oui ; peut-être est-ce moi qui suis en train d’écrire en t’imaginant, toi qui es en train d’écrire en m’imaginant, moi.
Bon, le livre est aussi parcouru de photographies accompagnées de commentaires en rapport avec l'histoire plutôt bien trouvés. Vous pouvez vous contenter de cet album-photo si vous avez envie d'avoir une idée du contenu du bouquin sans le lire en entier - Citation :
- Quand je pense à de petites choses, je crois que j’aimerais continuer à vivre. Des gouttes de pluie… des gants trempés qui ont rétréci… Quand je contemple quelque chose de trop grand. J’ai envie de mourir… le building du Parlement ou la carte du monde…
Mais je suis trop méchante... Ce livre n'est franchement pas mauvais, il est seulement agaçant, parce qu'on a parfois envie de dire à Kôbô Abé d'arrêter de vouloir faire de l'esprit à tout prix, parce que ça ne lui réussit pas tellement au bonhomme... C'est un peu le même sentiment qu'on ressent à la lecture des livres d'Amélie Nothomb : ce n'est pas mauvais, il y a plein de bonnes idées mais il y a des passages qui sonnent cruellement faux et qui donnent envie de reposer le bouquin aussitôt. Et ça gâche le plaisir, c'est dommage... | |
| | | Cachemire Sage de la littérature
Messages : 1998 Inscription le : 11/02/2008 Localisation : Francfort
| Sujet: Re: Abé Kôbô Sam 29 Jan 2011 - 18:59 | |
| - colimasson a écrit:
- [center]L'homme boîte publié en 1973
Bon, le livre est aussi parcouru de photographies accompagnées de commentaires en rapport avec l'histoire plutôt bien trouvés. Vous pouvez vous contenter de cet album-photo si vous avez envie d'avoir une idée du contenu du bouquin sans le lire en entier
Curieux, je ne me souviens pas de ces photos... Tu es sûr que c'est dans l'édition d'origine et voulu par l'auteur? | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Abé Kôbô Dim 30 Jan 2011 - 21:49 | |
| - Cachemire a écrit:
- colimasson a écrit:
- [center]L'homme boîte publié en 1973
Bon, le livre est aussi parcouru de photographies accompagnées de commentaires en rapport avec l'histoire plutôt bien trouvés. Vous pouvez vous contenter de cet album-photo si vous avez envie d'avoir une idée du contenu du bouquin sans le lire en entier
Curieux, je ne me souviens pas de ces photos... Tu es sûr que c'est dans l'édition d'origine et voulu par l'auteur? Je ne sais pas du tout... Il me semble que ces photos ont été choisies par l'auteur puisqu'elles sont accompagnées de légendes... Et le livre que j'ai lu est celui dont j'ai mis la couverture dans mon précédent message... | |
| | | Cachemire Sage de la littérature
Messages : 1998 Inscription le : 11/02/2008 Localisation : Francfort
| Sujet: Re: Abé Kôbô Lun 31 Jan 2011 - 6:49 | |
| - colimasson a écrit:
Je ne sais pas du tout... Il me semble que ces photos ont été choisies par l'auteur puisqu'elles sont accompagnées de légendes... Et le livre que j'ai lu est celui dont j'ai mis la couverture dans mon précédent message... Tu as raison, j'ai vérifié... j'ai le livre dans ma bibliothèque et il y a des photos dedans... je l'ai lu en 1987 (je l'ai écrit dedans!) et je ne me souviens absolument pas de ces photos, c'est très curieux (une amnésie?!). | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Abé Kôbô Lun 31 Jan 2011 - 21:44 | |
| Ca ne t'as pas marqué parce que tu n'as peut-être pas trouvé ces insertions d'images très pertinentes ? Parfois, elles n'ont pas de rapport avec le texte développé à côté et c'est peut-être pour ça que tu ne t'en souviens pas très bien ? | |
| | | Cachemire Sage de la littérature
Messages : 1998 Inscription le : 11/02/2008 Localisation : Francfort
| Sujet: Re: Abé Kôbô Mar 1 Fév 2011 - 17:28 | |
| - colimasson a écrit:
- Ca ne t'as pas marqué parce que tu n'as peut-être pas trouvé ces insertions d'images très pertinentes ? Parfois, elles n'ont pas de rapport avec le texte développé à côté et c'est peut-être pour ça que tu ne t'en souviens pas très bien ?
Oui, c'est vrai. C'est sans doute pour cela. | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Abé Kôbô Mar 17 Mai 2011 - 12:03 | |
| Paru le 6 Mai, la réédition d’un roman de Kôbô Abé : Rendez-vous secretLe résumé de Jessica Schneider sur le quotidien en ligne Seattle PI. : « Un homme part à la recherche de sa femme, qu’une ambulance a emportée à l’aube sans raison apparente, et erre dans les couloirs souterrains d’un hôpital. Un cheval lui apparaît régulièrement, qui lui parle de son pénis. Des expériences sexuelles ont lieu sur les patients, qui sont amenés à l’orgasme par de curieuses machines. » Le programme a l’air intéressant… | |
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| | | | Abé Kôbô | |
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