Heinz Günter Konsalik, pseudonyme de Heinz Gunther (28 mai 1921 - 2 octobre 1999), était un nouvelliste allemand à succès. Un grand nombre de ses ouvrages son en rapport avec la guerre. Der Arzt Von Stalingrad (Le médecin de Stalingrad) l'a rendu célèbre et a été adapté au cinéma en 1958. Les 183 millions d'exemplaires vendus de ses 155 nouvelles ont fait de lui le nouvelliste allemand le plus populaire de l'après-guerre. Il a été enterré à Cologne.
auteur de 155 romans traduits dans 42 langues. Souvent regardé de haut par la critique, Konsalik pouvait se targuer d'être l'auteur allemand de l'après-guerre le plus lu en Allemagne et dans le monde, avec un tirage de 83 millions d'exemplaires de l'ensemble de ses livres.
Une douzaine de ses romans ont été adaptés à la télévision ou au cinéma. Une partie de ses romans était inspirée de la Seconde guerre mondiale, que Konsalik avait lui même faite en France et sur le front russe, où il avait été gravement blessé.
Son livre le plus célèbre, avec 3,5 millions d'exemplaires, s'intitule d'ailleurs
Le Médecin de Stalingrad. L'auteur qui disait qu'"un homme sans passion, sans amour, n'est pas pour moi un homme", plaçait également l'amour au centre de ses romans. Parmi ses autres succès se trouvent
Nuits d'amour dans la Taïga ou
Bataillons de femmes,
Extase mortelle ou
La Baie des requins.
Konsalik avait écrit son premier roman à l'âge de 10 ans. A 15 ans il publiait des nouvelles dans des journaux avant d'entreprendre des études de médecine et de littérature.
De retour de la guerre, il travaille comme journaliste avant de publier son premier roman en 1946. Mais c'est Le Médecin de Stalingrad qui lui apportera en 1956 une gloire qui ne devait plus se démentir par la suite. Son dernier roman,s'intitulait
L'Hypnotiseur.
Une partie de ses romans ici:http://www.livrenpoche.com/auteur/Konsalik-Heinz-G/3453.html
J'en ai lu quelques uns qui appartenaient à mon grand-père grand fan de cet auteur.
J'ai bien aimé
Les damnés de la Taïga:
Résumé Pris dans une tempête sibérienne, l'avion s'est écrasé au sol...
Dans le désert glacé de la taïga, un petit groupe d'hommes et de femmes avancent dans les tourbillons de neige, titubant de froid, ivres d'angoisse... Unique et très provisoire secours quelques vivres arrachés à l'épave.
Ils marchent, ils errent vers le sud, mais qu'est-ce que le Sud dans cette immensité où l'homme jamais encore n'a pénétré?
Face aux mortels dangers qu'ils affrontent, ces êtres, que seul le hasard a réunis, seront-ils solidaires, fraternels? Non, dans ce huis-clos de l'infini, les masques tombent, les haines s'exaspèrent, les appétits charnels se déchaînent...
Et puis, un jour, un fleuve apparaît, et dans les sables de la rive brillent des pépites d'or!
La violence devient délire…
J'en ai lu d'autre mais ils ne m'ont pas laissé un souvenirs impérissable.