Portraits d'auteurs

Louis-Ferdinand Céline :


par Trémois


par Decrouzol

Louis-Ferdinand Céline :



par Detlev Foth

Jean Mauréas :

puisqu'il est sur le portail


Philip K. Dick par Pete Welsh

C'est très... pop !

Émile Verhaeren dans son bureau (Rue du Moulin), 1892, Théo van Rysselberghe (1862–1926)

Portrait de l'écrivain Max Hermann Neisse, 1925 par Georg Grosz

colimasson a écrit:

Portrait de l'écrivain Max Hermann Neisse, 1925 par Georg Grosz

Son portrait ne me donne pas vraiment envie de découvrir l'auteur ...
Je me demande si Neisse a donné son accord ou ce qu'il en pensait ...

GrandGousierGuerin a écrit:

colimasson a écrit:

Portrait de l'écrivain Max Hermann Neisse, 1925 par Georg Grosz

Son portrait ne me donne pas vraiment envie de découvrir l'auteur ...
Je me demande si Neisse a donné son accord ou ce qu'il en pensait ...

… et pourtant, ‘Macke’ comme ses amis berlinois appelait Max Herrmann-Neisse, était le poète le plus peint de son époque, ses vers les plus admirés. Il avait l’allure d’un Toulouse-Lautrec allemand, un génie infirme. En avait-il aussi l’exhibitionnisme ?

Il y a quelques années un éditeur allemand a commencé par publier la correspondance de Max Herrmann avec justement le peintre George Grosz. Mais ce ne fut pas un succès en librairie et ce qui intéresse surtout le lecteur allemand, c’est le discours de ces intellectuels partis s’exiler du nazisme à partir de 1933. Difficile donc de retrouver ce que Macke pensait de son portrait de 1925, mais peut-être pas impossible…

Maline a écrit:

GrandGousierGuerin a écrit:

colimasson a écrit:

Portrait de l'écrivain Max Hermann Neisse, 1925 par Georg Grosz

Son portrait ne me donne pas vraiment envie de découvrir l'auteur ...
Je me demande si Neisse a donné son accord ou ce qu'il en pensait ...

… et pourtant, ‘Macke’ comme ses amis berlinois appelait Max Herrmann-Neisse, était le poète le plus peint de son époque, ses vers les plus admirés. Il avait l’allure d’un Toulouse-Lautrec allemand, un génie infirme. En avait-il aussi l’exhibitionnisme ?

Il y a quelques années un éditeur allemand a commencé par publier la correspondance de Max Herrmann avec justement le peintre George Grosz. Mais ce ne fut pas un succès en librairie et ce qui intéresse surtout le lecteur allemand, c’est le discours de ces intellectuels partis s’exiler du nazisme à partir de 1933. Difficile donc de retrouver ce que Macke pensait de son portrait de 1925, mais peut-être pas impossible…

Merci Maline pour la précision ... Si tu trouves par hasard cette info, n'hésite pas à la transmettre ...
Peut-être as-tu un avis ?

GrandGousierGuerin a écrit:

Peut-être as-tu un avis ?

Je ne connais pas bien la poésie de Max Herrmann-Neisse pour donner un avis sur sa personne, par contre tout ce qui touche à Georg Grosz m'intéresse beaucoup.

GrandGousierGuerin a écrit:

colimasson a écrit:

Portrait de l'écrivain Max Hermann Neisse, 1925 par Georg Grosz

Son portrait ne me donne pas vraiment envie de découvrir l'auteur ...
Je me demande si Neisse a donné son accord ou ce qu'il en pensait ...

Je ne trouve pas que ce portrait soit rebutant, au contraire ! Je ne connais pas Max Hermann Neisse mais ce tableau donne l'impression que c'est un bonhomme fantasque et peut-être un peu tordu aussi... bref, ça peut laisser supposer que ce qu'il est écrit n'est pas foncièrement inintéressant !

Bertolt Brecht par Rudolf Schlichter (1926) :

Portrait par Ludwig Meidner



Portrait of the Writer Johannes R. Becher, 1916