Maisons d'édition [INDEX 1ER MESSAGE]

petite maison d'édition sympa





leur site

trouvé tout plein de pistes de lectures chez cette maison d'édition sympa:






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Pourvu qu'ils ont un site internet, j'ai ajouté au premier message de ce fil les liens vers les maisons d'éditions dont on parle sur ce fil

kenavo a écrit:

Pourvu qu'ils ont un site internet, j'ai ajouté au premier message de ce fil les liens vers les maisons d'éditions dont on parle sur ce fil

Bravo !

kenavo a écrit:

Pourvu qu'ils ont un site internet, j'ai ajouté au premier message de ce fil les liens vers les maisons d'éditions dont on parle sur ce fil

Merci Kenavo.
Je ne vois pas L'art à la page
(je crois que j'en parlais page 3 mais l'adresse du site n'était plus bonne, c'est peut-être pourquoi tu ne l'avais pas indiqué.
Cette nouvelle adresse est bonne.)

en effet, le lien n'était plus bon et je n'avais pas cherché plus loin.. ça y est, ajouté à la liste

À cause du livre de Peter Handke, j'ai trouvé un autre éditeur intéresant:



Le Bruit du Temps

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il faut aussi parler ici de Monsieur Toussaint Louverture dont au moins deux livres ont été commentés par les Parf' (Le dernier stade de la soif d'Exley et Karoo de Tesich). Parce que, pour le coup, il s'agit d'un vrai travail d'éditeur, avec du beau papier, une typographie originale, une aération du texte fort bien venue et un objet très plaisant à tenir dans la main.

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shanidar a écrit:

il faut aussi parler ici de Monsieur Toussaint Louverture dont au moins deux livres ont été commentés par les Parf' (Le dernier stade de la soif d'Exley et Karoo de Tesich). Parce que, pour le coup, il s'agit d'un vrai travail d'éditeur, avec du beau papier, une typographie originale, une aération du texte fort bien venue et un objet très plaisant à tenir dans la main.

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D'ailleurs je me demande ce que vaut celui-ci : Journal ambigu d'un cadre supérieur.

Trouvé lors de mes recherches sur le net

Citation :

Les éditions Reflets d’ailleurs cherchent à tisser des liens littéraires pour faciliter la découverte et la compréhension des différentes cultures du monde.
Elles privilégient, à la manière du carnet de voyage, la relation du texte et de l’image pour enrichir des contenus qui dévoilent des lieux et des espaces proches ou éloignés de chacun.
Si ces collections sont plutôt destinées à des adultes, les éditions Reflets d’ailleurs développent un secteur éditorial également axé sur l’Autre, qui s’adresse aux jeunes lecteurs.

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Si les éditeurs disparaissaient. L'auto-publication est de plus en plus à la mode. Mais est-ce réellement un modèle viable pour la littérature ?, un article intéressant paru sur Slate.

Citation :

Ce que l’éditeur apporte de plus précieux est sans doute aussi ce qu’il y a de plus abstrait pour le lecteur, une alchimie sans laquelle, souvent, l’œuvre n’existerait pas. « Le grand public aime croire au génie, sourit le spécialiste de l'édition Jean-Yves Mollier, il ne veut pas voir le travail. Il a besoin de croire que l’œuvre sort du cerveau comme un héros tout armé de la cuisse de Jupiter. Mais entre le moment de l’écriture du livre et sa publication, il y a une création de valeur intellectuelle, spirituelle. »

Jules Verne est l’un des exemples les plus frappants. En 1862, quand il rencontre son futur éditeur Pierre-Jules Hetzel, et voit son premier manuscrit refusé, il ignore qu’il rencontre l’homme sans qui rien n’eût été possible. En 1863, paraît Cinq Semaines en Ballon (le titre est de Hetzel), et leur collaboration durera 24 ans, jusqu’à la mort de l’éditeur.

Hetzel donne à Verne des conseils d’écriture très précis, jusqu’à refaire le dénouement de telle ou telle manière, il change les titres, la structure des œuvres. Il est un lecteur pointilleux, exigeant. La correspondance des deux hommes en atteste. « L’œuvre de Jules Verne aurait été radicalement différente sans éditeur », souligne Joëlle Gleize, professeure de Lettres et spécialiste des relations de la littérature à l’édition.

Ce type de collaboration n’est pas resté ancré au XIXe siècle. Lionel Tran, auteur d’un roman intitulé No Présent (qui paraîtra le 26 septembre) et lui-même éditeur et animateur d’ateliers d’écriture, le dit en toute simplicité: « Un livre, c’est un travail collectif ».

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Gallimard vient de mettre son site à neuf réussi

Vu hier, chez Gibert, des livres au format parfois original, comme cette anthologie de textes sur les chats, éditions du Chat Rouge, maison d'édition que je ne connaissais pas.
Ils jouent à fond sur l'objet livre, ce qui est logique, quand on veut vendre des livres facilement trouvables ailleurs, comme Double Assassinat dans la rue Morgue. Mais il y a aussi du Jean Richepin, Jean Lorrain...

ah oui, je ne connaissais pas non plus, mais avec ce format et les couvertures le livre devient un très bel objet