| Parfum de livres… parfum d’ailleurs Littérature, forum littéraire : passion, imaginaire, partage et liberté. Ce forum livre l’émotion littéraire. Parlez d’écrivains, du plaisir livres, de littérature : romans, poèmes…ou d’arts… |
|
| Marcus Malte | |
|
+6bix229 domreader Queenie shanidar monilet kathel 10 participants | |
Auteur | Message |
---|
kathel Main aguerrie
Messages : 349 Inscription le : 16/01/2008
| Sujet: Marcus Malte Sam 7 Juin 2008 - 18:13 | |
| Qui est Marcus Malte ? Sur son site, il se présente ainsi : « Je suis né en 1967 et vit depuis ce temps à la Seyne sur Mer. Devant la mer. J’ai fait des études de cinéma. Mais ça n’a pas marché. J’ai été musicien. De rock. De jazz. De variétés. Mais ça n’a pas marché. Aujourd’hui j’essaie d’écrire des histoires. On verra. » Parmi sa bibliographie :Le Vrai con maltais, Baleine, 1999 Carnage, constellation, Fleuve noir, 1998 Cent jours avec Antoine et Toine, Seuil Jeunesse, 2000 Et tous les autres crèveront, Zulma, 2001 La Part des chiens, Zulma, 2003Mon frère est parti ce matin..., Zulma, 2003 Intérieur nord, Zulma, 2005 Garden of love, Zulma, 2007.
Dernière édition par kathel le Sam 7 Juin 2008 - 18:17, édité 1 fois | |
| | | kathel Main aguerrie
Messages : 349 Inscription le : 16/01/2008
| Sujet: Marcus Malte Sam 7 Juin 2008 - 18:16 | |
| Garden of love : Présentation de l'éditeur : Troublant, diabolique même, ce manuscrit qu'Alexandre Astrid reçoit par la poste. Le titre : Garden of love. L'auteur : anonyme. Une provocation pour ce flic sur la touche, à la dérive, mais pas idiot pour autant. Loin de là. Il comprend vite qu'il s'agit de sa propre vie. Dévoyée. Dévoilée. Détruite. Voilà soudain Astrid renvoyé à ses plus douloureux et violents vertiges. Car l'auteur du texte brouille les pistes. Avec tant de perversion que s'ouvre un subtil jeu de manipulations, de peurs et de pleurs. Comme dans un impitoyable palais des glaces où s'affronteraient passé et présent, raison et folie, Garden of love est un roman palpitant, virtuose, peuplé de voix intimes qui susurrent à l'oreille confidences et mensonges, tentations et remords. Et tendent un redoutable piège. Avec un fier aplomb. Editeur : Zulma (2007) 317 pages Ce roman a obtenu de nombreux prix littéraires et vient de recevoir le Prix des Lectrices de ELLE 2008 (catégorie policier).
Mon commentaire : J’ai été happée dès le début par le récit, les récits qui s’entremêlent, se répondent et mettent le lecteur à contribution pour combler certaines ellipses, déduire certains liens entre eux… C’est très habile, tout ce qu’on croyait avoir compris s’agence soudain autrement, et les pièces du puzzle prennent une nouvelle place. L’auteur a un don pour se mettre dans la peau des personnages les plus ambigus qui est fascinant. Et l’écriture ! J’ai lu ce roman presque deux fois, tellement je m’arrêtais souvent pour relire et savourer un paragraphe dont la musique me parlait spécialement. Quelque part dans le roman, un des personnages écrit : « Les mots fuient quand il s’agit d’explorer les sentiments. » Ils ne fuient pas Marcus Malte, en tout cas, qui les aligne, les agence particulièrement bien quand il s’agit de décrire les sentiments, tels la douleur de son « flic solitaire »… Voilà, j’ai terminé la larme à l’œil, c’est du grand art, et je ne peux que vous inviter à le lire ! | |
| | | monilet Sage de la littérature
Messages : 2658 Inscription le : 11/02/2007 Age : 75 Localisation : Essonne- France
| Sujet: Re: Marcus Malte Dim 8 Fév 2009 - 12:48 | |
| Toute la nuit devant nous
3 petites nouvelles bien plaisantes : la première effraie mine de rien par l'anodin de l'horreur la deuxième glace la troisième touche
Une réussite. | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Marcus Malte Mer 1 Sep 2010 - 10:35 | |
| La part des chiens Sordide... et aérien... D'ordinaire j'ai peu de goût pour les auteurs qui se servent du thème de l'avilissement (en particulier quand il s'agit des femmes, des enfants, des animaux, des lents) et qui vous plongent dans les bas-fonds miséreux et puants de villes portuaires. Marcus Malte précipite le lecteur au milieu des putes et des maquereaux, son écriture pue la sueur, le sperme et les éructations des bulles d'un mauvais champagne, celui que ces deux 'héros' boivent dans un bar à entraineuses. Zodiak a le corps tatoué et peut lire les lignes de la main, il cherche son amour, Sonia, sa femme libellule, funambule, disparue. Il est accompagné par le polac, son beau-frère, mangeur de tout (même de polystyrène, si si, Queenie) et juste bon à écorcher les rats. Le duo cherche dans une ville qui est à elle seule tout un personnage la femme égarée, enfuie, la femme perdue. Ils rencontrent tout un peuple hétéroclite, un nain pervers, des femmes-éléphants, des Monsieur Victor (on pense évidemment à la chanson de Barbara), des gens du cirque et des gens d'armes... Tout cela resterait aux ras des paquerettes si l'écriture de Malte ne forçait pas sans cesse le regard à dévier vers le ciel. Alors que tout ce qui tourne dans la ville ressemble à quelque chose de pourri, d'avilissant, de malfaisant et de dérisoire, le ciel est là, presque à portée de main, un ciel qui ouvre vers des beautés, celle de l'amour, de la filiation, celle de l'amitié entre deux hommes qui ont peu en commun. Il m'a fallu beaucoup de temps pour entrer dans ce roman, dépasser la couche de glace qui sert le coeur au début du récit et trouver dans les coeurs et les pognes fermés des deux hommes un brin d'humanité. Il m'a fallu du temps pour avaler les scènes de violence et arriver à celle du mariage entre Sonia et Zodiak, un très bel épisode qui ouvre ensuite le récit sur un peu plus de respiration et plus de grâce. Malte a l'art de vous faire plonger en apnée dans le sale pour d'une secousse du bassin vous faire ressortir vers le beau, si vous aimez les douches écossaises et si vous n'avez pas froid aux yeux (et à l'âme), ce livre comblera vos attentes. Etrangement, en lisant ce roman des scènes du Bal du Comte d'Orgel et du Grand-Meaulnes me sont revenues comme d'anciens souvenirs de fêtes scandaleuses et fantastiques, il y a un peu de cette magie-là chez Malte. | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Marcus Malte Mer 1 Sep 2010 - 16:39 | |
| Bon. Ça va, cessez donc : je le note sur ma LAL ! Voilà, c'est fait. Z'êtes COnteNTs j'espère ! | |
| | | domreader Zen littéraire
Messages : 3409 Inscription le : 19/06/2007 Localisation : Ile de France
| Sujet: Re: Marcus Malte Jeu 2 Sep 2010 - 9:46 | |
| - Queenie a écrit:
- Bon. Ça va, cessez donc : je le note sur ma LAL ! Voilà, c'est fait. Z'êtes COnteNTs j'espère !
La même !! C'est plus possible. | |
| | | kathel Main aguerrie
Messages : 349 Inscription le : 16/01/2008
| Sujet: Re: Marcus Malte Sam 4 Sep 2010 - 11:28 | |
| Toute la nuit devant nous Trois nouvelles, trois univers différents traversés par un thème commun, la jeunesse, le mal de vivre et les échappatoires choisis pour y faire face, des points de vue différents de la part de l’auteur et toujours cette écriture travaillée et qui semble couler de source de Marcus Malte. J’avoue tout de suite que j’ai retrouvé avec plaisir ce style qui m’avait tant plu dans La part des chiens et Garden of love, et si l’univers de ces nouvelles est très sombre, la sensibilité et la subtilité avec laquelle il est décrit font de cette lecture un moment qu’on n’aspire qu’à faire durer. Ma préférée est la première, « Le fils de l’étoile », où un garçon solitaire et imaginatif supporte difficilement l’ambiance d’une colonie de vacances. Heureusement il y rencontre François qui sera son seul ami deux étés de suite… « Des noms de fleurs » met en scène quatre jeunes idéalistes qui n’acceptent pas l’inaction face à des industries polluantes. Enfin, « Le père à Francis », par la voix et le vocabulaire d’un minot de banlieue marseillaise, nous fait partager les rêves de ce jeune qui se voit footballeur de haut niveau grâce à un entraîneur qui croit en lui. Quant au titre du livre, outre qu’il permet de charmantes dédicaces, il prend une signification différente par rapport à chacune des nouvelles : subtil, je vous l’ai déjà dit ! | |
| | | kathel Main aguerrie
Messages : 349 Inscription le : 16/01/2008
| Sujet: Re: Marcus Malte Sam 4 Sep 2010 - 11:30 | |
| La part des chiens C’est un roman noir, très noir, sombre et tourmenté, mais peut-être pas tout à fait désespéré ! Les personnages, Zodiak et Roman, dit le polac, ont passé leur enfance et leur jeunesse dans le même cirque. Ils ont tout quitté pour une quête de neuf cent vingt-sept jours, à la recherche de Sonia, le seul amour de Zodiak. Ils pénètrent dans une ville du sud, un port où ils pensent la trouver. On pourrait croire l’avoir déjà lue, l’avoir déjà vue, cette histoire qui a quelque chose d’un film, mais avec Marcus Malte, elle contient une poésie et une noirceur inhabituelles. Avec une certaine angoisse, j’ai suivi ces deux marginaux dans leur quête au bord de la folie, dans des recoins ignorés, délaissés de cette ville. L'écriture de l'auteur m'en a fait aimer les endroits les plus sordides. Certains moments, certaines rencontres de l'histoire sont cruels, d’autres plus tendres et on peut craindre une fin paroxystique à cette quête, mais… Je vous laisserai le découvrir par vous-même !
Extrait : Mais c’était à lui de les démêler et il s’y appliquait sans relâche car il savait qu’au bout d’un de ces tortueux parcours il trouverait forcément ce qu’il cherchait. Son amour. Et il savait aussi qu’il n’avait pas d’autres choix que celui de continuer à chercher car il ne pouvait pas vivre sans son amour. Il en avait déjà eu la preuve. Maintes preuves concrètes. Sans son amour, il n’était plus un être humain. Pire qu’un serpent froid, pire qu’un loup blessé, sans son amour il en était réduit à une créature sans nom chaque jour plus solitaire et chaque jour plus cruelle. Une créature en danger, et dangereuse, qui s’abreuvait la nuit à la source du mal, là où nul autre animal n’oserait même tremper ses lèvres. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Garden of Love Dim 19 Sep 2010 - 22:34 | |
| - kathel a écrit:
- Garden of love :
Présentation de l'éditeur : Troublant, diabolique même, ce manuscrit qu'Alexandre Astrid reçoit par la poste. Le titre : Garden of love. L'auteur : anonyme. Une provocation pour ce flic sur la touche, à la dérive, mais pas idiot pour autant. Loin de là. Il comprend vite qu'il s'agit de sa propre vie. Dévoyée. Dévoilée. Détruite. Voilà soudain Astrid renvoyé à ses plus douloureux et violents vertiges. Car l'auteur du texte brouille les pistes. Avec tant de perversion que s'ouvre un subtil jeu de manipulations, de peurs et de pleurs. Comme dans un impitoyable palais des glaces où s'affronteraient passé et présent, raison et folie, Garden of love est un roman palpitant, virtuose, peuplé de voix intimes qui susurrent à l'oreille confidences et mensonges, tentations et remords. Et tendent un redoutable piège. Avec un fier aplomb. Editeur : Zulma (2007) 317 pages Ce roman a obtenu de nombreux prix littéraires et vient de recevoir le Prix des Lectrices de ELLE 2008 (catégorie policier).
Mon commentaire : J’ai été happée dès le début par le récit, les récits qui s’entremêlent, se répondent et mettent le lecteur à contribution pour combler certaines ellipses, déduire certains liens entre eux… C’est très habile, tout ce qu’on croyait avoir compris s’agence soudain autrement, et les pièces du puzzle prennent une nouvelle place. L’auteur a un don pour se mettre dans la peau des personnages les plus ambigus qui est fascinant. Et l’écriture ! J’ai lu ce roman presque deux fois, tellement je m’arrêtais souvent pour relire et savourer un paragraphe dont la musique me parlait spécialement. Quelque part dans le roman, un des personnages écrit : « Les mots fuient quand il s’agit d’explorer les sentiments. » Ils ne fuient pas Marcus Malte, en tout cas, qui les aligne, les agence particulièrement bien quand il s’agit de décrire les sentiments, tels la douleur de son « flic solitaire »… Voilà, j’ai terminé la larme à l’œil, c’est du grand art, et je ne peux que vous inviter à le lire ! Je rejoins totalement l'enthousiasme de Kathel pour ce roman. Véritable kaléidoscope, effet de miroir, les thèmes récurrents de Garden of love sont le double et la dualité de l’être humain, sujets au combien complexes et fascinants. Il faut juste accepter de ne pas tout comprendre pendant un bon bout de temps, l’auteur ne dévoilant certaines clés qu’au fur et à mesure du récit. Et quelle écriture agréable (je confirme la musicalité particulière déjà relevée par Kathel ). Un roman subtil qui scotche rapidement le lecteur. Mais à ne pas lire en dilettante : il demandera toute votre attention sous peine d’être complètement largué. C’est qu’il se mérite le bougre ! Un auteur à découvrir, assurément. En tout cas, c’est un coup de cœur en ce qui me concerne. So I turn’d to the Garden of Love That so many sweet flowers bore; And I saw it was filled with graves Alors je me tournai vers le Jardin de l’Amour Qui portait tant de fleurs exquises ; Et je vis qu’il était rempli de tombes Extrait d’une œuvre de William Blake (1757-1827) |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Re: Marcus Malte Jeu 27 Jan 2011 - 15:04 | |
| LES HARMONIQUES. - Série Noire/Gallimard
Est-ce un polar ou un roman d' amour ? Le récit d' une nuit qui n' en finitpas ou celui d' une espérance tetue, celle des premières lueurs de l' aube... Derrière les chienneries de la vie, les silences et les non dits, les notes secrètes d' une symphonie déglinguée... Ce qui reste quand il ne reste rien. L' amour, malgré tout.
Michel Abescat. Télérama
| |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Marcus Malte Lun 10 Sep 2012 - 18:13 | |
| machiavélique, très machiavélique ce roman de Marcus Malte, il faut le lire longtemps avant de pouvoir deviner un peu la trame de ce livre bien mené, comprendre un peu de quoi il est question. Le problème pour moi, c'est que Marcus Malte cherche à être encore plus malin que le diable en personne et qu'à ce petit jeu, le lecteur n'est pas forcément gagnant. Même si j'ai retrouvé dans cet opus, l'écriture en dent de scie de Malte (fange et éclaircie, dureté et amour), cette fois je n'y ai pas trouvé mon compte, trop d'évènements improbables, de mises en scène hasardeuses m'ont éloignés du texte, trop de lyrisme, trop d'envolées, trop d'acharnement dans la langue. Sans compter l'alignement de clichés qui rendent la lecture très figée : le flic pourri, alcoolique et aigri, qui n'attend plus qu'une rédemption ; le méchant, incarnation du Diable, vêtu de noir et jouant à pile ou face avec la vie des autres, et les femmes... que dire ? Il semble que pour Malte les femmes ne puissent être que des saintes ou des putains... c'est un peu trop basique pour donner du relief aux personnages féminins qui ont bien du mal à exister dans ces pages. C'est dommage car l'idée de départ était très intéressante, la construction de l'intrigue est extrêmement bien menée mais à force de vouloir faire feu de tout bois, Malte ouvre des portes ouvertes qui manquent de réalisme. | |
| | | églantine Zen littéraire
Messages : 6498 Inscription le : 15/01/2013 Age : 59 Localisation : Peu importe
| Sujet: Re: Marcus Malte Sam 5 Avr 2014 - 11:59 | |
| - kathel a écrit:
En survolant le festival Quais du Polar qui se passe actuellement à Lyon j'ai été frappée par "cette belle gueule " !!!! ça me donnerait presque envie de tenter de lire un de ces bouquins ! | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: Marcus Malte Ven 16 Sep 2016 - 14:40 | |
| -Garden of love-Le roman débute sur une nouvelle: Une fille très hot, dans une scène qui ne l'est pas moins, reçoit généreusement quatre copains. Une autre décrit un père de famille qui tombe sur un ami lointain et craint de voir sombrer son équilibre affectif. La troisième dépeint un adolescent fasciné par un camarade de classe au charisme étrange et inquiétant, et ainsi de suite s'enchaînent les récits, en apparence non liés, mais servant en fait la même toile narrative. Celle d' un flic à la dérive, suite à un drame personnel, qui reçoit un manuscrit anonyme regroupant ces nouvelles et dévoilant son propre passé ... J'ai été d'entrée séduite (L'écriture est ciselée, inventive, parfois pleine de poésie) bien que l'enchevêtrement m'ait par moments déroutée. On ne sait plus qui est le narrateur: le flic, l'ado, ou celui qui les manipule, si on est dans le présent, le passé ou la fiction. Peu à peu le puzzle prend forme mais restent des zones d'ombre et j'ai souvent dû revenir en arrière. Un exercice captivant, avec ce jeu de doubles qui se répondent, l'incarnation du bien et du mal, mais un chouïa trop alambiqué. Je suppose que l'auteur a agi sciemment, jouant, comme un des narrateurs, de notre surprise pour mieux nous perdre. Et cela fonctionne, j'ai été prise dans ses filets jusqu'au dénouement, qui du coup (c'est obligé) m'a paru tout de même un peu tiré par les cheveux. En bref, un roman prenant, même si l'on en ressort dubitatif. L'important est peut être de se perdre, justement? . | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: Marcus Malte Ven 16 Sep 2016 - 20:59 | |
| Ah, je pensais Aeriale que tu nous parlerais de son dernier roman : Le Garçon qui vient d'être publié chez Zulma... j'hésite à m'y intéresser... kathel le fera peut-être... (à suivre) | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: Marcus Malte Sam 17 Sep 2016 - 10:39 | |
| Non, je ne l'ai pas encore lu, et il m'intrigue.
Par contre j'irai le voir vendredi prochain présenter son livre dans une librairie de Nice où je vais parfois (L'Acropole) avec quelques amies. Je vous dirai ... | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Marcus Malte | |
| |
| | | | Marcus Malte | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|