Ce livre ou ce film devrait te plaire...

kenavo a écrit:

Marko, Arabella, eXPie.... (Mimi, je ne sens cette auteur pas pour toi) ou d'autres parfumés qui aiment la musique: Cécile Wajsbrot, Conversations avec le maître ici

puisque je ne suis pas autant fascinée par la création de compositions, surtout modernes, je n'ai pas pu profiter de cette lecture à 100%, mais peut-être ceux qui ont une autre approche envers cette forme d'art?

Je ne suis pas non plus fascinée par la création musicale classique, et peut-être y'a t'il un peu de ça, mais je n'ai absolument pas réussi à rentrer dans ce roman, je l'ai vite laissé tomber!!

Aeriale a écrit:

Je ne suis pas non plus fascinée par la création musicale classique, et peut-être y'a t'il un peu de ça, mais je n'ai absolument pas réussi à rentrer dans ce roman, je l'ai vite laissé tomber!!

c'est dommage.. elle a quand même des choses à dire.. mais elle a en effet une façon à part de raconter...

Il est dans une bibliothèque pas très loin (pas celle juste derrière moi), j'irai voir si le livre peut s'immiscer dans ma PAL...

eXPie a écrit:

Il est dans une bibliothèque pas très loin (pas celle juste derrière moi), j'irai voir si le livre peut s'immiscer dans ma PAL...

je peux toujours me tromper.. mais les passages concernant la musique, tu pourrais certainement gagner plus que moi

Un livre pour Bix? qui nous a parlé plus d'une fois de cet auteur



Eleni Samios-Kazantzaki, La véritable tragédie de Panaït Instrati

Édition établie par Maria Teresa Ricci et Anselm Jappe

Citation :

Entre 1927 et 1929, Nikos Kazantzaki, Panaït Istrati et leurs compagnes respectives – Eleni Samios et Bilili – entreprennent un long voyage en URSS, afin de témoigner favorablement de l’avancée de la révolution russe. Inédit en français, ce récit d’Eleni Samios-Kazantzaki est celui de l’aventure qui conduit les quatre jeunes gens épris de révolution, sans "guide", depuis Moscou jusqu’aux confins européens de l’URSS. À l’occasion de ce voyage, Panaït Istrati, d’abord fervent partisan de la révolution, dut brutalement déchanter, ayant constaté les dérives et les abus de la bureaucratie stalinienne.

source et extrait

kenavo a écrit:

Un livre pour Bix? qui nous a parlé plus d'une fois de cet auteur



Eleni Samios-Kazantzaki, La véritable tragédie de Panaït Instrati

Mais, istrati a écrit son oeuvre en français
Édition établie par Maria Teresa Ricci et Anselm Jappe

Citation :

Entre 1927 et 1929, Nikos Kazantzaki, Panaït Istrati et leurs compagnes respectives – Eleni Samios et Bilili – entreprennent un long voyage en URSS, afin de témoigner favorablement de l’avancée de la révolution russe. Inédit en français, ce récit d’Eleni Samios-Kazantzaki est celui de l’aventure qui conduit les quatre jeunes gens épris de révolution, sans "guide", depuis Moscou jusqu’aux confins européens de l’URSS. À l’occasion de ce voyage, Panaït Istrati, d’abord fervent partisan de la révolution, dut brutalement déchanter, ayant constaté les dérives et les abus de la bureaucratie stalinienne.

source et extrait

Merci pour lui ! C' est vrai que la vie d' Istrati fut celle d' un idéaliste déçu. Mais son idéalisme, on le retrouve dans son oeuvre quand il parle de la Roumanie, des pauvres gens et des enfants !

Et le Salon du livre était consacré à la Roumanie ! Et j' ai oublié... Mais, je vais le proposer comme auteur du mois... Francophone, Hé hé !

Topocl était à la rercherche de livres qui parlent de photos? je ne connais pas ce livre, mais cela pourrait faire l'affaire?



Silvia Baron Supervielle, Lettres à des photographies

Citation :

Présentation de l'éditeur
Quelques photos sauvées de l'oubli, disposées près de la table de travail de Silvia Baron Supervielle, sont le point de départ de ces lettres bouleversantes, adressées à une mère disparue très tôt. Ces missives tentent d'imaginer la vie trop brève de la mère de l'écrivain. Son physique, ses origines, son mariage sont évoqués, conjurés même par Silvia Baron Supervielle afin de mieux la comprendre, et de lui rendre justice. Car après le remarriage du père, l'évocation de sa mémoire est interrompue. La jeune Silvia quitte l'Argentine – où, peut-être une douleur trop forte l'empêche de vivre pleinement – pour devenir écrivain et poursuivre ce dialogue jamais suspendu avec sa mère. Les cent soixante lettres rassemblées ici sont l'aboutissement poétique et biographie de ce cheminement, comme une façon de racheter un silence imposé autour d'une blessure existentielle trop vive.

je note , évidemment

Je pense à Maryvonne, Darkanny, Bix, Rivela, Animal, Colimasson, Topocl, Aériale et étonnamment (?) moi (et tant d'autres en fait) !

Je l'ai déjà cité ailleurs, mais il m'a tellement intrigué que je le met là, en entier.

Nick Hornby parle d'un de ses coups de coeur : Wild, Cheryl Strayed.

Citation :

Cheryl Strayed a pris la décision de parcourir les dix-sept mille kilomètres du Pacific Crest Trail, du désert de Mojave jusqu'à l’État de Washington, et d'en écrire un livre.
[...]Elle a parcouru le PCT au milieu des années 1990 et, comme le montre clairement le livre extraordinaire et inoubliable, elle l'a fait parce qu'elle n'avait pas vraiment le choix : elle était anéantie par la mort prématurée de sa mère, par une enfance difficile, par son mariage, trop jeune, avec un homme qu'elle aimait mais avec qui elle ne savait pas comment vivre, par sa dépendance à la drogue et ses écarts sexuels. L'ouverture de Wild est déchirante, mais elle vous convainc de son authenticité et de son impérativité. Et dans ces premières pages, vous découvrez également que Strayed n'était pas une randonneuse - qu'elle était aussi désorientée, abîmée et inexercée que tout lecteur de ce magazine [The Believer]. Son inaptitude pour cette mission est en fait l'un des thèmes du livre, et cela m'a permis d'y entrer. Je suis plutôt sûr que je ne baladerai jamais ma carcasse sur le PCT, et je suis tout aussi sûr que j'en serais incapable. Mais c'était à peu près la même chose pour Strayed avant qu'elle ne se lance. Et au final, ce livre est en grande partie drôle, d'une manière que vous n'attendrez pas si vous l'avez malencontreusement rangé dans la section "guide pratique féminin coincé" de votre bibliothèque mentale.
L'inexpérience de Strayed est telle qu'elle n'est pas capable de hisser son sac à dos surchargé ; après avoir mis au point un système callisthénique très complexe grâce auquel elle se dresse sur ses pieds comme sur un treuil, elle parvient à poursuivre son chemin. Parmi son matériel de survie se trouve une boite de douze préservatifs qu'elle jette en suivant les conseils d'un vieux voyageur rencontré dans un refuge, qui l'oblige à se délester. (Elle en glisse un dans sa poche quand il lui tourne le dos.)
J'ai aimé Wild pour son humour, mais je l'ai aussi aimé pour de nombreuses autres raisons. J'ai aimé la façon dont Strayed traduit la merveilleuse sensation d'une douche frappant votre corps quand celui-ci est sale et douloureux, par exemple, et ce que représenter une boisson lorsque vous vous êtes demandé quand vous boiriez de nouveau, et (spoiler alerte au préservatif) ce que peut procurer le sexe quand vous vous êtes senti seul.
Wild est plein de colère, de courage, de tristesse, de recul sur soi, de rédemption, de pureté et il est écrit d'une manière brillante et convaincante.

Merci, je note !

Alléchant... je vais essayer d'en lire un peu plus pour voir le ton de ce roman.

Oui, ça me dit bien ça!

Citation :

Wild est plein de colère, de courage, de tristesse, de recul sur soi, de rédemption, de pureté et il est écrit d'une manière brillante et convaincante.

Je le note sûr!

(Et merci à la Queen qui repère plein de bons trucs en ce moment )

Aeriale a écrit:

Oui, ça me dit bien ça!

Citation :

Wild est plein de colère, de courage, de tristesse, de recul sur soi, de rédemption, de pureté et il est écrit d'une manière brillante et convaincante.

Je le note sûr!

(Et merci à la Queen qui repère plein de bons trucs en ce moment )

(J'ai ouvert mes chakras)

Je recommande aux memes le livre de Madison Smartt Bell : La Ballade de Jesse. Je ne parviens pas vraiment à lire autre chose tellement j' ai encore la tete à ce livre...

A tous ceux qui apprécient la littérature danoise : La mort en Arabie : Thorkild Hansen. Un grand livre !