Allez, on gomme le flood et on recommence
(vos sarcasmes m'ont occasionné une telle déception -vous êtes des ingrats )Il faudrait changer le titre de ce fil.
Nombreux sont les internautes qui vont sur facebook ou Myspace, les chiffres sont là.
Je trouve qu’il n’y a rien de plus c… que d'y rechercher (pire : que d'y retrouver) ses amis de fac ou de l’école primaire, organiser des retrouvailles en resto et chatter en un direct-différé.
- Un jour, en requête croisée dans Google sur le nom de mon entreprise et de ma ville, je suis tombée sur un accès direct à la conversation d'une collègue avec sa copine de collège : elles se présentaient les photos de leurs mômes, avec plein de fautes d’orthographe, et l’heure indiquée de leur échange correspondait à une bien belle heure de pointe sur notre lieu de travail (cet échange était, comment dirais-je, assez pathétique, d'autant que notre boulot est plein d'intérêt et que je ne comprends pas qu'on s'y ennuie).
-Pour moi le Web2 c'est aussi le risque que le consommateur fonce sans créativité vers des serveurs, toujours les mêmes, faceBook, Twitter, youtube, daily... qui rendent bien service mais ont un monopole plutôt dérangeant. Il y a une uniformisation des moyens qui est inquiétante.
Facebook est un réseau social grand public, qu’on le veuille ou non et les 1ers touchés sont les jeunes exploitant à fond ce terrain-là (pourquoi ?)
Dans un rapport, la CNIL avait évoqué les dangers que représentent les réseaux sociaux pour la vie privée des internautes.
Souvenez-vous de ce type qu’un éventuel employeur avait rayé de sa liste après avoir trouvé sa vie privée affichée.
Malgré tout, si je suis loin d'avoir la
twitt attitude, il me semble que nous devons nous pencher là-dessus.
La possibilité qu'offrent certains réseaux dits sociaux, agrégateurs, infos véhiculées en temps réel, est quelque chose de précieux.
Dans un pays totalitaire et répressif comme l’Iran, des images nous sont parvenues récemment grâce aux réseaux et ce sont dans ces pays-là qu'il y a le plus de connectés, parce que leur liberté d'info, d'expression, ne va pas de soi.