traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Jean-Marie Laclavetine Ven 12 Juin 2009 - 11:42 | |
| - Citation :
- Jean-Marie Laclavetine, né à Bordeaux en 1953 est un éditeur, romancier et polémiste français. Il est aussi traducteur de l'italien. Alberto Savinio, Giuseppe Antonio Borgese, Leonardo Sciascia, Vitaliano Brancati ou Alberto Moravia font partie des auteurs qu'il a traduits.
# Les emmurés, Gallimard, 1981 (Prix Fénéon) # La Maison des absences, Gallimard, 1984 # Donnafugata, Gallimard, 1987 (Prix Valery Larbaud) # Conciliabule avec la reine, Gallimard, 1989 # En douceur, Gallimard, 1991 (Prix François Mauriac) # Rabelais, essai, éditions Christian Pirot, 1992 et 2000 # Gens d'à côté, photos de Jean Bourgeois, éditions Christian Pirot, 1992 (Prix du meilleur livre de la Région Centre) # Richard Texier, mon cousin de Lascaux, éditions du Cygne, 1993 # Le Rouge et le Blanc, Gallimard, 1994 # Demain la veille, Gallimard, 1997 # Port-Paradis avec Philippe Chauvet, Gallimard, 1997 # Richard Texier - Les Dieux de la nuit, Le Temps qu'il fait, 1998 # Écriverons et liserons, dialogue en vingt lettres avec Jean Lahougue, Champ Vallon, 1998 # Première ligne, Gallimard, 1999 (Prix Goncourt des lycéens) # Le pouvoir des fleurs, Gallimard, 2002 # La Loire, Mille kilomètres de bonheur, National Geographic, 2002 # Trains de vie, Gallimard, 2003 # Matins bleus, Gallimard, 2004 # Petite éloge du présent, Folio, 2007 # Nous voilà, Gallimard, 2009 Source : wikipedia
Dernière édition par traversay le Ven 12 Juin 2009 - 11:45, édité 1 fois | |
|
traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Jean-Marie Laclavetine Ven 12 Juin 2009 - 11:45 | |
| A propos de Nous voilà, paru le 26/02/09 : Jean-Marie Laclavetine a voulu écrire le roman d’une génération, celle des années 70, qui croyaient en des lendemains qui chantent et des utopies qui dansent. Il a bien fait. Nous voilà est sans aucun doute son roman le plus ambitieux et, sous la dentelle d’une intrigue loufoque (à partir du vol du cercueil de Pétain en 1973), il compose une symphonie qui dit les engagements passionnés puis les désillusions programmées des révolutionnaires à la manque de ces années là. Laclavetine, dans un style sans fioritures, mais joliment tourné, exprime une mélancolie et un désarroi profonds sous les masques de la liberté et de la fraternité. Rire de peur d’en pleurer, le remède a du bon, et on n’est pas près d’oublier les mésaventures de la dépouille du Maréchal dans un Larzac envahi par des protestataires de tous poils (de brebis). | |
|