Alexandre Jollien [Philosophie]

Bravo ! Quelle belle mélodie quand Pia-note !

Merci Pia pour ce commentaire.
En effet je n'aime pas Jollien. Je ne sais pas pourquoi. Je ne l'ai jamais lu. Mais il m'énerve chaque fois qu'il parle à la télé. Mais bon. Si tu dis qu'il est intéressant, ça pourra aussi changer un peu mon avis...

Jollien a écrit:

Ne pas se fixer dans une image, ou dans quoi que ce soit, puisque nous évoluons constamment et que ce que nous étions, nous ne sommes plus.

Ariane SHOYUSKI a écrit:

Merci Pia pour ce commentaire.
En effet je n'aime pas Jollien. Je ne sais pas pourquoi. Je ne l'ai jamais lu. Mais il m'énerve chaque fois qu'il parle à la télé. Mais bon. Si tu dis qu'il est intéressant, ça pourra aussi changer un peu mon avis...

J'ai lu Le Métier d'Homme il y a quelque temps. Je n'en ai même pas parlé, j'ai eu l'impression que son livre se résumait à si peu de choses, finalement...

shanidar a écrit:

(tu as l'air apaisée après cette lecture...).

Pendant un quart d’heure…Comme je disais, j’ai déjà tout  oublié ! Pas assez d'exercices...  

Allumette a écrit:

Pia,
Je suis très heureuse de savoir que tu as apprécié Petit traité de l'abandon et que tu envisages de lire d'autres essais d'Alexandre Jollien

Tu les as tous lu Allumette ?

GrandGousierGuerin a écrit:

Bravo ! Quelle belle mélodie quand Pia-note !

  Super ! Mélodie…tiens ça me donne envie de danser !

Ariane SHOYUSKI a écrit:

Merci Pia pour ce commentaire.
En effet je n'aime pas Jollien. Je ne sais pas pourquoi. Je ne l'ai jamais lu. Mais il m'énerve chaque fois qu'il parle à la télé. Mais bon. Si tu dis qu'il est intéressant, ça pourra aussi changer un peu mon avis...

Il vaut mieux que tu lises ce qui te vraiment plaisir Ariane.

eXPie a écrit:

J'ai lu Le Métier d'Homme il y a quelque temps. Je n'en ai même pas parlé, j'ai eu l'impression que son livre se résumait à si peu de choses, finalement...

Quelques lieux communs et quelques rappels qui, par son expérience du handicap, rend une impression plus intense de l’expression de leur description.  Il le dit à sa façon.

pia a écrit:

Allumette a écrit:

Pia,
Je suis très heureuse de savoir que tu as apprécié Petit traité de l'abandon et que tu envisages de lire d'autres essais d'Alexandre Jollien

Tu les as tous lu Allumette ?

Non, j'ai lu Le philosophe nu, L'éloge de la faiblesse et bien sûr Petit traité de l'abandon.

Allumette

eXPie a écrit:

Ariane SHOYUSKI a écrit:

Merci Pia pour ce commentaire.
En effet je n'aime pas Jollien. Je ne sais pas pourquoi. Je ne l'ai jamais lu. Mais il m'énerve chaque fois qu'il parle à la télé. Mais bon. Si tu dis qu'il est intéressant, ça pourra aussi changer un peu mon avis...

J'ai lu Le Métier d'Homme il y a quelque temps. Je n'en ai même pas parlé, j'ai eu l'impression que son livre se résumait à si peu de choses, finalement...

Pareil pour moi . Mais il peut faire du bien à certains de façons ponctuelles .
Il y en a quelques uns comme cela dans cette nouvelle mouvance et même s' ils n'apportent pas grand chose en littérature , ils ont au moins le mérite quelquefois d'apaiser ( le temps de la lecture, hélas ce n'est pas miraculeux.... toutes ces paroles )  certaines personnes , ce qui est déjà pas mal par les temps qui courent .

C'est de la gentille philosophie, un message positif mais qui manque parfois un peu de fond et de rigueur, mais il est un beau représentant de l'aide que peut apporter la philosophie.

En tout cas, il m'a donné envie de lire les philosophes...ce qui n'est pas peu dire....

J'ai lu et beaucoup apprécié "le philosophe nu", même si c'est trop ancien pour en faire un vrai commentaire.

Ce que j'aime chez lui c'est qu'il vit ce qu'il dit.
A quoi sert la philosophie si elle ne s'exprime pas dans le quotidien et reste uniquement cérébrale ?
Ce qu'il dit est faussement simple : il est évident que l'importance d'accepter son corps (par exemple) n'est pas une grande idée nouvelle
mais tout ce qu'il met en oeuvre pour y parvenir, tout ce qu'il traverse de souffrance et d'épreuves pour s'en rapprocher, ça c'est pas simple

Pour moi la philosophie n'a de valeur que comme outil de transformation et si elle est accessible au plus grand nombre.

Je lirai d'autres livres de M. Jollien et je le remercie pour son témoignage courageux

majeanne a écrit:

Ce que j'aime chez lui c'est qu'il vit ce qu'il dit.
A quoi sert la philosophie si elle ne s'exprime pas dans le quotidien et reste uniquement cérébrale ?
Ce qu'il dit est faussement simple : il est évident que l'importance d'accepter son corps (par exemple) n'est pas une grande idée nouvelle
mais tout ce qu'il met en oeuvre pour y parvenir, tout ce qu'il traverse de souffrance et d'épreuves pour s'en rapprocher, ça c'est pas simple

Pour moi la philosophie n'a de valeur que comme outil de transformation et si elle est accessible au plus grand nombre.

Je lirai d'autres livres de M. Jollien et je le remercie pour son témoignage courageux

Je ne peux qu'être d'accord....

Hanta a écrit:

C'est de la gentille philosophie, un message positif mais qui manque parfois un peu de fond et de rigueur, mais il est un beau représentant de l'aide que peut apporter la philosophie.

Je viens de lire l'éloge de la faiblesse. Je partage tout à fait ton avis à son sujet. De toute façon, comment ne peut-on faire preuve de commisération face à son parcours, son discours. Plus que de la philosophie, c'est avant tout un témoignage fort sur le handicap et la différence.
J'ai trouvé son livre touchant, même si le fait de discuter avec Socrate peut prêter à sourire.

Je retiens surtout ce passage ci-dessous:

Jollien a écrit:

Les philosophes aident beaucoup, non par leurs réponses, mais plutôt par leur méthode, par leur terrain d’investigation. Il m’est difficile d’expliquer autrement leur aide précieuse ! Au fil de mes études, la philosophie constitue pour moi une sorte de loupe pour observer la réalité, pour lire dans les événements quotidiens, pour trouver un sens aux expériences. Très tôt, j’ai éprouvé la nécessité de comprendre la cruauté que revêtaient parfois les relations entre individus, la précarité de ma condition d’homme.