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| Spain is different | |
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+4Aeriale coline Bédoulène swallow 8 participants | Auteur | Message |
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swallow Sage de la littérature
Messages : 1366 Inscription le : 06/02/2007 Localisation : Tolède. Espagne.
| Sujet: Spain is different Mer 7 Avr 2010 - 8:23 | |
| "This was my first time out of the United States. This video was the feeling I got while in Spain. The layers and layers of history everywhere the eyes turned gave the sense of mystery and exciting eeriness. It was a life-changing experience, and I have the utmost respect and envy toward the amazing lifestyle of the Spanish people." Matthew Brown.
On retrouve toute la variété du peuple espagnol dans cette video, sa vivacité, aussi.
http://vimeo.com/10530896 | |
| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Spain is different Mer 7 Avr 2010 - 9:35 | |
| merci pour cet agréable survol de l'Espagne et de ses habitants ! très intéressant ! et étant donné que je n'ai pas vu de corrida pour moi c'est | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Spain is different Mer 7 Avr 2010 - 11:55 | |
| - swallow a écrit:
-
On retrouve toute la variété du peuple espagnol dans cette video, sa vivacité, aussi.
http://vimeo.com/10530896 Très belle vidéo...Prenez les 3 minutes pour la regarder...Merci Swallow!... | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: Spain is different Mer 7 Avr 2010 - 20:01 | |
| - coline a écrit:
- Très belle vidéo...Prenez les 3 minutes pour la regarder...Merci Swallow!...
Oh oui, c'est super bien filmé! Merci Swallow... Et la musique de Cat Power en fond, une très chouette vidéo | |
| | | swallow Sage de la littérature
Messages : 1366 Inscription le : 06/02/2007 Localisation : Tolède. Espagne.
| Sujet: Re: Spain is different Mer 7 Avr 2010 - 20:21 | |
| Aériale: - Citation :
- Et la musique de Cat Power en fond,
Oui, tu as reconnu, on l´entend aussi à plusieurs reprises dans le dernier Almodovar "Abrazos rotos" ( Etreintes brisées). | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Re: Spain is different Jeu 8 Avr 2010 - 1:18 | |
| Je regarderai demain, aujourd' hui je dormais ! Marci Swallow ! | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Spain is different Jeu 8 Avr 2010 - 14:02 | |
| - swallow a écrit:
- Aériale:
- Citation :
- Et la musique de Cat Power en fond,
Oui, tu as reconnu, on l´entend aussi à plusieurs reprises dans le dernier Almodovar "Abrazos rotos" ( Etreintes brisées). J'aime beaucoup la voix de Cat Power mais j'ai vraiment l'impression qu'on peut mettre sa musique sur toutes sortes d'images...On la retrouve dans d'autres films...Lesquels? Aidez-moi... My blueberry nights de Wong Kar Wai? | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Spain is different Jeu 8 Avr 2010 - 19:47 | |
| - coline a écrit:
- swallow a écrit:
- Aériale:
- Citation :
- Et la musique de Cat Power en fond,
Oui, tu as reconnu, on l´entend aussi à plusieurs reprises dans le dernier Almodovar "Abrazos rotos" ( Etreintes brisées). J'aime beaucoup la voix de Cat Power mais j'ai vraiment l'impression qu'on peut mettre sa musique sur toutes sortes d'images...On la retrouve dans d'autres films...Lesquels? Aidez-moi... My blueberry nights de Wong Kar Wai? Oui, il y a du Cat Power ( Werewolf), dans Los Abrazos, et dans My Blueberry Nights ( Living Proof). En fait, c'est super tendance d'avoir du Cat Power sur sa Bande-son, et mettre "The Greatest", c'est devenu cliché. ici, liste de ses contributions au cinéma et à la télévision (mais y a-t-il tout ? pas sûr). | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Spain is different Jeu 8 Avr 2010 - 23:12 | |
| - eXPie a écrit:
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- coline a écrit:
- swallow a écrit:
- Aériale:
- Citation :
- Et la musique de Cat Power en fond,
Oui, tu as reconnu, on l´entend aussi à plusieurs reprises dans le dernier Almodovar "Abrazos rotos" ( Etreintes brisées). J'aime beaucoup la voix de Cat Power mais j'ai vraiment l'impression qu'on peut mettre sa musique sur toutes sortes d'images...On la retrouve dans d'autres films...Lesquels? Aidez-moi... My blueberry nights de Wong Kar Wai? Oui, il y a du Cat Power (Werewolf), dans Los Abrazos, et dans My Blueberry Nights (Living Proof). En fait, c'est super tendance d'avoir du Cat Power sur sa Bande-son, et mettre "The Greatest", c'est devenu cliché. ici, liste de ses contributions au cinéma et à la télévision (mais y a-t-il tout ? pas sûr). Merci eXPIe!... (J'ai écouté du Cat POwer toute la journée... ) | |
| | | swallow Sage de la littérature
Messages : 1366 Inscription le : 06/02/2007 Localisation : Tolède. Espagne.
| Sujet: Musée du PRADO. Sam 21 Déc 2013 - 13:08 | |
| Je devais une fois de plus mélanger littérature et peinture sur un fil, quand une Parfumée me demanda à propos du Prado de Madrid quels pourraient être mes tableaux préférès. Mes goûts évoluent et changent, mais ces temps-ci, je ne vais pas au Prado sans m´arrêter devant ces deux toiles. (1) GUIDO RENI- Atalante et Hippomène (1619) Parce que cet X que forment les jambes au bon milieu du tableau est une trouvaille de la part de l´artiste, et puis la lumière de ces corps nus dans cette obscurité toute caravagesque. (2) LE CORRÈGE, Madonne aux deux enfants. (1515). Pour l´intimité que me procure cette grotte qui me permet de m´isoler quelques instants de tant de foule et de brouhaha de groupes et des touristes agités et bavards. | |
| | | Sigismond Agilité postale
Messages : 875 Inscription le : 25/03/2013
| Sujet: Re: Spain is different Jeu 9 Avr 2015 - 21:11 | |
| Week-end pascal en Aragon plus précisément sur le lieux d'amours déjà anciennes mais renouvelées... - Spoiler:
Riglos Quand j'ai débuté l'escalade, l'endroit avait une réputation sulfureuse, sans doute un peu justifiée. Guère aseptisées, on rencontrait dans les voies tout un tas de choses hétéroclites en guise d'"équipement", à filer des cauchemars, à ne pas raconter aux jeunes enfants. Comme des burriles, ressemblant à des expansions mais ne s'enfonçant que de quelques millimètres dans la roche, et celles d'époque n'étaient pas inox, donc vieillissait avec une célérité des plus rares. Burril Comme du plomb maté, mince anneau d'acier que l'on tanque dans la roche en tapant sur un petit cône de plomb, qui, en se déformant, épouse les irrégularités du rocher... on se demande encore quel genre de chute cela peut retenir... Plomb maté Comme cette ceinture de sécurité, récupérée à la casse auto, qui entourait une patate rocheuse en guise de relais dans une voie soutenue et très déversante. On relayait dessus... Comme ces cornières de bois, qui se fichaient tant bien que mal à l'emplacement des pierres délogées, volontairement ou non, et offraient un point qui ne saurait s'apparenter à un piton ou un coinceur, mais allez, faisons comme si... Cornières de bois Pour ajouter à l'ambiance, qui n'en manquait déjà pas, un petit monument funéraire avec les noms des pionniers tombés là se rencontre au dernier lacet avant le village. L'approche en voiture tourne déjà un peu autour, et on se rend bien compte que ces curieux Mallos sont souvent déversants, et cela sur des mètres et des mètres, même le néophyte complet sait que cela veut dire sortie au sommet, impossible dans la plupart des faces de descendre en rappel, sauf à se retrouver pendu telle une araignée en bout de fil, à dix mètres de la paroi... Et puis l'endroit est très fréquenté, par des nuées de vautours aux incessants ballets, manière de rajouter au décorum. Cette impression, aussi, d'"aller grimper sur la lune", sur ce champ de patates géant, orangé et grisé. La roche est, en effet, du pudding, c'est-à dire des galets de diverses tailles enchâssés dans un ciment naturel. Le sentiment d'étrangeté est total. Et les voies les plus longues "pèsent" leurs 300 mètres, rien que ça, de verticalité ou de dévers. Comme il n'y a rien en face, si ce n'est un immense plateau -mesa- qui moutonne vaguement et doucement, le " gaz", la sensation subjective du vide, s'en trouve, pour beaucoup d'entre les grimpeurs, renforcé. Alors tout ceci a un peu changé -ça doit être ma dixième visite peut-être à Riglos, je n'ai jamais tenu le compte. Les stakhanovistes du perforateur ont quadrillé les lieux, les voies, même les vieilles classiques sont en général ré-équipées béton, tout inox, sur goujons à expansion. De sorte que les voies sont davantage parcourues, et sans cette dérangeante petite boule qui se forme au creux du bas-ventre au moment de commencer une ascension, mélange d'appréhension, de trac et de concentration. Puisqu'elles sont davantage parcourues, les pierres douteuses qui jalonnaient naguère celles-ci sont, sinon toutes du moins la plupart, tombées. Riglos ne serait plus qu'un gymnase hors normes, où les grimpeurs contemporains viennent tester leur continuité ou leur résistance (leur " conti-rési", quoi) ? Non, quand même pas. Ces voyages restent immenses, et l'endroit pas commun, même pour les acclimatés et les vieilles barbes. Et puis il est réjouissant de constater que Riglos reste agréable, avec ce côté intact mais non étudié, non miné qu'il est par l'industrie du tourisme de masse (et il faut saluer la sagesse des Aragonais en la matière). L'on peut y bivouaquer en toute sérénité, et, franchement, les Mallos en sky-line à la nuit tombée, des nuits ou il "lune" (comme dirait Bosco), comme c'était le cas la dernière fin de semaine, le temps d'endormissement, avant de basculer dans le sommeil des simples physiquement fatigués, à la belle étoile, a une saveur que ne saurait offrir le plus huppé des palaces. Signe des temps, pas mal de randonneurs fréquentent les lieux, en 2015. Il n'y en avait pour ainsi dire aucun il y a vingt ou vingt-cinq ans. Les amateurs de sports d'eaux-vives, grâce au Rio Gallego tout proche, propice en particulier au raft, sont les derniers arrivants. Le paysage, la végétation (de types méditerranéens) revivent depuis le grand incendie d'il y a une dizaine d'années (lorsque tous les alentours de Riglos étaient calcinés, l'impression "autre planète" était encore plus saisissante et les lieux, jalonnés de traces de végétation brûlée, de terre fine et de cendre que soulevaient les vents - et Riglos, c'est venteux - auraient mérité la plume d'un Dante pour les décrire). Vu trois percnoptères d'Egypte effectuer des prouesses inouïes en vol (des loopings, des piqués, etc...), des vautours fauves par dizaines -trois mètres d'envergure en vol, lorsque tu grimpes et que l'un passe un peu près, tu es au soleil, puis à l'ombre, puis au soleil...) - et même assisté à une scène d'accouplement dans un nid. Percnoptère d'Egypte Vautour fauve Le retour, le boulot mardi ? Totale extranéité, décalage complet ( "mais qu'est-ce que je fais ici ?") Oui, là, je suis sans excuse, ça m'a toujours fait ça, à chaque fois et depuis toutes ces années, alors...
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| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Spain is different Jeu 9 Avr 2015 - 21:16 | |
| c' était un bon WE donc ! je vois que tu en as bien profité et tu reviens entier ! | |
| | | Sigismond Agilité postale
Messages : 875 Inscription le : 25/03/2013
| Sujet: Re: Spain is different Jeu 21 Mai 2015 - 23:02 | |
| El Escorial Nous avons roulé comme des brutes, derrière les essuie-glaces jusqu'à Segovia, où c'était frais et mouillé. Une petite halte, avant d'y revenir...le soir même. Puis le tunnel sur l'AP 6, orienté Nord/Sud (ou l'inverse si vous préférez), qui franchit la Sierra de Guarrama, et le camping plutôt haut de gamme de l'Escorial, avec de belles haciendas à élevage ovin et équestre autour. La tente jetée sur un gazon confortable et sec, ce que nous n'aurions pas cru possible deux heures plus tôt. Grand bol d'air sous des frênes anciens, curieusement taillés, nous découvrirons vite que c'est selon l'usage local. On ressort, retour vers minuit, c'est week-end de trois jours en Espagne, à gauche du camping de la musique électronique à fond, à droite du rock. Mais, quand on a beaucoup roulé, beaucoup mangé et qu'il est tard, il y aurait pu y avoir un solo de marteau-piqueur à quelques centimètres, je crois que ça n'aurait pas empêché de sombrer dans un profond sommeil. Beau soleil au réveil, et concerto printanier d'oiseaux. Nous filons de manière à arriver très tôt à San Lorenzo de El Escorial, à la fois monastère, musée, bibliothèque, collège, nécropole/panthéon et palais, tout ça encore aujourd'hui, et vitrine historique et royale de l'Espagne, au patrimoine mondial de l'Unesco depuis une trentaine d'années. Bâtisse énorme, massive sinon rébarbativement mastoc, de granit, petit jardin à la française (plutôt riquiqui à l'échelle de la bâtisse) devant, vaste place pavée à l'arrière et sur le côté, plan d'eau. Bien que construit sur une éminence, qui n'est d'ailleurs pas la plus haute de la ville, nous ne découvrons le bâtiment qu'au tout dernier moment par le côté d'où nous arrivons. Consigne obligatoire pour les sacs à dos et gros sacs à mains, et appareils photos prohibés: Pour cette raison j'ai recours au net pour les images ci-dessous, mais je vous posterai de nos photos dans des messages ultérieurs quand j'aurais fini de trier . L'ensemble de San Lorenzo résultait d'une commande de Philippe II après la victoire de Saint-Quentin (fin XVIème), il a fallu deux architectes, pour cause de longévité insuffisante du premier, pour achever le chantier. San Lorenzo n'a été que peu remanié, sauf une fois les charpentes et les toits suite à un incendie, ça a son charme de visiter un monument encore distribué selon ses vocations premières. La partie archi est pas mal commentée, dans les premiers couloirs et les premières salles, mais nous passons vite, soucieux de semer les premiers groupes: nous n'avons fait que 40 mns de queue, ce qui est le minimum possible pour un tel jour, et tenons à conserver un peu de temps avant le brouhaha pour jouir des collections de peinture, des fresques et des tapisseries avant la haute marée humaine. la peinture espagnole est à l'honneur (bien que les Vélasquez aient été prêtés à plusieurs expositions prestigieuses se déroulant en ce moment, pas grave, il y a largement de quoi s'extasier !) de beaux Murillo, comme cette "Immaculada del Escorial": - Spoiler:
Michiel Coxcie (1499-1592) un peintre que je ne connaissais pas, me fait tomber en arrêt à plusieurs reprises, comme pour cet "El embarque en el arca de Noé": - Spoiler:
El Greco, dont nous verrons plus amplement la peinture à Tolède, signe un grand format un peu détonnant, qui ne fit paraît-il pas l'unanimité lors de sa première présentation à la Cour: "El Martirio de San Mauricio y la Legión Tebana" - Spoiler:
Quelques splendeurs de peinture flamande (normal, replongez-vous dans le contexte historique du Royaume d'Espagne à ce temps-là !) qui, à elles seules, valent les kilomètres, la queue, le bain de foule pour la joie de les contempler, Comme ce "Calvario" de Rogier van der Weyden, récemment restauré: - Spoiler:
Ou ce Jérôme Bosch, "Cristo con la cruz a cuestas": - Spoiler:
Les maîtres italiens ne sont pas en reste, ainsi Le Caravage avec cette sublime "Salomé con la cabeza del Bautista" (Salomé avec la tête du Baptiste) - j'aime vraiment beaucoup ! - Spoiler:
Ou encore Le Tintoret, avec ce "El lavatorio" - Spoiler:
Et des centaines d'autres toiles de maîtres (certaines sont en réserve, d'autres en prêt, d'autres en restauration, etc...), je vous ai présenté un mini-échantillon de tableaux connus ou très connus, mais il y a bien d'autres peintres célèbres mondialement dont les toiles sont accrochées là, vraiment une profusion de peinture concentrée sur un siècle ou deux que je crois unique. Aucun doute, je me sens capable de passer plusieurs semaines dans la seule partie "Peintures" ! ...Et il y a aussi des tapisseries et des fresques absolument monumentales (de proportions gigantesques), comme celle-ci (détail, ça couvre en fait les quatre murs d'une très grande salle !) - Spoiler:
En bon Parfumé, vous ne manquerez pas de finir, même si les jambes sont flageolantes et les mirettes trop pleines de toutes ces toiles, dont la contemplation d'une seule, parfois "vous ferait la soirée", par la plus belle bibliothèque ancienne -et restée en l'état - qu'il m'ait été donné de voir (des milliers d'ouvrages originaux médiévaux et surtout renaissance), voici d'abord un aperçu du plafond: - Spoiler:
...Et voilà, quoi, faites, comme nous en fîmes là-bas, de beaux rêves éveillés !: - Spoiler:
(peut-être une ou deux autres étapes de notre Road-Trip espagnol de ce mois-ci la semaine prochaine, si ça n'inonde pas trop ce fil) | |
| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: Spain is different Jeu 21 Mai 2015 - 23:19 | |
| merci Sigismond pour ce reportage !
tu peux continuer sans souci !
(j'aime Le Caravage) | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Spain is different Ven 22 Mai 2015 - 6:05 | |
| - Bédoulène a écrit:
- tu peux continuer sans souci !
dito - Bédoulène a écrit:
- (j'aime Le Caravage)
dito - Spoiler:
bien que j'aime surtout son vrai nom - Caravaggio - la version française est sans force
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| Sujet: Re: Spain is different | |
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