Né en 1969, diplômé de sciences Po Bordeaux et de l’école de journalisme de Marseille, ancien journaliste et chargé de communication, Olivier Démoulin se consacre totalement à l’écriture depuis le succès de ses trois premiers romans Dans mon ventre, Je hais les troubadours, et Orage maternel
A propos de son dernier roman,
L'homme qui épousa New York
Editeur : Grrr…art (2008)
Nombre de pages : 265
- Citation :
- David Prain fête aujourd’hui ses soixante ans, mais quelle est sa vraie vie ?
- A New York, dans le quartier de Central Park Ouest, David Prain est un chef d’entreprise célibataire et plutôt heureux.
- Sur l’île canadienne de Propperty, David Prain est un entrepreneur marié à Kathleen, père de famille et plutôt malheureux.
Dans ces deux lieux, un fantôme du passé réapparaît : Helen Seagal, envoûtant amour de jeunesse.
Helen et David ou Helen contre David ?
Un récit qui entraine le lecteur de l’autre côté du miroir
David Prain : un nom, deux personnages mentant deux vies différentes, à deux endroits différents mais qui ont en commun un amour passé que les circonstances de la vie vont amener à rechercher.
D’emblée le lecteur est dans le suspens : lequel de ces deux David Prain est le vrai David Prain ? Comment va se résoudre cette histoire ? Jusqu’au bout l’auteur nous entraine dans cette incroyable histoire pour nous en délivrer la clé à la fin.
Entre temps c’est un formidable voyage auquel le lecteur effectue au Canada, mais surtout à New York, et e particulier dans le quartier chic et calme de l’Upper West side, correspondant à tout e qui se situe à l’ouest de Central Park.
La construction de ce roman est un peu originale : une première partie dans laquelle les deux David Prain sont mis en scène sans que jamais le lecteur ne puisse deviner la fin de l’histoire.
Et une seconde partie, plutôt vue sous le regard d’Helen Seagal dans laquelle la résolution de l’énigme se dessine page après page.
Ce livre est édité par une toute petite maison d’édition ; je n’en ai eu connaissance que par l’intermédiaire d’un forum de passionnés de New York. C’est une belle découverte ; au delà du cadre géographique qui m’a incitée à lire ce livre, j’ai découvert un auteur à la plume agréable, et qui a su m’extraire tout au long de ses pages de mon quotidien, pour d’une part me faire revivre des moments particulièrement agréables et d’autre part stimuler mon imaginaire.