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Je dis oui aussi
On commence par où ?

colimasson a écrit:

Je dis oui aussi
On commence par où ?

L'alphabet, déjà...

Ça a l'air super simple : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alphabet_hébreu

Colimasson a écrit:

J'aimerais lire une traduction du Livre de Job. Laquelle me conseillez-vous ? Y en a-t-il de bonnes disponibles via Internet ?

Ce n'est pas vraiment la traduction de "Livre de Job". Mais C. G. Jung a écrit un petit livre sur lui : "Réponse à Job" (Antwort auf Hiob). L'as-tu déjà lu ?
Sinon il y a dans Folio "Vies de Job" de P. Assouline.

eXPie a écrit:

Ça a l'air super simple : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alphabet_hébreu

Et encore, sur la page que tu cites, il n'y a que les consonnes.

C'est vrai que c'est redoutable...

Bon, on laisse tomber l'hébreu finalement. Sullien, je t'adoube traducteur de poche, ça te va ?

Ariane SHOYUSKI a écrit:

Colimasson a écrit:

J'aimerais lire une traduction du Livre de Job. Laquelle me conseillez-vous ? Y en a-t-il de bonnes disponibles via Internet ?

Ce n'est pas vraiment la traduction de "Livre de Job". Mais C. G. Jung a écrit un petit livre sur lui : "Réponse à Job" (Antwort auf Hiob). L'as-tu déjà lu ?
Sinon il y a dans Folio "Vies de Job" de P. Assouline.

Oh, non, je ne savais pas ! génial, je vais fureter pour le trouver...

Bonjour,

Je crois que c'est Goethe qui a dit en 1815 quelque chose comme "Le monde a changé d'odeur".

Seulement voilà, je ne trouve nulle part trace de cela, l'a-t-il seulement dit ? écrit ? dans quoi ? comment le dit-il dans sa langue (celle de lui... forcément... )

Quelqu'un peut-il me donner une piste ?

Je ne sais pas te répondre.
Mais vous savez que ce livre - Affinités électives - j'y repense très très souvent en observant les relations humaines. Pas seulement amoureuses d'ailleurs.
Oeuvre fondamentale pour moi.

aCOSwt, en faisant des recherches j'ai vu que tu as posé la question sur un autre forum. La réponse qu'on t'y a faite me semble très satisfaisante, je doute qu'on puisse t'apporter beaucoup plus.
Si l'on ne trouve rien en faisant des recherches, c'est probablement que la citation est incomplète, ou est traduite différemment. Avec un peu de chance, quelqu'un connaîtra la phrase exacte, si elle est bien de Goethe...

Sinon, si tu souhaites partager avec nous tes lectures, coups de coeur ou déceptions, ce sera avec plaisir. Pour commencer, une petite présentation dans la rubrique dédiée ? clic

Bonjour à tous,
Après de nombreuses et infructueuses recherches via google, je me tourne vers vous en espérant trouver quelqu'un de suffisamment calé en littérature pour éclairer ma lanterne...
J'aimerais bien identifier le poème en prose qui me trotte dans la tête depuis au moins trois ans... Je m'en souviens partiellement, et surtout j'ai oublié le nom de l'auteur (en fait, je l'avais lu dans un bête exercice de français au lycée...).
C'est une prose de la seconde moitié du XXème, sûrement courant surréaliste ou existentialiste. Ça commence par : "Les aigrettes sont mortes, aussi les renards qui...". Plus loin, il y a "...et je sens que la forêt devient minérale...". Poème qui tourne autour du sujet de l'angoisse, de l’oppression...
Est-ce que ça vous dit quelque chose?
Qui sera le vaillant érudit qui libérera ma cervelle de cette torture?
Je vous remercie,
TiSiKopile.

Bienvenue !

ça n'a pas l'air facile à retrouver comme ça...

si tu veux nous en dire un peu plus et t'installer parmi nous, c'est par ici : clic

La solution a été trouvée sur un autre forum : il s'agit de "Diamant Noir" de Charles Plisnier, paru dans le recueil "La Fertilité du désert".
Voici le texte pour ceux que ça intéresse:
Les aigrettes sont mortes. Aussi les chacals qui à minuit jouaient au polo avec la lune. Nulle bête ne viendra plus se planter au milieu de l'eau pour boire, dérangeant la vase et les rêves. Tout est mort. L'âme avide embusquée depuis mille ans dans les frondaisons n'a plus qu'à s'en aller seule retrouver ses pauvres anges.
Moi qui suis ici ah ! suis-je vraiment, ou si ce sont mes pieds, mes mains, l'arc de mon angoisse suspendu entre ciel et terre ? Moi qui peut-être aussi bien suis-je ici, je sens que la forêt devient minérale.
Comment vais-je regagner ces terres du miracle où des yeux s'ouvrent, où des créatures se meuvent avec les vents, où Dieu tombe à cheval sur la nuque du passant, agitant les baguettes de la folie, les castagnettes de la prière ? Comment ?
Minérale est la forêt cette nuit, jusqu'à sa plus petite feuille, qui est de carbone bleu, jusqu'à sa dernière goutte de sève qui est de bismuth et troue en tombant ma main tendue pour peser la hauteur du ciel. Comment vais-je écarter ces branches pétrifiées ? Et si je respire, l'écho de tous les points cardinaux répond comme un stéthoscope.
Il faudrait un coup de revolver bien nu qui déchire ce sortilège. Appeler ? Mais qui veut revivre ? Qui ne se réjouit d'être changé en diamant, en bonheur ? Il n'y a que ce coeur qui refuse d'accepter, et si étreignant ma poitrine je le presse de se taire, il fait mal aux nerfs de mes doigts.

Un auteur belge, oui. J' ai lu -enfin je crois- un de ses livres, Faux passeports, Goncourt 1937.

il ne nous manquerait plus qu'un fil... !

merci d'avoir partagé la réponse.

Bonsoir à tous ! Je me permet de poster ce sujet tout en continuant d'élaborer ma présentation que je posterai ensuite ! :)

Je suis à la recherche d'un livre illustré avec texte sur des signes, runes, glyphes porté sur la magie avec signification, un peu le genre de signes occultes qu'avaient choisi les membres de Led Zeppelin pour se représenter sur leur 4ème album.

J'ai beau écumé le net depuis pas mal de semaines je ne trouve vraiment rien, j'espère ainsi pouvoir obtenir l'aide d'une personne spécialisée sur le sujet ici. :)

Merci encore à vous !