Une photo en passant

Si ça se trouve, il joue mal et il est un piètre chef d'orchestre, du coup il n'aime pas entendre ce qu'il joue...

Possible, et s'il boit par-dessus tout ça, le résultat doit être catastrophique. Nous avons trouvé une explication à cette débandade de mauvaises mines.

Je trouve que l'idée est originale mais le résultat donne un côté bête et méchant à la démonstration, il aurait peut-être été plus subtil de montrer des spectateurs attentifs et deux trois énergumènes (buvant, bavant, bai...t) plutôt que tous ces types affalés et peu amène... (j'ai encore dit amen... pfff).

Pour éventuellement en savoir plus sur Martin Liebscher :

très intéressant (même pour quelqu'un ne parlant pas allemand), mais du coup, j'ai l'impression que son travail gagne à être vu en mouvement (ou alors c'est parce que je n'ai rien compris et me focalisant sur le visuel j'y ai trouvé un sens !?!).

eXPie a écrit:

Pour éventuellement en savoir plus sur Martin Liebscher :

merci pour cela.. très intéressant, bonne découverte..
respect pour son endurance: se photographiant 3.500 fois dans la Scala à Mailand??
et il le dit dans le reportage avec un petit sourire: il est probablement la seule personne qui a été assise sur TOUS les sièges dans la Scala

Circa 1921. "Oakland window." A showroom display at District Oakland Co., 1709 L Street N.W. in Washington, for the General Motors brand that in 1926 would beget Pontiac. National Photo Co. Collection glass negative.

site de la trouvaille (après avoir zappé le blog intermédiaire) : clic

Araki Nobuyoshi : Jeune fille en kimono. Années 1980.

Deux photos de Mario de Biasi (né en 1923).

Vascello fantasma, Benares, 1960


Kawabata, 1970.

Pour continuer avec la photographie italienne, et dans des styles très différents.
Une photo de Gianni Berengo Gardin, Il traghetto di san Tomà, 1959.


et une de Ferruccio Ferroni : La palla, 1950.

Des photos de Marcos Lopez :


Amanda, 2005


Martyr, 2005


L’anniversaire du directeur, 2008


Il piccolo vapore, 2007

« Je tente de faire en sorte qu’il y ait dans mon œuvre toute la douleur et tout le désordre de l’Amérique de la mixité raciale. »

Et une photo de Marcos Lopez par Juan Manuel Castro Prieto :

Des photos d’Alessandra Sanguinetti :


Le lit nuptial, 2007


Le collier, 1999


La réponse, 2002


Belinda lit les cartes, 2004

Citation :

Alessandra Sanguinetti a commencé en 1999 un travail photographique retraçant l’histoire de deux jeunes cousines, Guille et Belinda, alors âgées de neuf et dix ans, dans leur ferme familiale, en Argentine.

Pendant cinq ans, elle a tissé des liens étroits avec les deux petites filles avec lesquelles elle a réalisé un travail de construction d’images nourries par les rêves, les fantasmes et les peurs qui accompagnent les transformations physiques et psychologiques du passage de l’enfance à l’âge adulte.

Dans cette série intitulée « The Adventures of Guille and Belinda and the Enigmatic Meaning of their Dreams », l’imaginaire de l’enfance est tour à tour mis en scène ou recréé spontanément. Avec pour décor la campagne argentine, non loin de Buenos Aires, Guille et Belinda utilisent des costumes, des accessoires et imaginent des tableaux imprégnés de références artistiques et littéraires explorant la frontière trouble entre imaginaire et réalité.

SOURCE

Vittorio Piergiovanni : Canale n. 1. 1955.

Jeanne Moreau et Sabine Haudepin font du tricot.
Photo Raymond Cauchetier, photographe de plateau. Ici sur Jules et Jim, bien sûr.