Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Véronique Ovaldé

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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyMer 7 Sep 2011 - 19:46

Maintenant rassurons une nouvelle fois Maline : ce ne sont que des petits détails qui font penser à Vargas, on peut aimer ce roman sans apprécier la série Adamsberg sourire
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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyMer 7 Sep 2011 - 19:46

Je ne tiens plus! Demain je me l'achète miammiam
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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyMer 7 Sep 2011 - 19:48

aeriale a écrit:
Je ne tiens plus! Demain je me l'achète miammiam
cheers

Il me semble encore meilleur que son précédent roman, mais jusqu'où ira-t-elle cette jeune dame rire
J'aime beaucoup son humour en tout cas, comme ça, mine de rien, au détours d'une phrase qui n'en a pas l'air.
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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyMer 7 Sep 2011 - 20:11

sentinelle a écrit:
Maintenant rassurons une nouvelle fois Maline : ce ne sont que des petits détails qui font penser à Vargas, on peut aimer ce roman sans apprécier la série Adamsberg sourire
Je suis votre discussion, sentinelle, traversay et aeriale. En tout cas Véronique Ovaldé reste une écrivaine qui m'intéresse mais j'attendrai l'édition de poche pour la lire.
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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyMer 7 Sep 2011 - 20:15

Pour info, son précédent roman Ce que je sais de Véra Candida vient de paraître en poche et il en vaut bien la peine également sourire
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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyVen 9 Sep 2011 - 14:09

Des vies d'oiseaux
Citation :
Mais qui saura d’où je viens ?
Une douce mélancolie en toile de fond saupoudrée de quelques touches d’humour teintées de tendres ironies, l’auteur nous emmène une nouvelle fois dans un pays imaginaire de l’Amérique latine, vaste territoire proche du nôtre mais offrant tous les contrastes (géographiques, climatiques, sociaux) propices au déploiement de l’imagination de Véronique Ovaldé.

Ce roman commence là où se terminent en général les contes de fées : un beau prince charmant sort sa princesse d’une ville pouilleuse au milieu du désert pour l’emmener dans son château de la Coline Dollar. Vingt ans ont passé, le beau prince charmant s’est transformé en roi toujours aussi clinquant que superficiel et creux, le palais de la reine vacille tandis que la princesse, sa fille Paloma de 18 ans, s’est fait la malle avec un mauvais garçon. C’est que la Reine Vida a payé le prix fort pour s’extraire de sa condition sociale : femme docile, atone (au point qu’elle aimerait se glisser dans le jardin et disparaître entre les pierres et les agaves dans ses voiles verts), elle s’est contentée de vivre à l’ombre de son mari qui ne s’est jamais intéressé à autre chose qu’aux apparences. La blessure occasionnée par la fuite de Paloma va fissurer à tout jamais cette cage dorée. L’arrivée du lieutenant Taïbo, venu constater que des intrus s’étaient installés sans rien voler dans la somptueuse villa de Villanueva en l’absence du couple, ajoutera sa pierre à ce bel édifice branlant...

L’importance des origines et de la transmission, les liens familiaux et conjugaux, la rupture nécessaire pour se débarrasser de ses derniers oripeaux, l’envol indispensable pour déployer ses ailes, l’émancipation des femmes tout simplement.

Véronique Ovaldé aime ses personnages et nous les aimons à travers elle. Notamment Taïbo, ce flic placide à l’empathie encombrante qui n’aime pas poser des questions qui fâchent, souffrant par ailleurs d’un chagrin d’amour qui dure depuis 10 ans. Un homme tranquille mais néanmoins résolu qui sait regarder ce qui l’entoure.

Quel beau roman de la rentrée littéraire 2011, peut-être le meilleur à ce jour de Véronique Ovaldé, qui passe à la vitesse supérieure. Nous ne sommes plus dans la fable comme dans son précédent roman : les personnages nous sont plus proches, plus réels, plus palpables, il n’y a plus ce miroir sans tain qui pouvait frustrer certains lecteurs à la lecture de son précédent roman, Ce que je sais de Vera Candida. Mention spéciale pour l’écriture qui contient beaucoup d’incises intercalées entre parenthèses, l’art de la digression qui donne toujours sens, qui précise ce qui a été dit précédemment en apportant une nuance bienvenue, un éclaircissement ou au contraire une interrogation.

Une très belle réussite et un très bon moment de lecture.
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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyVen 9 Sep 2011 - 15:15

sentinelle a écrit:
Des vies d'oiseaux
Citation :
Mais qui saura d’où je viens ?

Quel beau roman de la rentrée littéraire 2011, peut-être le meilleur à ce jour de Véronique Ovaldé, qui passe à la vitesse supérieure.

Une très belle réussite et un très bon moment de lecture.

cheers swing
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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyVen 9 Sep 2011 - 16:24

J' aime beaucoup Véronique Ovaldé et tout autant Agnès Desarthe et j' ai tendance à les confondre

un peu toutes les deux...

Faiblesses de la mémoire ou lectures trop espacées...
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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyMar 20 Sep 2011 - 17:56

Des vies d'oiseaux

sentinelle a écrit:
Ce roman commence là où se terminent en général les contes de fées : un beau prince charmant sort sa princesse d’une ville pouilleuse au milieu du désert pour l’emmener dans son château de la Coline Dollar. Vingt ans ont passé, le beau prince charmant s’est transformé en roi toujours aussi clinquant que superficiel et creux, le palais de la reine vacille tandis que la princesse, sa fille Paloma de 18 ans, s’est fait la malle avec un mauvais garçon

J'aime beaucoup ta façon de résumer le propos Sentinelle, l'univers de Ovaldé c'est effectivement pour moi cette image. Des princesses qui se réveillent non par le baiser du prince mais sous le coup de la morsure de la vie, un peu groggy sous les longs voiles, mais "encore vivante dans leur tombe". La plume gracieuse et inspirée de l'auteure leur recrée un espace coloré, sensoriel, et transporte le lecteur -complètement sous le charme -dans ces envolées à deux où les frontières du réel s'estompent, mais où les impressions restent tangibles.

Citation :
Taïbo sentait les cascades et les marécages, la mangrove et la roche rouge du désert, il sentait la selle des chevaux, il sentait Liberty Valance et la tristesse chilienne, il sentait les pays que l'on quitte et le cuir patiné....cet homme avait la possibilité d'être tout près de vous et très loin à la fois, c'était une sorte de qualité mélancolique, de qualité tragique, son absence était palpable et douce, Vida aurait pu embrasser l'absence de cet homme...

Il y a du rêve, du fantasque dans ce récit, mais aussi les blessures du passé, la douleur et les soumissions, puis soudain cette porte ouverte vers l'ailleurs, la puissance et la foi en l'autre qui les font s'affranchir du vécu et devenir vraiment eux mêmes. Des passages qui mêlent la gravité et parfois une légère touche de fantastique.
Citation :
elle était dans une si grande confusion que, lorsqu'une bestiole a gratté au volet, elle a cru qu'un jeune dragon voulait entrer dans la chambre. Elle s'est assoupie mais s'est presque aussitôt réveillée, elle a ouvert la fenêtre pour faire entrer le jeune dragon et il n'y avait que la nuit irigoyenne, si étoilée qu'elle en paraissait laiteuse, un liquide noir s'écoulant de ses blessures".

J'ai trouvé l'idée très belle, l'émancipation de Vida par le biais de celle de sa fille, la renaissance pour l'une et l'envol pour l'autre, ce sentiment partagé de liberté qui se passe de mots pour les deux, et qui nous offre un superbe final.
Citation :
Toutes deux ont attendu presque silencieusement, elles se souriaient, et c'était un moment si calme, si placide, si doux que Paloma s'est dit,"Je vais revenir ici. Après notre voyage à mon amour et moi, je vais revenir ici

Merci à Sentinelle et traversay pour leur bien jolis commentaires, j'ai eu raison de les écouter car ce roman est réellement et de loin le plus abouti des trois que j'ai pu lire avant. On y sent une maturité qui pointait déjà dans le dernier, et qui se marie superbement avec cette fantaisie plus débridée des premiers. Un petit bonbon ce livre coeur
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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyMar 27 Déc 2011 - 13:16

Très beau roman que "des vies d'oiseaux", j'ai bien fait de vous écouter. Le style dépouillé est plein de fraîcheur. Je suis conquise, il m'en faut d'autres de l'auteure...
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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyVen 30 Déc 2011 - 9:03

Je te conseille alors son précédent roman, Ce que je sais de Vera Candida. J'avais bien aimé aussi Déloger l'animal.
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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyVen 30 Déc 2011 - 18:35

Je vais me procurer Des vies d' oiseaux. C' est la moindre des choses !

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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyDim 1 Avr 2012 - 16:24

Aeriale a écrit:
Et mon coeur transparent-ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 9782879295992vd6


L'histoire commence par l'annonce d'une mort brutale, inexpliquée. Lancelot, héros déphasé à l'armure bien fragile, perd en une nuit le seul être qui le faisait sortir de sa torpeur. Sa chère Irina, brune ravageuse, aussi fantasque et mystérieuse que lui n'est cadré et passif.

Flash-back: on le retrouve en mari qui végète, correcteur solitaire et amoureux des camphriers, au côté de sa femme Elizabeth, une instit qui lui parle comme si elle lui faisait un cours. Un jour il rencontre fortuitement la chaussure d'une belle qui va subitement l'ensorceler et lui faire perdre la tête. Quittant tout (c'est à dire pas grand chose) pour elle il se jette aveuglé dans les bras voluptueux d'Irina, chasseuse d'ours à ses heures...
Jusqu'à ce soir fatal où on la retrouve noyée au volant de la voiture d'un autre. Mais qui était-elle finalement? Que sont tous ces mystères, et pourquoi lui cachait-elle des choses?

...

J'ai foncé dans ce récit, amusée par l'écriture fantaisiste et drôlissime de Véronique Ovaldé. On nage en plein délire, dans le monde fantastique de l'auteure où les meubles disparaissent sans qu'on y prenne garde et où les gens portent de drôles de noms.
On rit souvent lorsque le héros se dédouble (tout dupliqué qu'il est Wink ) sous l'effet des tranquillisants et les dialogues nous percutent par leurs côtés absurdes et inventifs. Un univers singulier, souvent même extravagant, avec des personnages décalés et un paumé sympathique pour héros, ce qui me convient bien d'habitude.

Mais j'ai trouvé la seconde partie, consacrée à l'enquête, bien moins réussie. L'auteur navigue entre le burlesque et le désespoir de son héros. Et n'arrive pas, selon moi, à trouver la juste mesure. J'ai suivi les tribulations de notre homme, amusée mais aussi un peu détachée parfois. Entre le chagrin et le fantasque, je n'ai pas trouvé de marques, et me suis légèrement lassée!
Une petite lecture sympathique mais dont la fin ne m'a pas convaincue. Pourtant cette fille a un certain talent de conteuse, c'est sûr! Wink

Enfin lu ! Un faux roman noir tout nimbé de fantaisie et de poésie. Ovaldé parle de notre planète chimiquement aliénée avec un sens du merveilleux qui ne fait ici qu'éclore. Elle a fait bien mieux, depuis.
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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyDim 1 Avr 2012 - 21:32

Oui, tellement mieux ! D'ailleurs je ne me souviens plus que très vaguement de ce roman si ce n'est que je ne l'ai pas aimé du tout. Alors ne vous arrêtez surtout pas sur cette mauvaise expérience et tentez un autre roman pour vous en faire une meilleure idée !
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MessageSujet: Re: Véronique Ovaldé   ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 EmptyMar 10 Sep 2013 - 15:14

ovald� - Véronique Ovaldé - Page 4 97828210

La grâce des brigands
Citation :
Dans les années 1970, Maria Cristina Väätonen, 16 ans, décide de quitter sa ville natale du Grand Nord et ses parents toxiques, pour s'installer à Santa Monica. C'est le début pour elle d'une nouvelle aventure. Elle écrira un roman à succès dans lequel elle réglera ses comptes avec les membres de sa famille et deviendra l'amante de Rafael Claramunt, séducteur invétéré et écrivain excentrique.
Véronique Ovaldé fait partie de ces auteur(e)s dont on attend le dernier livre avec la quasi certitude d'y retrouver un ton, une grâce et un style. Bonheur de lecture garanti sauf mauvaise surprise, c'est denrée suffisamment rare pour être relevé. La grâce des brigands, qui aurait pu s'appeler La vilaine soeur, n'est pas une déception, cependant ... Cependant, on se demande où est passé la magie de Vera Candida ou de Des vies d’oiseaux. On croit la revoir au détour d'un paragraphe et puis non, elle retombe. Non que V.O soit incapable de la susciter de nouveau, cette magie, elle a toujours le goût et le talent des phrases ciselées et des expressions imagées, mais elle avait visiblement envie de dire autre chose, cette fois. de plus consistant. de plus sérieux ? D'où un peu moins de fantaisie ce qui n'empêche pas le livre d'être passionnant , admirablement écrit et fluide d'un bout à l'autre. Plutôt que d'en dérouler le récit, qui s'articule comme souvent autour des relations intimes -familiales, sentimentales-, soulignons que la romancière est toujours aussi douée pour brosser des portraits délicats et précis et évoquer des atmosphères : une petite ville "coincée" du Canada, le Los Angeles libertaire des années 70. Sur la singularité de la nature humaine V.O est constamment lucide, mais ici bien moins In the Sky with Diamonds
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