Ca fait rire les oiseaux...

IzaBzh a écrit:

La chatte de ma soeur avait pris l'habitude de rapporter, elle aussi.

Ca, c'est pas bien du tout.
Comme je le dis à ma fille : rapporter c'est pas beau !

Harelde, le coup de l'avion-stop, mais aussi le coup du golfeur, je l'avoue , m'ont fait hurler de rire.

Moi qui aime bien le Métal , j'ai trouvé un groupe EXCELLENT !
Dousseur de Vivre

Le mec qui fait le bon hard rock y prend la guitare et y crache

je préfère Toulouse et la campagne, Paris c'est trop Hard

Je la passe en boucle tous les soirs !! Vivement leur nouvel album !

Ma minette est droguée
On a eu une fuite d'eau cet été, on a dû retirer 2 carreaux de carrelage d'un côté du mur, du papier peint de l'autre. Depuis, la minette lèche le mur ! Des deux côtés ! J'ai dû mettre une plante verte d'un côté et fermer la porte de la salle de bains de l'autre. Elle n'est vraiment pas nette mais apparemment, elle ne présente pas de conséquences physiques à son addiction, elle marche toujours autant de travers

Voilà pourquoi il est absolument déconseillé de repousser l'âge légal de la retraite

Spoiler:

Lu ce matin j'adore l'humour de ce journaliste



Lettre à George Clooney

Eric Libiot


Revoilà l'homme le plus détesté des hommes et le plus admiré des femmes. Ou quasi. George Clooney est à l'affiche de The American, d'Anton Corbijn. Le mec zéro défaut : beau gars, bon comédien, sympa. Manifestement, George ne joue pas dans la même cour que le commun des mortels. Ce qui vaut bien une lettre.

Cher George Clooney,

Comment allez-vous ? Bien ? C'est dommage. J'aurais tellement aimé qu'en cette rentrée, un petit bouton de fièvre éclose au coin de vos lèvres, qu'un ongle incarné vous fasse grimacer, qu'une conjonctivite vous rougisse l'oeil, qu'un panaris vous rabote le doigt ou (et ?) qu'une infection buccale ternisse votre dentition. Toutes choses qui m'auraient évité d'entendre ma femme se répandre en pâmoison dès qu'elle vous aperçoit à la machine à café, et ma fille suivre le même chemin, même si Johnny Depp a encore de l'avance sur vous dans son coeur d'adolescente mais il ne paye rien pour attendre.

Je ne pense évidemment pas un seul mot de ce que je viens d'écrire, mais ça m'a fait du bien. Vous savoir humain le temps de quelques lignes a considérablement ensoleillé ma journée. Je vous remercie. Mais revenons au cinéma.

Je n'ai pas vu The American, d'Anton Corbijn, puisqu'à l'heure où Amélie me presse gentiment, mais fermement, de rendre cette chronique au sixième étage, il n'y a pas encore eu de projection de presse. Mais j'ai vu l'affiche et regardé la bande-annonce. Sur l'une, vous courez, l'arme au poing, le regard déterminé, la prestance alerte ; sur l'autre, vous faites des assouplissements, montrez votre torse musclé et prenez un verre avec une très jolie fille. Vous espérez quoi, cher George Clooney : un suicide collectif de la gent masculine ? Parce que ça commence à bien faire, toutes ces petites vexations que vous prenez manifestement plaisir à nous infliger, tous ces reproches que nous lisons dans les yeux des femmes dès lors qu'elles comparent votre poil luisant et dru au mien, en l'occurrence, beaucoup plus terne et mou. Sachez que je suis également capable d'acheter moi-même mes dosettes de caoua. Non mais.

Vous avez commencé à franchement m'exaspérer le jour où je vous ai rencontré à l'occasion de la promo de Hors d'atteinte, de Steven Soderbergh, que vous étiez venu présenter à Deauville, en septembre 1998. Je travaillais alors pour un autre journal - Première, d'un âge lointain et d'un temps révolu - et j'étais chargé de vous interviewer. J'avais révisé mes fiches et je comptais bien vous asticoter sur Le retour des tomates tueuses, un beau nanar débile, et sur Batman et Robin, aventures crypto-homo vengeur masqué et coquille moule-cacahuètes assez ridicule, deux films dans lesquels vous jouâtes. Vous qui reveniez tout sourire du Festival de Venise, où vous fûtes acclamé, vous alliez passer sur le gril chaud brûlant d'un journaliste, moi, donc, peu disposé à vous tartiner de la crème dans le sens du poil, fût-il luisant et dru.

L'entretien ne s'est pas du tout déroulé comme je l'avais imaginé. Vous étiez beau à tomber par terre. Vous étiez souriant, détendu, enjoué, drôle, pertinent, léger, piquant, intelligent, avenant. Sourire d'au revoir et serrage de louche amical. Ma plus cuisante défaite de journaliste. Vous comprenez maintenant pourquoi je vous espère badigeonné aux furoncles, avec une tête gonflée à l'hélium. J'irai donc voir The Americanpour me rendre compte de l'état des choses, mais j'ai bien peur d'attendre encore longtemps. Il n'y a aucune raison que vous soyez moins bon que d'habitude.

Bien à vous.


source

Très très bon !


Merci Kenavo.

Ah oui c'est trop bon Merci pour la rigolade

Eh ben... je comprends pourquoi Rodriguez balance des piano sur sa tronche...

je sais pas si ça fait rire les oiseaux, mais les Nezumi oui, je viens de l'entendre sur Inter.
peut-être que Maryvonne l'avait déjà postée en fait...

Un rigolo a eu la bonne idée de se lever tôt et de creuser un chemin dans la neige qui ne mène nulle part. Les passants empruntent alors le passage déblayé afin d'éviter de marcher dans 20 cm de neige

Excellent, surtout quand la panique commence à les gagner vers la fin.