Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Russel H.Greenan

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mimi54
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Russel H.Greenan Empty
MessageSujet: Russel H.Greenan   Russel H.Greenan EmptyMar 26 Fév 2013 - 8:43

Russel H.Greenan Avt_ru10

Russell Henry Greenan (Bronx, New York, 17 septembre 1925 - ) est un écrivain américain de roman noir.

Né et élevé dans le Bronx, Russell H. Greenan sert dans la US Navy pendant la Seconde Guerre mondiale. À la fin du conflit, il fréquente l'Université de Long Island à New York, puis déménage à Boston. Dans les années 1950, il sillonne la Nouvelle-Angleterre en tant que commis-voyageur dans la vente de pièce de machinerie. Avec ses économies, il se rend à Nice, où il se consacre à l'écriture pendant un an. De retour en Amérique, il tient, à Cambridge, le magasin d'antiquités The Cat and the Racquet, enseigne inspiré du titre anglais de La Maison du chat-qui-pelote d'Honoré de Balzac. Malheureusement, l'expérience tourne court. Aussi, en 1966, Greenan retourne-t-il à Nice avec femme et enfants pour achever C'est arrivé à Boston, son premier roman, publié en 1968, qui lui vaut une immédiate notoriété.

Fort apprécié en Europe, et tout particulièrement en France, certains de ses romans ont connu une première publication directement en traduction française.

En 1997, Charles Jarrott porte à l'écran La Vie secrète d'Algernon Pendleton sous le titre The Secret Life of Algernon, avec John Cullum dans le rôle-titre.

Greenan réside aujourd'hui à Rome.

Bibliographie


  • C'est arrivé à Boston, Paris, Éditions Sombres Crapules, 1988 ; Paris, Rivages/Noir no 205, 1995 (It Happened in Boston? (1968))

  • L'Œil dans la place, Paris, Gallimard, Série noire no 1421, 1971; réimpression 1993 (Nightmare (1970))

  • La Reine d'Amérique, Paris, Gallimard, Série noire no 1541, 1972 ; réédition, Paris, Gallimard, Série noire no 2304, 1992 ; Paris, Gallimard, Folio policier no 326, 2004 (The Queen of America (1972))

  • La Vie secrète d'Algernon Pendleton, Paris, Éditions Sombres Crapules, 1988 ; Paris, Rivages/Noir no 156, 1993 (Heart of Gold (1975)The Secret Life of Algernon Pendleton (1973))

  • Un cœur en or massif, Paris, Fleuve noir, coll. Engrenage no 69, 1983 ; Paris, Éditions Sombre Crapules, 1988 ; Paris, Rivages/Noir no 262, 1997 (Heart of Gold (1975) )

  • Bric-à-Braque, Paris, Éditions Murder inc., 2000 ; réédition, Paris, Éditions Murder inc., poche no 4 ; nouvelle édition sous le titre "Bric-a-brac man”, Paris, Éditions l'Œil d'or, 2011 ( The Bric-a-Brac Man (1976))

  • Je vais faire un malheur Paris, Gallimard, Série noire no 1725, 1979( Keepers (1978))

  • Sombres Crapules, Paris, Éditions Sombres crapules, 1987 ; Paris, Rivages/Noir no 138, 1992(A Can of Worms (1987))

  • La Nuit du jugement dernier, Paris, Éditions Sombres Crapules, 1990 ; Paris, Rivages/Noir no 237, 1996 (Doomsnight (1990))

  • Magique Mic Mac, Paris, Éditions Murder inc., 2002 ; Paris, Le Livre de Poche no 37073, 2005 ( Glamour Doom (2002))

  • Dread of Night (2009)

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Russel H.Greenan Empty
MessageSujet: Re: Russel H.Greenan   Russel H.Greenan EmptyJeu 28 Fév 2013 - 20:14

Russel H.Greenan 11539410
Bric-à-brac man, Russel H.Greenan
L’œil d’or (Avril 2011)
250 pages

4ème de couverture :
Citation :

« PAR OÙ COMMENCER ? En voilà, une question piège. Dieu seul sait où naissent tous les drames personnels, et bien que le Très Haut soit supposé être partout, Il n’est jamais dans le coin quand on a besoin de lui. Je rencontrai mon cousin, Maurice Fitzjames, par hasard, cet été. Je venais de garer mon break pourri devant le Harvard Club et je trottais sur Commonwealth Avenue lorsque je le percutai presque. En fait je n’ai eu aucune chance d’éviter ce saligaud. Comme d’habitude il était habillé comme la vedette d’une comédie de mœurs – une veste en tartan, une chemise à motifs cachemire, un pantalon en toile, et des sandales en daim – et, comme d’habitude, il portait ses lunettes de soleil enrobantes qui dissimulaient ses yeux fuyants et ophidiens. Seule entaille à ses habitudes : il me souriait. Le connaissant, j’en déduisis qu’il venait juste de dévaliser un pauvre bougre ou d’incendier un orphelinat à seule fin de toucher la prime d’assurance. »

À Boston, Arnold Hopkins est antiquaire. Très regardant sur la qualité des objets qu’il négocie, il l’est moins sur les moyens de se les procurer, quitte à passer des accords avec le diable.


Je découvre à la fois une maison d’édition qui soigne ses ouvrages, et un auteur de littérature policière, un peu différente de celle que je lis habituellement.
Dans cette histoire, n’y voyez pas de cadavres mutilés, ni d’affreux psychopathes…. Juste quelques personnages, certes pas très propres sur eux, mais avant tout qui se distinguent par leur caractère loufoque, drôles par certains aspects, originaux, et terriblement actuels par leur désir irrépressible de faire de l’argent sans trop se donner de peine.
J’avais donc, pour mon plus grand plaisir, une littérature policière à la fois drôle, distrayante, sans renoncer pour autant à la qualité d’écriture. Le texte est fluide, les chapitres nombreux et courts. Il est parsemé de gravures de Sarah d’Haeyer qui donnent un petit cachet supplémentaire au livre.
Cet ouvrage se lit d’une traite, ou presque, comme une gourmandise. Je me suis donc laissé promener au grès des petits arrangements des uns et des autres, des petites et grosses combines et mensonges de nos personnages.
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