Nos lectures d'avril 2013

églantine a écrit:

Merci Kena de m'avoir incitée à la lecture de "La-haut , tout est calme"de GERBRAND BAKKER: je crois qu'il va vivre encore longtemps en moi ..........

ah je suis bien contente de te lire... on peut toujours se tromper, mais pour ce livre, j'en étais vraiment presque sûre que tu allais aimer.. tellement bon!

Kannskia a écrit:

colimasson a écrit:

Et ça y est... j'ai enfin commencé La mort d'Ivan Illich de Tolstoï !

J'ai commandé Anna Karénine à mon libraire mais je ne suis toujours pas allée le chercher.

Et si je me magnais le tronc ?

Le temps passe vite...
Bon, allez, je ne t'en voudrais pas si tu ne le lis pas au mois d'avril

"L'inconsolé"de KAZUO ISHIGURO :un pavé mais j'ai tant aimé "Les vestiges du jour" que j'y vais allègrement ! ......bien que le risque de la déception n'est pas à éliminer ...........

J'attaque Les raisins de la colère de Steinbeck et en parallèle je lis petit à petit, chant par chant, La divine comédie de Dante.

Aaliz a écrit:

et en parallèle je lis petit à petit, chant par chant, La divine comédie de Dante.

Quand je vois toutes les notes qui existent dans les différentes éditions, et qui sont des notes tellement importantes pour comprendre ce qui se dit vraiment, l'explicitation des métaphores, tout ça... j'hésite toujours à commencer... Trop de notes tuent la lecture, mais quand les notes sont essentielles pour ne pas passer à côté de ce qui se dit, c'est vraiment problématique...

colimasson a écrit:

Le temps passe vite...
Bon, allez, je ne t'en voudrais pas si tu ne le lis pas au mois d'avril

Tu connais pas encore mon tempérament de bourrique acharnée toi

Il sera lu en Avril.

Aaliz a écrit:

J'attaque Les raisins de la colère de Steinbeck

Je guetterai ton avis, il m'intéresse celui-là.

Kannskia a écrit:

Aaliz a écrit:

J'attaque Les raisins de la colère de Steinbeck

Je guetterai ton avis, il m'intéresse celui-là.

Ah! ca , c'est un grand! pas besoin d'attendre l'avis d'Aaliz pour t'y précipiter!

eXPie a écrit:

Aaliz a écrit:

et en parallèle je lis petit à petit, chant par chant, La divine comédie de Dante.

Quand je vois toutes les notes qui existent dans les différentes éditions, et qui sont des notes tellement importantes pour comprendre ce qui se dit vraiment, l'explicitation des métaphores, tout ça... j'hésite toujours à commencer... Trop de notes tuent la lecture, mais quand les notes sont essentielles pour ne pas passer à côté de ce qui se dit, c'est vraiment problématique...

Lis d'abord les notes, puis après le bouquin.



Moi, jsuis toujours dans le Roman de Saint Petersbourg de Fedorovski. Qui n'est pas du tout un roman à proprement parlé. Mais qui me plait bien. Et surtout me donne furieusement envie d'aller crapahuter dans les rues de cette ville.

eXPie a écrit:

Aaliz a écrit:

et en parallèle je lis petit à petit, chant par chant, La divine comédie de Dante.

Quand je vois toutes les notes qui existent dans les différentes éditions, et qui sont des notes tellement importantes pour comprendre ce qui se dit vraiment, l'explicitation des métaphores, tout ça... j'hésite toujours à commencer... Trop de notes tuent la lecture, mais quand les notes sont essentielles pour ne pas passer à côté de ce qui se dit, c'est vraiment problématique...

C'est pour cette raison que je préfère le lire petit à petit plutôt que d'une traite comme un simple roman ( là j'en serais incapable ...). Même s'il me faut 3 mois pour en venir à bout, ce n'est pas grave.

"Quand la beauté nous sauve" de Charles Pépin (Les mardis de la philo chez Robert Laffont)


Quatrième de couverture :

Citation :

Un paysage naturel vous offre l'apaisement, une mélodie vous redonne soudain foi en vous-même, un tableau vous emporte dans quelque chose de plus grand que vous, un visage contemplé vous invite à voir le monde autrement ...
Chaque fois que la beauté nous touche, elle nous réapprend à nous faire confiance, à nous écouter, à ne pas nous laisser enfermer dans notre quotidien, nous ouvrir à la promesse d'un Absolu.
Dans le plaisir esthétique, nous réussissons même à nous confronter à ce qui d'habitude nous effraie : le mystère des choses, notre propre obscurité ...
C'est le pouvoir de la beauté : elle nous donne la force d'aimer ce qui est, en même temps que celle d'espérer ce qui pourrait être.
Croisant la pensée des grands philosophes, l'oeuvre des artistes d'hier et d'aujourd'hui, puisant aussi dans son expérience personnelle, Charles Pépin éclaire l'énigme de la beauté et montre en quoi sa fréquentation peut nous aider à vivre.

L'émotion esthétique y est décryptée à travers les écrits de philosophes tels que Kant, Hegel, Platon, Nietzsche, mais dans une démarche pédagogique qui me permet de tout comprendre, sans me triturer les neurones. Un ouvrage quasi ludique à la portée des hermétiques à la philosophie.

kenavo a écrit:

Armor-Argoat a écrit:

Je lis avec grand plaisir Les sombres feux du passé de Chang-rae Lee, superbe roman qui évite avec brio les écueils du pathos.
Merci à Kena dont le message dans le fil des nouveautés m'a conduite à celui de l'auteur et aux commentaires conquis des parfumés.

tiens c'est marrant, j'avais plutôt visé Topocl, Darkanny ou Epi qui adorent les auteurs américains (même "importés" ), trop contente que tu aimes, c'est un auteur que j'adore et qui a trop peu de succès sur Parfum, j'espère que tu vas en dire un peu sur son fil pour donner envie à d'autres de le découvrir

Noté bien sûr, je viens de voir le com d'Armor sur son fil et c'est vraiment très très tentant.

Après un début intéressant sur la frontière mexicano-américaine à observer la traque des immigrants illégaux qui veulent tenter leur chance de l'autre côte, j'ai abandonné la lecture de cet ouvrage que j'ai trouvé un peu trop bavard à mon goût.
Je mets le résumé car cela peut tout de même en intéresser certains.


"Chaque nuit, sur la Ligne entre le Mexique et les États-Unis, une foule de migrants tentent leur chance. Et chaque nuit, les agents de la patrouille frontalière américaine sont là pour les refouler. Certains, sans scrupule, profitent de la faiblesse des clandestins et donnent libre cours à leurs penchants sadiques. D'autres, comme Valentin Pescatore, essaient de s'en tenir aux règles. Cela ne l'empêche pas de commettre une entorse qui pourrait lui valoir une sanction sévère, à moins de collaborer... Mais avec qui, au juste ? C'est bien les Américains qui lui demandent d'infiltrer une famille de narcos de Tijuana, mais qui peut garantir que son inexpérience ne va pas l'entraîner du côté de la corruption, de la drogue et de l'argent facile ? En tout cas, c'est ce que redoute Leo Méndez, flic mexicain aux allures de justicier... Sebastian Rotella nous conduit vers de troubles frontières dans un thriller saisissant sur la mondialisation du crime.

Biographie de l'auteur
Sebastian Rotella est grand reporter et vit aux États-Unis. Spécialiste des questions de terrorisme international, de crime organisé, de sécurité et d'immigration, il a été finaliste du prix Pulitzer en 2006 pour ses reportages internationaux. Triple Crossing a été doublement sélectionné par le New York Times comme meilleur premier roman et comme meilleur thriller. "

églantine a écrit:

"L'inconsolé"de KAZUO ISHIGURO :un pavé mais j'ai tant aimé "Les vestiges du jour" que j'y vais allègrement ! ......bien que le risque de la déception n'est pas à éliminer ...........

Bon je laisse de côté pour le moment , manque de concentration (qui dit vacances scolaires dit plus d'agitation , mais je ne vais pas m'en plaindre ) : Et puis je suis dans une phase léthargique ! Je vais me mettre en quête de quelque chose de plus 'tonique" peut-être ?

Kannskia a écrit:

colimasson a écrit:

Le temps passe vite...
Bon, allez, je ne t'en voudrais pas si tu ne le lis pas au mois d'avril

Tu connais pas encore mon tempérament de bourrique acharnée toi

Il sera lu en Avril.

Si, si, j'avais déjà eu l'occasion de le remarquer !

Constance a écrit:

"Quand la beauté nous sauve" de Charles Pépin (Les mardis de la philo chez Robert Laffont)


Quatrième de couverture :

Citation :

Un paysage naturel vous offre l'apaisement, une mélodie vous redonne soudain foi en vous-même, un tableau vous emporte dans quelque chose de plus grand que vous, un visage contemplé vous invite à voir le monde autrement ...
Chaque fois que la beauté nous touche, elle nous réapprend à nous faire confiance, à nous écouter, à ne pas nous laisser enfermer dans notre quotidien, nous ouvrir à la promesse d'un Absolu.
Dans le plaisir esthétique, nous réussissons même à nous confronter à ce qui d'habitude nous effraie : le mystère des choses, notre propre obscurité ...
C'est le pouvoir de la beauté : elle nous donne la force d'aimer ce qui est, en même temps que celle d'espérer ce qui pourrait être.
Croisant la pensée des grands philosophes, l'oeuvre des artistes d'hier et d'aujourd'hui, puisant aussi dans son expérience personnelle, Charles Pépin éclaire l'énigme de la beauté et montre en quoi sa fréquentation peut nous aider à vivre.

L'émotion esthétique y est décryptée à travers les écrits de philosophes tels que Kant, Hegel, Platon, Nietzsche, mais dans une démarche pédagogique qui me permet de tout comprendre, sans me triturer les neurones. Un ouvrage quasi ludique à la portée des hermétiques à la philosophie.

Merci de parler de ce livre Constance ! J'en avais lu quelques mots, et j'hésitais à le marquer à ma LAL... plus maintenant.

J'ai commencé Ada de Nabokov...

colimasson a écrit:

Kannskia a écrit:

Tu connais pas encore mon tempérament de bourrique acharnée toi
Il sera lu en Avril.

Si, si, j'avais déjà eu l'occasion de le remarquer !

Hé ! J'ai essayé d'aller chercher ma commande chez mon libraire en rentrant ce soir. J'appelle avant d'y aller pour vérifier qu'il ne l'a pas vendu à quelqu'un d'autre et que c'est bien ouvert.... Réponse : "je suis désolé, j'allais fermer justement, je suis seul dans la boutique et je dois aller animer l'atelier jesaispasquoi". C'est la deuxième fois qu'il me fait le coup ! Il essaye de m'empêcher de lire Karénine !

Mais bon, il est pardonné, quand je lui ai dit que je viendrai samedi le chercher, il a promis de m'offrir une rose