banissement de sousmarin

Je viens de recevoir le mail pour le vote.
Et je découvrir le fil du bannissement.
Et je suis triste. Triste que la situation ait ainsi dégénérée. Dommage.
  

Mais comme tout le monde, je soutiens entièrement Queenie, Animal et les autres.

on note la "restauration" de Sousmarin !

Avant l'ouvertement du fil "vision", Je n'avais pas posté sur le forum depuis 4 ans mais je suis passé régulièrement, notamment pour jeter un coup d'œil de temps à autre et répondre aux MP reçus  - la plupart envoyés lorsque certains anciens me voyaient connecté -, réels n'en déplaisent à d'autres...tout le monde n'a pas la mémoire courte.
Pourquoi ne plus avoir posté ? Parce que je me connais bien. Si j'avais posté, j'aurais voulu suivre les sujets puis répondre aux commentaires qui auraient suivi, commentaires qui auraient suscités des réponses, etc. et je n'en avais pas la force.
La maladie ne m'a pas "rendu haineux" (merci de citer les posts où je le suis) et toute insinuation dans ce sens est indigne mais je suis acharné - sinon je serai mort - avec tous les défauts - et les qualités aussi j'espère - que cela comporte.

Quant à Portouverte, tous les posts de LaChose sont de lui, hormis les 3 derniers (identiques, dans 3 rubriques différentes, et stipulés ainsi : "Cette liste a été créée à partir des auteurs élus chaque mois".
Il était vraiment utile de me prendre  le compte fondateur pour ça ?
A ce sujet, je ne sais toujours pas pourquoi on me l'a pris.

Mon but est clair, je l'ai dit et répété : un respect de la constitution (j'en ai relevé de multiples violations - y compris par des modérateurs - depuis mon retour) et des institutions de Parfum (y compris du rôle des Racines et de mon compte fondateur) tant qu'un vote n'y change rien.

le vote étant terminé le bannissement est à nouveau effectif.

Je pensais bien que cette décision allait arriver ; je l'attendais presque.

c'était la décision à prendre !

Il faut dire que la situation était exceptionnelle avant que SM soit banni une première fois. Le réintégrer tenait du quasi-impensable. Nous l'avons bien sûr repris en sursis. Il ne se sera pas mérité nos éloges, c'est le moins qu'on puisse dire.

Très bonne nouvelle ! Enfin le retour au calme !

Devant le déluge de félicitations et d’embrassades virtuelles qui ont salué la victoire de Queenie-La Chose, je ne peux pas m’empêcher de penser que le bonheur des uns fait le malheur des autres, et qu’il doit y avoir en ce moment une personne dans la tristesse.
Que voulez-vous, le bannissement me semble une arme brutale, une mesure à réserver aux cas moralement répréhensibles.
Un désaccord n’aurait jamais dû se solder par l’expulsion du contradicteur. Ça fait peur aux futurs contestataires….
Je m’en vais, moi aussi. Le panurgisme m’insupporte.

Je ne pense pas qu'il ait exprimé le souhait de cohabiter, ni agi en sorte de.

Dom a écrit:

Devant le déluge de félicitations et d’embrassades virtuelles qui ont salué la victoire de Queenie-La Chose, je ne peux pas m’empêcher de penser que le bonheur des uns fait le malheur des autres, et qu’il doit y avoir en ce moment une personne dans la tristesse.
Que voulez-vous, le bannissement me semble une arme brutale, une mesure à réserver aux cas moralement répréhensibles.
Un désaccord n’aurait jamais dû se solder par l’expulsion du contradicteur. Ça fait peur aux futurs contestataires….
Je m’en vais, moi aussi. Le panurgisme m’insupporte.

Ma foi c'est le principe d'une élection. De toute façon les choses étaient allées trop loin et dès lors le vote clos les conséquences étaient logiques. On aurait pu éventuellement discuter si des mots n'avaient pas été si blessants et trouver une solution plurielle mais là la violence empêchait tout compromis. Il est dommage que cela entraîne ton départ.

Jimmy a écrit:

Dom a écrit:

Devant le déluge de félicitations et d’embrassades virtuelles qui ont salué la victoire de Queenie-La Chose, je ne peux pas m’empêcher de penser que le bonheur des uns fait le malheur des autres, et qu’il doit y avoir en ce moment une personne dans la tristesse.
Que voulez-vous, le bannissement me semble une arme brutale, une mesure à réserver aux cas moralement répréhensibles.
Un désaccord n’aurait jamais dû se solder par l’expulsion du contradicteur. Ça fait peur aux futurs contestataires….
Je m’en vais, moi aussi. Le panurgisme m’insupporte.

Ma foi c'est le principe d'une élection. De toute façon les choses étaient allées trop loin et dès lors le vote clos les conséquences étaient logiques. On aurait pu éventuellement discuter si des mots n'avaient pas été si blessants et trouver une solution plurielle mais là la violence empêchait tout compromis. Il est dommage que cela entraîne ton départ.

Jimmy a raison.
Je trouve que "moralement" Sousmarin était allé trop loin (pas que lui, certes, mais on pourrait dire le truc enfantin : "c'est lui qui a commencé"), en insultant tout le monde. Et il était complètement incohérent de laisser la porte ouverte (hum) à une personne postant des menaces.
Personne ici n'est contre la critique, on est contre l'agressivité, le mépris, l'insulte...

Et...
Autre point : ce n'est pas "ma" victoire, mais celle de tous les parfumés, qui veulent un lieu où ils se sentent libres de dire ce qu'ils pensent, et ce qu'ils ressentent. Sans se faire traiter d'imbécile si leur avis ne suit pas la ligne de conduite de l'administration.

Mais, soit, si tu penses de la façon dont tu l'écris, j'imagine que tu ne peux pas te sentir à l'aise ici. Je ne chercherais donc pas plus à te convaincre.

Quoiqu'il en soit : bonnes lectures Dom.

Je comprends que l'on est de la compassion pour Sousmarin... et j'en ai aussi. Je pense que ça ne doit pas être une situation agréable, loin de là...

Cela dit, il faut être lucide : personne n'a banni Sousmarin. Il s'est banni lui-même...   

Dom a écrit:

Devant le déluge de félicitations et d’embrassades virtuelles qui ont salué la victoire de Queenie-La Chose, je ne peux pas m’empêcher de penser que le bonheur des uns fait le malheur des autres, et qu’il doit y avoir en ce moment une personne dans la tristesse.
Que voulez-vous, le bannissement me semble une arme brutale, une mesure à réserver aux cas moralement répréhensibles.
Un désaccord n’aurait jamais dû se solder par l’expulsion du contradicteur. Ça fait peur aux futurs contestataires….
Je m’en vais, moi aussi. Le panurgisme m’insupporte.

Je te rejoints pour trouver le bannissement excessif; du haut de mon pas-un-an d'ancienneté ici je ne me suis guère mêlé des échanges, mais je fais partie de ceux qui se sont ouvertement réjouis de la décision de forumactif.

Cette entrée toutes portes fracassées, du haut de son destrier cabré, armes au poing et imprécations à la bouche avait quelque chose de non civilisé.
Son hubris a fait le reste, et là c'est la cata: relis les pages, je les ai toutes lues attentivement au fur et à mesure que se déroulait cet échange lourd, parfois délétère (conviens-en) la perspective n'était pas celle d'un fils prodigue inversé, c'est-à-dire d'un père prodigue. Non, c'était nous apprendre la vie et on en a tous grandement besoin, c'est ça ?

Je suis revenu, dans la vraie vie, dans une structure dont j'étais un des fondateurs, l'an passé, après m'en être écarté sept années durant.
Un petit sourire comme fixe, la voix joyeuse, rieuse mais basse, humblement. J'ai estimé "c'est bien ce que vous faites et avez fait". Je n'ai pas donné de conseils - on ne m'en a pas demandé.
Je n'ai pas demandé un quelconque statut correspondant à mes anciennes fonctions, mon ancien standing en quelque sorte. Et il ne se passe pas une semaine sans que je n'en sois béatement heureux, les yeux écarquillés enfantins comme les ont parfois mes garçons.


Le rejet définitif du fondateur est fort attristant, certes, Dom, mais e la nave va, et ça, ça ne vaudrait pas un bon petit déluge de hourras et autres sopalinades à mots trempés  ?

Il me semble -mais je peux me tromper- que Sous Marin est en grande souffrance, qu'il y a mauvaise météo stable sous son crâne. Qu'il eût fallu -j'ignore tout de la faisabilité- le rencontrer physiquement, et non par clavier et écran interposés.

Et, en effet, qu'il doit ressentir un sentiment aggravé de solitude, de tristesse qu'il prendra sans doute pour de l'incompréhension.
Sous-Marin, si d'aventure tu peux me lire...peut-être un retour en sous-marin un jour, apaisé, serein, mesuré ?

Dom a écrit:

Devant le déluge de félicitations et d’embrassades virtuelles qui ont salué la victoire de Queenie-La Chose, je ne peux pas m’empêcher de penser que le bonheur des uns fait le malheur des autres, et qu’il doit y avoir en ce moment une personne dans la tristesse.
Que voulez-vous, le bannissement me semble une arme brutale, une mesure à réserver aux cas moralement répréhensibles.
Un désaccord n’aurait jamais dû se solder par l’expulsion du contradicteur. Ça fait peur aux futurs contestataires….
Je m’en vais, moi aussi. Le panurgisme m’insupporte.

Deux mots un peu.. forts, Dom. Déluge? Pas vraiment.
Et panurgisme. Non. D'abord, il y a eu des départs, que personnellement je regrette beaucoup. Et des participants qui ne se sont pas exprimés, ce que je regrette aussi.
Ensuite, deux choses, encore une fois et toujours à titre personnel.
Dans le fil qu'il a créé, Sousmarin a dit lui-même que les sanctions reposaient sur la forme, et non sur le fond.Et qu'elles devaient s'appliquer à tous de la même manière.  L'administration élue a constaté la forme, et sanctionne la forme.
Après, le fond.. beaucoup plus important à mon sens (  car , et on le sait tous, il y a beaucoup de circonstances atténuantes pour cette forme ),Sousmarin a négligé la volonté de la majorité des membres de pouvoir communiquer d'une autre façon que celle qu'il voulait imposer.
Et n'a pas voulu laisser le temps à la nouvelle équipe de réfléchir à comment faire au mieux pour cela.
Dès lors..

Comme l'explique très bien Sigismond, ce n'est pas parce qu'on est le créateur d'une structure que l'on doit, des années après, vouloir y imposer des règles qui ne conviennent plus à l'ensemble de ceux qui font vivre la structure. Ce n'est plus une contradiction.

J'ai par ailleurs le même souhait que Sigismond , on peut rêver.