Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 John Crowley

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MessageSujet: John Crowley   John Crowley EmptySam 28 Fév 2009 - 10:19

John Crowley Maxres10

Aurore Jestadt a écrit:
John Crowley est un réalisateur et metteur en scène irlandais. Il étudie la philosophie à l'Université de Cork dont il est diplômé. Il met en scène plus d’une vingtaine de pièces de théâtre, dont le succès castant Jim Broadbent , "The Pillowman" de 2003 à 2005, adaptation de l’auteur irlandais Martin McDonagh.
En 2000 il adapte en téléfilm la pièce de Samuel Beckett "Come and Go", et signe en 2003 son premier long-métrage avec Intermission, qui compte au casting des acteurs comme Colin Farrell ou Kelly Macdonald.

Il signe à nouveau une adaptation d’une pièce de théâtre pour la télévision, "Celebration" d’Harold Pinter, en 2007. Par la suite il révèle le jeune Andrew Garfield avec le film émouvant applaudit par la critique : Boy A, qui reçoit le Hitchcock d’Or et d’Argent au Festival du Film Britannique de Dinard en 2008. Il obtient également quatre British Academy Television Awards dont notamment Meilleur Acteur pour Andrew Garfield et Meilleur Réalisateur. On le retrouve en 2013 avec le thriller se déroulant dans les coulisses des cours de justice britannique, Closed Circuit, mettant en scène Eric Bana et Rebecca Hall.

Aurore Jestadt
source : allocine.fr


Boy A
John Crowley Boy-a-10

Boy A fait partie de ces films à thèse qui n'évitent pas complètement le côté démonstratif de leur propos, en appuyant parfois le trait, mais qui touchent par le soin apporté pour  donner vie à leurs personnages, à les laisser acquérir une densité qui nous les rend vrais et attachants.  

Boy A est le nom qu'on a donné à cet enfant qui vient de passer plusieurs années en prison pour un crime atroce (qu'on découvre en flash back) afin de lui permettre d'avoir une seconde chance à sa sortie sans être immédiatement reconnu et traqué. Evidemment  ce moment d'"évasion" qu'il va connaitre sera précaire.

C'est finalement une histoire d'apprentissage (comme l'était Morse dans un registre fantastique) où Boy A doit tout apprendre de l'amitié, du sexe, de l'amour, de la vie d'un adolescent, puisqu'il en a été privé durant ces années de prison.

Le jeune acteur Andrew Garfield semble en avoir agacé certains par son jeu jugé maniéré dans sa timidité angélique. Je l'ai trouvé terriblement émouvant, écorché vif, maladroit et naïvement émerveillé par toutes ces choses si simples qui s'offrent à lui et qu'il pense ne pas mériter. Chaque séquence de son apprentissage est juste, tendue entre bonheur et souffrance, dans une photographie surexposée qui donne le sentiment de sortir d'un trou noir pour entrer dans une lumière trop vive. Celle d'une existence à laquelle il n'a peut-être plus droit.

Il y a des maladresses, des scènes trop démonstratives comme celle du sauvetage d'une petite fille dans une voiture accidentée, et un final un peu mélodramatique mais c'est un film qui me restera en mémoire.
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MessageSujet: John Crowley   John Crowley EmptyDim 1 Mar 2009 - 19:07

Marko a écrit:
Boy A
John Crowley Boy-a-10

Boy A fait partie de ces films à thèse qui n'évitent pas complètement le côté démonstratif de leur propos, en appuyant parfois le trait, mais qui touchent par le soin apporté pour donner vie à leurs personnages, à les laisser acquérir une densité qui nous les rend vrais et attachants.

Boy A est le nom qu'on a donné à cet enfant qui vient de passer plusieurs années en prison pour un crime atroce (qu'on découvre en flash back) afin de lui permettre d'avoir une seconde chance à sa sortie sans être immédiatement reconnu et traqué. Evidemment ce moment d'"évasion" qu'il va connaitre sera précaire.

C'est finalement une histoire d'apprentissage (comme l'était Morse dans un registre fantastique) où Boy A doit tout apprendre de l'amitié, du sexe, de l'amour, de la vie d'un adolescent, puisqu'il en a été privé durant ces années de prison.

Le jeune acteur Andrew Garfield semble en avoir agacé certains par son jeu jugé maniéré dans sa timidité angélique. Je l'ai trouvé terriblement émouvant, écorché vif, maladroit et naïvement émerveillé par toutes ces choses si simples qui s'offrent à lui et qu'il pense ne pas mériter. Chaque séquence de son apprentissage est juste, tendue entre bonheur et souffrance, dans une photographie surexposée qui donne le sentiment de sortir d'un trou noir pour entrer dans une lumière trop vive. Celle d'une existence à laquelle il n'a peut-être plus droit.

Il y a des maladresses, des scènes trop démonstratives comme celle du sauvetage d'une petite fille dans une voiture accidentée, et un final un peu mélodramatique mais c'est un film qui me restera en mémoire.

Vu.
J'avais lu ton avis en diagonale avant d'y aller, histoire de ne pas trop m'influencer pendant le film. Et j'avais cru que c'était toi qui avais trouvé l'acteur "trop maniéré"... J'étais prête à argumenter pendant dix pages pour tenter de te persuader du contraire.
Je l'ai adoré cet acteur. On dirait vraiment un tout gamin dans un corps d'adulte, il arrive à donner un regard vraiment neuf sur les choses et les gens. Il est extrêmement touchant. Et tout le long du film je me suis demandée comment il avait pu tuer...

Et la scène finale, si elle avait durer deux secondes de plus (genre après le coup de fil au tuteur et celui au meilleur pote, si y'avait celui à la petite amie) j'aurais versé ma larme. (Cette scène de en plongée m'a évidemment rappeler avec fulgurance celle de Everything is fine. Et même si elles sont "classiques" je les trouve terriblement efficace)

Vraiment un bon film.
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MessageSujet: Boy A [John Crowley]   John Crowley EmptyMer 22 Avr 2009 - 20:07

John Crowley Boy_a010

Boy A. est un film anglais de John Crowley.Pas sans intérêt ni sans ambiguïté.Révélé par le Festival Britannique de Dinard je l'ai vu ici dans le cadre de Ciné-philo.Idéal pour discuter,pas forcément pour sortir de sentiers battus.Ceci dit Boy A est un film à voir.L'histoire de Jack,qui avec un autre enfant de dix ans,a assassiné une enfant du même âge,sort de détention.Aidé de son conseiller de probation il va essayer de refaire sa vie.Pas simple évidemment.Plutôt sobre le film insiste sur la notion d'anonymat,nécessaire mais si frustrante,qui pèse sur la conscience de Jack qui a bien sûr changé d'identité.Je laisse chacun à sa propre réflexion sur ce douloureux sujet.Ce que je retiens c'est que lors d'un tel débat il est facile de sombrer d'un côté comme de l'autre dans la démagogie totale.Cela n'a pas manqué.Je réponds,invariablement, qu'hélas,au simplisme des uns répond l'angélisme des autres.Manifestement,limite de l'exercice,ni les uns ni les autres ne semblent s'en soucier.Vieille querelle.
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MessageSujet: Re: John Crowley   John Crowley EmptyMer 22 Avr 2009 - 22:54

Film inspiré du roman de Jonathan Trigell, "Jeux d'enfants"...
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MessageSujet: Re: John Crowley   John Crowley EmptyVen 24 Avr 2009 - 14:12

J'ai fusionné avec les messages que Marko et moi avions postés au moment où nous avions vu le film.

Je suis d'accord avec les "bons sentiments", et le côté manichéen, mais je trouve que ça fonctionne grâce au parti pris de cette naïveté complètement irréelle et décalée. On a plus l'impression qu'il sort d'un autre monde plutôt que d'une prison.
Au moins, ça a le mérite de ne pas sombrer dans le lugubre.
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MessageSujet: Re: John Crowley   John Crowley EmptyVen 6 Nov 2009 - 1:41

Comme vous, j'ai trouvé ce jeune acteur très émouvant , avec ses regards d'enfant émerveillé et terrorisé à la fois.
Il porte le film ,et même si le scénario est un peu maladroit ,notamment l'histoire du père et du fils qui se rajoute, on l'oublie tant ce garçon nous émeut.
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MessageSujet: Re: John Crowley   John Crowley EmptyDim 13 Mar 2016 - 12:35

John Crowley Brookl10
Vu Brooklyn, de John Crowley (le réalisateur de Boy A en 2007). Scénario de Nick Hornby (fil ici) d'après le roman de Colm Tóibín (fil ici). Trois nominations aux Oscars : meilleur film, meilleur scénario, meilleure actrice (pour Saoirse Ronan, ici dans son premier vrai rôle "adulte", je crois).
Nous sommes au début des années cinquante en Irlande. Une jeune fille (Saoirse Ronan : belle, intelligente, gentille) va tenter sa chance aux Etats-Unis ; départ, voyage sur le bateau, arrivée à New-York, vie là-bas... Et je m'arrête là.

La reconstitution est impeccable sans être empesée (mais les gens sont tous très propres sur eux), les images sont très belles, Saoirse Ronan toujours photogénique, les dialogues plutôt bons et parfois spirituels. Et on a plein d'accents irlandais, italo-américains...
Parfois, la caméra tremble un peu, ce qui m'agace toujours : quand deux personnes sont à une table et parlent, pourquoi la caméra bouge-t-elle comme si le caméraman avait bu ? C'est souvent le cas quand le réalisateur a peur d'un plan fixe et ne sait pas quoi faire d'autre, je crois. Bien sûr, ce n'est qu'un détail. Vers la fin, il y a aussi quelques maladresses, mais bon, ça passe.
J'ai trouvé qu'il manquait quelques informations sur la vie de notre héroïne en Irlande, avant son départ aux Etats-Unis.

Voir la bande-annonce serait une erreur, que j'ai commise. J'aurais dû me boucher les yeux et les oreilles. En effet, tout est raconté dedans (comme dans la bande-annonce de Room, heureusement j'ai vu le film sans avoir visionné la bande-annonce avant, ouf !). Tout. Du coup, à la fin de ma séance ciné (un peu polluée par une femme qui racontait au fur et à mesure à son bambin ce qui se passe après des questions du genre : "maman, pourquoi elle pleure, la dame ?"), je me suis dit : "il n'y a que ça ? c'est déjà fini ?".
Ce n'est pas un grand film, la nomination du meilleur film est excessif. Mais c'est quand même un bon petit film.

Il faudrait faire un procès non pas pour bande-annonce trompeuse (après tout, c'est une publicité), mais pour bande-annonce qui raconte tout le film.
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MessageSujet: Re: John Crowley   John Crowley EmptyDim 13 Mar 2016 - 13:15

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Je l'ai vu aussi. C'est un peu lisse et académique mais pas déplaisant. Il y manque un peu d'aspérités probablement. Mais on ressent bien le déracinement et le mal du pays. L'acteur qui joue l'émigré italien est très touchant (non pas benêt!). Comme dans Boy A il est un personnage plein de bonté et de gentillesse. Des qualites qu'on dévalue trop en temps de cynisme.

A la sortie une spectatrice (90% des spectateurs etaient des femmes) a résumé la morale du film:

Spoiler:

Film de filles ? (Pardon!).

La musique de Michael Brook est pas mal.
Les dialogues de Nick Hornby aussi avec beaucoup de finesse et de drôlerie. De vrais personnages secondaires.

Et oui Expie. Les bandes annonces sont devenues des résumés des films. Inregardables.
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MessageSujet: Re: John Crowley   John Crowley EmptyVen 18 Mar 2016 - 10:04

-Brooklyn-

Un joli film un peu académique c'est vrai, mais l'atmosphère de ces annnées là ne prêtait pas vraiment à plus de légèreté ou de fantaisie. Crowley a choisi la reconstitution fidèle et personellement je suis venue pour ça (j'adore ces ambiances fifties)

Je n'ai pas été décue par l'adaptation, au contraire, et la bande annonce ne m'a donc pas génée puisque je l'avais lu avant. Il faut bien reconnaître qu'il n'y avait de toutes façons pas non plus grand chose dans celui ci, juste cette notion de déchirement bien analysée. Ceci dit je trouve aussi que toutes ces nominations sont quand même excessives. Un film bien fait et très honnête, qui se regarde un peu en pilotage automatique, mais avec une superbe photographie!

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MessageSujet: Re: John Crowley   John Crowley EmptyMer 30 Mar 2016 - 23:59

Brooklyn

J'ai été touché par la finesse et à la subtilité de l'interprétation de Saoirse Ronan, qui dévoile avec aisance le changement de la personnalité d'Eilis, ses fragilités, ses doutes et sa progressive affirmation dans sa vie américaine, jusqu'au douloureux choix final qui représente une séparation.

La mise en scène exprime une sensibilité discrète, mais j'ai trouvé que les efforts de reconstitution sont trop visibles et figent certaines séquences. C'est une adaptation honorable mais l'écriture de Colm Toibin, limpide et intériorisée, apportait davantage de nuances.
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MessageSujet: Re: John Crowley   John Crowley EmptyJeu 31 Mar 2016 - 0:46

C'est vrai qu'elle se métamorphose avec beaucoup de justesse.
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MessageSujet: Brooklyn   John Crowley EmptyDim 3 Avr 2016 - 10:07

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Tiré du roman de Colm Toibin du même nom (commentaire ici , il va sans dire qu'aucune interprétation cinématographique ne saurait rendre toute la subtilité du pouvoir des mots ....Mais il est toujours aventureux de se lancer dans une telle entreprise . Et plus encore s'il s'agit d'une historiette comme il en existe tant , avec de l'amour avant tout , des jeunes filles en fleurs et le thème de l'exil .Parce que c'est pas vraiment tendance tout cela . Parce que vu sous cet angle , on y va tout droit au bon gros mélo lourdingue auquel le réalisateur John Crowley et le scénariste Paul Tsan ont échappé grâce à leur talent .
Un film oui , très académique , ( il ne saurait en être autrement avec de tels ingrédients ) , mais plein de fraicheur , des bons sentiments mais sans mièvrerie , des petites anecdotes finement interprétées dans le registre d'un humour plein d'intelligence , voilà de quoi passer une très bonne soirée , sans se traumatiser meme si vous risquez bien quelques larmettes ....Oh rien de bien méchant , l'émotion facile , vous connaissez , qui vous emporte aussi vite qu'elle disparait , et dont on est tous friands (même si on s'en défend question d'image n'est-ce pas ! ) parce que c'est aussi ça le cinéma : pouvoir se laisser aller quelques heures avant de rendosser sa carapace de survie .
Un film de filles ? Oui sûrement . Parce qu'elles sont majoritaires dans les personnages , et qu'une dizaine de filles à tables , c'est aussi délicieux à regarder qu'à entendre ! Les tenues années 50 sont follement vintage avec des tas de couleurs rose bonbon, bleu acidulé , vert Irlandais et j'en passe ....La taille haute et marquée , les escarpins clic clac ou alors sandales à talons , les soutiens gorges qui font des poitrines qui pointent ( ça c'était quelque chose ! ) , et jusqu'au porte-jarretelles furtivement de passage lors d'une scène ....ô tout ce qu'il ya de plus pudique et gentillet ! Petites voix poitues ( elles aussi ? décidément ! ) en harmonie avec le reste avec des échanges un brin "vitriolé ", pour garder l'équilibre !
Et les hommes la dedans ? Entre un italien avec une vague allure de gavroche et à l'accident nasillard pas vraiment so classy et l'Irlandais un poil de plus rouquin et blanco-farine de peau , il faudra choisir .Autant dire qu'ils n'ont pas la meilleure place .
Et enfin pour ceux qui aiment les décors de cette époque là , le travail est particulièrement soigné: tapisseries à fleurettes roses fanées , napperon au crochet , coussin en laine , tasses en porcelaine de" celles qu'on boirait du thé" toute la journée rien que pour le plaisir d'entendre le bruit de celle-ci quand on la repose sur sa petite soucoupe ...
Non je n'ai pas adoré .
Aimé ? Oui
Comment ? en me laissant aller dans cette athmosphère romanesque légère oui ...pas tant que ça , et c'est c'est probablement là le principal intérêt du film , à l'image du livre .
J'ai été agréablement surprise , je n'en attendais pas tant .
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MessageSujet: Re: John Crowley   John Crowley EmptyDim 3 Avr 2016 - 10:15

fusion avec le fil du réalisateur. cat
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MessageSujet: Re: John Crowley   John Crowley EmptyDim 9 Oct 2016 - 14:00

Brooklyn

J’ai vraiment bien aimé ce film dont vous connaissez l’histoire bien entendu. J’ai besoin de la raconter ? Une jeune Irlandaise part à New-York pour trouver ce qu’elle n’arrive pas à trouver dans sa petite ville d’Irlande. Elle rencontre un Italien, ils tombent amoureux…

Il ne se passe pas grand-chose dans ce film mais ce n’est pas grave. On ne tombe pas dans l’écueil de ce qu’on entend, voit, à propos des vagues d’immigration qui se sont faites vers New-York. Misère, abus de toutes sortes…. Même si cela a existé. Et c’est ce qu’on pourrait reprocher au film? Il a les qualités de ses défauts? Mais moi ça m’a plu de voir un nouveau départ réussi.

C’est doux, c’est harmonieux, c’est joli. Il y a des peines, mais tout s’arrange. Ce ne serait pas réussi sans le talent des acteurs qui arrivent à porter les personnages et les rendre attachants. Ils sont tellement mignons à s’accrocher l’un à l’autre.

Je n’ai jamais lu Colm Tóibín. Il faudra que j'essaye.

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