Que lisez-vous en Août 2012?

je lis ou plutôt, je crois que je relis "tendres silences" d'Angela Huth. Mais comme je suis partie en vacances et que je n'ai pas pris beaucoup de livres, je continue !

Je viens de recevoir mes commandes de livres et je suis fébrile !!

mais par lequel vais je donc commencer ?
dilemme cornélien...

peut-être l'enfant bleu.... ils ont tous l'air tellement bien !!

Commencé L'île aux fous d'André Soubiran.

shéhérazade a écrit:

Je viens de recevoir mes commandes de livres et je suis fébrile !!

mais par lequel vais je donc commencer ?
dilemme cornélien...

peut-être l'enfant bleu.... ils ont tous l'air tellement bien !!

Ams....tram...gram...L'enfant bleu!

Sorj Chalandon - Mon traitre (déjà terminé!)

coline a écrit:

Ams....tram...gram...L'enfant bleu!

tout à fait ça ! J'ai commencé et je dévore, je trouve que ça se lit très facilement et en même temps c'est très intense ! Je me sens toute happée, dans le livre Parfois, je me sens obligée de faire une pause, de retourner à la réalité pour ne pas la perdre, puis m'y replonge.

Bonne lecture Shéhérazade!

Ivan Jablonka, Histoire des grands-parents que je n'ai pas eus : une enquête.

Sorj Chalandon - Retour à Killybegs (déjà commencé!)

La femme du tigre de Téa Obreht

Après Alors Belka, tu n'aboies plus ? (Furukawa Hideo ; avis mitigé, comme Traversay et Esperluette, ou peut-être même plus mitigé : au début c'est efficace, à la fin, c'est un peu saoulant, tous ces passages de géopolitiques, ça aurait pu être un peu raccourci, et ça fait très donneur de leçons, du genre "bande de cons qui pensez que le monde est simple, comme ces crétins d'Américains, je vais vous expliquer que tout est plus subtil que vous ne le pensiez, wouff wouff !" ), j'ai commencé Ce n'est pas un hasard (Ryoko Sekuguchi), et là, c'est du réel, puisque c'est en quelque sorte le journal que l'auteur - qui était à Paris à ce moment-là - a tenu pendant les journées difficiles de mars 2011 (tsunami... Fukushima...)

Curieux comme dés qu'un auteur a un avis sur le monde, ses enjeux, l'action de tel ou tel pays cela devient soulant.
J'aime bien qu'ils aient un point de vue et qu'ils l'expriment.
Je suis pas forcé d'adhérer et puis c'est dans un bouquin: ça mange pas de pain...
En tous cas merci d'en avoir fait part ici, parce que trouver son fil aurait été au dessus de mes capacités.
Ami de la gent canine, ce bouquin m'interpelle!

Igor a écrit:

Curieux comme dés qu'un auteur a un avis sur le monde, ses enjeux, l'action de tel ou tel pays cela devient soulant.
J'aime bien qu'ils aient un point de vue et qu'ils l'expriment.
Je suis pas forcé d'adhérer et puis c'est dans un bouquin: ça mange pas de pain...
En tous cas merci d'en avoir fait part ici, parce que trouver son fil aurait été au dessus de mes capacités.
Ami de la gent canine, ce bouquin m'interpelle!

En fait, tu as l'impression aussi de lire des pages de wikipedia (histoire du KGB, histoire de l'URSS, etc.). Quand c'est démesuré par rapport au reste, ça agace un peu.
Et puis le point de vue, ici, n'en est pas vraiment un, c'est une sorte de réécriture (ou pas ?) du point de vue de l'utilisation des chiens de combat.

Chez Franzen, il y a pages d'économie, d’écologie ou d'observation de phénomènes politiques qui ont semble-t-il gêné la lecture de certains (même autour de moi). Pourtant c'est important et le contexte prend une dimension réaliste.
Maintenant, effectivement si la trame romanesque est aussi épaisse qu'une feuille de papier à cigarette et qu'un simple copier/coller de journaux d'opinions ou de chez wiki, un recette quoi, je comprends.
Une réécriture du point de vue des chiens de combats ou de leur utilisation ?

La jeunesse mélancolique et très désabusée d'Adolf Hitler
Michel Folco

Moi qui n'aime pas, mais vraiment pas tout ce qui touche de près ou de loin à la guerre.... ah, ah,à contrario, je me suis régalée avec ce roman que m'a conseillé une connaissance, professeur en littérature.

Complètement déjantée, cette approche de l'enfance, de l'adolescence à la jeune de Dolfi... tel que prénommé.

Depuis les péripéties liées à l'acte de naissance de son grand père jusqu' à ses dernières déconfitures en tant qu'artiste peintre... en filigrane, on peut déceler, tels les petits cailloux blancs du Petit Poucet, les élément qui ont pu prendre graine, lever et fomenter jusqu'à l'horreur .

Un livre qui mérite d'être pris en main, avec légèreté et gravité tout à la fois....