L'actualité des sorties en poche - 2013

puisqu'on en a parlé il y a quelques jours

parution le 3 janvier 2013:


Rax Rinnekangas, La lune s'enfuit




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parution le 9 janvier 2013


Jeanne Benameur, Les insurrections singulières



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Pour Joyce Carol Oates:

Les mystères de Winterhurn le 3 Janvier.
Le departement de musique le 6 Fevrier.
Le musée du Dr Moses en Mars.

MDNA a écrit:

Pour Joyce Carol Oates:

Les mystères de Winterhurn le 3 Janvier.
Le departement de musique le 6 Fevrier.
Le musée du Dr Moses en Mars.

L’éditeur a du entendre parler de notre LC !

MDNA a écrit:

Pour Joyce Carol Oates:

Les mystères de Winterhurn le 3 Janvier.
Le departement de musique le 6 Fevrier.
Le musée du Dr Moses en Mars.

Harelde, encore du boulot !

parution le 2 janvier



Siri Hustvedt, La femme qui tremble



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John Williams, Stoner




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Sortie le 3 janvier :

Herman KOCH, Le Dîner

Ken Follett, Paper money. Le 3 Janvier.


De Vigan, Rien ne s'oppose à la nuit. 1 Février.

Jon Kalman Stefansson, La tristesse des anges





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Les Revenants de Laura Kasischke



Sortie le 3 janvier

Son fil est ici

Encore un que je dois lire! Je n'y arriverai jamais

voilà, le 3e est sorti... maintenant j'attends le joli coffret Babel



Steig Larsson, Millénium 3 - La reine dans le palais des courants d'air



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Sherwood Anderson, Pauvre blanc

Citation :

Roman d'initiation, roman d'éducation et « success story », Pauvre Blanc emprunte son décor à l'Amérique rurale et misérable du « Deep South » opposé au Nord industriel qui voit s'opérer, à la fin du siècle dernier, un prodigieux essor économique. Son héros, Hugh, le « pauvre Blanc », quittera les rives boueuses du Mississippi pour devenir l'inventeur richissime de machines agricoles.
Mais il y a plus chez Sherwood Anderson, dont Faulkner disait : « Il est le père de la génération d'écrivains américains à laquelle j'appartiens. » Il y a chez lui une sorte de pessimisme social, de grande mélancolie face au pouvoir dévastateur du progrès. Il y a surtout un amour profond pour l'Amérique, ses villes, ses paysages, ses personnages, pour tous ceux dont il fut, dans son oeuvre, le chroniqueur indulgent, perspicace et désabusé.

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kenavo a écrit:

Sherwood Anderson, Pauvre blanc

Citation :

Roman d'initiation, roman d'éducation et « success story », Pauvre Blanc emprunte son décor à l'Amérique rurale et misérable du « Deep South » opposé au Nord industriel qui voit s'opérer, à la fin du siècle dernier, un prodigieux essor économique. Son héros, Hugh, le « pauvre Blanc », quittera les rives boueuses du Mississippi pour devenir l'inventeur richissime de machines agricoles.
Mais il y a plus chez Sherwood Anderson, dont Faulkner disait : « Il est le père de la génération d'écrivains américains à laquelle j'appartiens. » Il y a chez lui une sorte de pessimisme social, de grande mélancolie face au pouvoir dévastateur du progrès. Il y a surtout un amour profond pour l'Amérique, ses villes, ses paysages, ses personnages, pour tous ceux dont il fut, dans son oeuvre, le chroniqueur indulgent, perspicace et désabusé.

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Je ne sais pas pourquoi mais en lisant la présentation de ce roman, je pense à Nelson Algren.