Nos lectures de mars 2014

topocl a écrit:

Wouah! tu as foncé, Eglantine!

Malgré une migraine plus que menaçante  et toute mes obligations du jour que j'ai reportées à demain .....mais  tout simplement parce que j'ai été conquise  !  

Continue à lire La génération lyrique de François Ricard... Relu In vivo de Kim Doré dans le cadre de mon travail d'école... Terminé assez rapidement la lecture de Je ne vous attendais pas, de Rachel Leclerc.

Histoires pragoises de Rainer Maria Rilke

Queenie a écrit:

unmotbleu a écrit:

Bonjour

On vient de me prêter un roman de Michel Bussi.
Qui est cet auteur? Vous le connaissez?
Je commence ce soir...

On m'en a parlé avec beaucoup d'enthousiasme justement aujourd'hui. Il sort un nouveau livre apparemment (est-ce celui-ci que tu commences ?).
Auteur normand de polar, au moins ça suscite la curiosité.
Tu nous diras unmotbleu !

Je ne pense pas que ce soit le dernier...
Titre: Un avion sans elle.

Tu es curieuse des auteurs normands?  
 
Il se lit comme un rien, les pages tournent à toute vitesse; envie d'aller voir la fin tout de suite (faut résister!); le suspens grisant, pas assez rapide ma lecture (et pourtant...).
Vite, j'y retourne, j'ai hâte d'avoir la clef du mystère.
A bientôt: je vous raconterai.  

J'ai commencé La Curée. Comme toujours, avec Zola, il me faut une dizaine de pages pour me re-familiariser à son écriture si chatoyante. Les premières descriptions sont donc toujours un peu pénibles pour moi, mais une fois bien installé dans le roman, il n'y a plus qu'à savourer.
Comme toujours, j'admire la finesse de la peinture zolienne : ici, la voracité hédoniste d'une société où tout est dans l'avoir et le paraître, dans l'ostentation outrancière. Vernis flamboyant qui cache assez mal une profonde tristesse, et qui risque de craquer bien vite, j'imagine...

Queenie a écrit:

Chiara a écrit:

J'attaque " Même les cow-girls ont du vague à l'âme" de Tom Robbins 

Ouais !

J'ai trop envie de le lire celui-là, mais je vais me retenir un peu.

Edith Wharton : Fièvre romaine .

Lully a écrit:

J'ai commencé La Curée. Comme toujours, avec Zola, il me faut une dizaine de pages pour me re-familiariser à son écriture si chatoyante. Les premières descriptions sont donc toujours un peu pénibles pour moi, mais une fois bien installé dans le roman, il n'y a plus qu'à savourer.
Comme toujours, j'admire la finesse de la peinture zolienne : ici, la voracité hédoniste d'une société où tout est dans l'avoir et le paraître, dans l'ostentation outrancière. Vernis flamboyant qui cache assez mal une profonde tristesse, et qui risque de craquer bien vite, j'imagine...

Bonne lecture, cette Curée est un grand cru !

Ayant été frustrée de ma guerre avec Giono, je vais lire un petit recueil de nouvelles de Erich Maria Remarque : L'ennemi.

Pyramides de Gamal Ghitany.

Pierre Autin-Grenier - C'est tous les jours comme ça

Balzac et la petite tailleuse Chinoise de Dai Sijie

Trouvaille de hasard chez un bouquiniste.
Enfin, pas tout à fait de hasard, j'avais beaucoup aimé Du côté de Canaan.
Sebastian Barry : Les tribulations d'Eneas McNulty.
Cela commence charmant dès la première page, et petit à petit, cela devient carrément beau.

Citation :

Mais le voilà qui rit dans la rue, d'un rire frais et tenace. Son coeur se fait plus léger. Il a le monde devant lui, après tout. La tristesse de partir est aussi, oui, celle d'aller de l'avant, ou bien les deux sont limitrophes.

Après le très remarquable livre autobiographique, Le sens de la famille : Amy M. Homes, sur
lequel je reviendrai, Le train des Italiennes : Giovanni Orelli, écrivain Suisse de langue italienne.

bix229 a écrit:

Après le très remarquable livre autobiographique, Le sens de la famille : Amy M. Homes, sur
lequel je reviendrai, [

Ah, oui! je veux bien!