Nos lectures de mai 2014

petit à petit je prends pieds dans Le pape vert de Miguel Angel Asturias.

en pleine insomnie : Les demeures du sommeil d' Anna Kavan, onirique, surréaliste et puissamment poétique (merci, bix) !!

Franco - par Bennassar.
Un personnage au règne interminable, qui a survécu à ses potes Hitler et Mussolini.
L'auteur tente l'impartialité et ça lui réussit.
C'est un imbroglio idéologique incroyable, cette Espagne franquiste.

Pour le moment, c'est une relecture du Malaise dans la civilisation de Freud pour me le remettre en mémoire et pouvoir mieux l'exploiter dans mon dossier.

Giono: Le moulin de Pologne

Je commence Clair-obscur de Sōseki Natsume, et reprends Sexus d'Henry Miller que j'avais délaissé.

Vieux New York, Edith Wharton

Vu que le mauvais temps s' acharne de façon imbécile, je me suis confortablement installé dans Little bird. Confortablement et sans doute de façon durable.
Je lis peu et lentement. Mais il y a des avantages... S' imprègner de l' atmosphère générale, essayer
de comprendre ce qui se trame au delà des dialogues truqués, des approches ou des tentatives
d' approche des personnages pour sortir de leur solitude et peut etre satisfaire leurs désirs.
Et plus si affinités.
Et se demander si la subitilité qu' on attribue à Henry James ne peut pas se trouver ailleurs et
sous des formes différentes.

Des questions qui,  comme je le disais, sont favorisées par la lenteur. On se console comme on
peut...

 

Déjà, tu as un bon livre.
J'espère que tu nous approfondiras le parallèle entre Craig Johnson et Henry James

shanidar a écrit:

en pleine insomnie : Les demeures du sommeil d' Anna Kavan, onirique, surréaliste et puissamment poétique (merci, bix) !!

Très bien, Shanidar, mais ne te laisse pas contaminer par l' humeur dépressive de la pauvre Anna.
On va la proposer le moins prochain et tant pis si elle ne devient pas un best seller....

bix229 a écrit:

shanidar a écrit:

en pleine insomnie : Les demeures du sommeil d' Anna Kavan, onirique, surréaliste et puissamment poétique (merci, bix) !!

Très bien, Shanidar, mais ne te laisse pas contaminer par l' humeur dépressive de la pauvre Anna.
On va la proposer le moins prochain et tant pis si elle ne devient pas un best seller....

ah mais justement je trouve qu'elle évite admirablement l'écueil du désarroi ainsi que celui de l'épouvante... je vais avoir du mal à faire un commentaire qui parvienne à rendre mon sentiment mais en tout cas je découvre une auteure vraiment particulière et même unique, très tendre, très troublante, et dont l'écriture oscille magiquement entre onirisme et réalité.

Je viens de démarrer un recueil de nouvelles de Vladimir Odoïevski : La cité sans nom et autres récits.

Méphistophélès a écrit:

Pour le moment, c'est une relecture du Malaise dans la civilisation de Freud pour me le remettre en mémoire et pouvoir mieux l'exploiter dans mon dossier.

Un dossier sur quel thème ?

Je continue Flatland d'Edwin Abbott et Le grand troupeau de Giono.

Après Le Peintre d'éventails (Hubert Haddad ; vraiment, mais alors vraiment pas aimé du tout), j'ai commencé Trop de Bonheur (Alice Munro ; c'est tout de suite tellement meilleur, ouf...)