Under the Skin (Jonathan Glazer)

Pareil... j'ai vraiment aimé cet esthétisme, un peu sombre, et poétique finalement.
"hypnotisant" est le mot juste je pense...







Par contre dites-moi... l'écossais ne parle pas anglais en fait ?...     

Chymère a écrit:

Par contre dites-moi... l'écossais ne parle pas anglais en fait ?...      

  
Ça ajoute de l'étrangeté... A se demander s'ils ne parlent pas une langue inconnue, parfois... Un vrai film de SF, quoi !

Jonathan Glazer a écrit:

Pour moi, en tant que star hollywoodienne, Scarlett, avec son camion et son faux accent anglais, est un alien déguisé parmi les routiers de Glasgow. Je voulais jouer avec ce double niveau de lecture. J'étais très excité à l'idée de la plonger dans le monde réel et non de la filmer sur un plateau de tournage traditionnel. Je trouve également intéressant qu'elle soit le seul mensonge dans un monde que, par ailleurs, je filme comme un documentariste. Pour la séquence dans la boîte de nuit, par exemple, nous étions dans un club à Glasgow, un vendredi soir comme un autre. Nous n'avons pas utilisé de figurants. Pour la séquence au cours de laquelle elle tombe dans la rue et des gens l'aident à se relever, la caméra était cachée dans une mallette et le cameraman qui la portait se servait de l'écran de son iPhone comme retour caméra.

L'un des films les plus nuls que j'ai vu cette année, sans compter les films sans prétention.
Pourtant j'admets que y a une vraie tentative, un sujet intéressant (oui bon d'accord, c'est sans doute repris du bouquin), sinon c'est globalement surfait, un peu vide, et surtout, très, très, très, ennuyeux.

Et pour moi un des meilleurs de l'année. Comme quoi la subjectivité

Chymère a écrit:

Par contre dites-moi... l'écossais ne parle pas anglais en fait ?...      

Et c'est encore pire en live après quelques pintes.
J'ai tenté la semaine dernière...
Incompréhensible !

On a fini par se parler en espagnol bordel.
Échec total.