Nos lectures de mai 2015

Je me tâte à relire Le Bruit et la Fureur, tiens.

Robert Seethaler - Der Trafikant (pas encore traduit, apparemment?!)

tom léo a écrit:

Robert Seethaler - Der Trafikant (pas encore traduit, apparemment?!)

si si, le public français a pu découvrir ce livre lors de la rentrée d'automne 2014 sous le titre de Le Tabac Tresniek  

C'est vrai Pia, entre Nana et le Journal d'une femme de chambre, le genre du point de vue change... mais l'auteur reste quand même un homme dans les deux cas (enfin, il semble).

ArturoBandini a écrit:

GrandGousierGuerin a écrit:

colimasson a écrit:

D'habitude, je ne lis pas plus d'1h30 par jour grand maximum et là j'ai dépassé les 2h sans m'en rendre compte...

Et moi qui croyais que Coli lisait 35h par jour ...

En fait, Colimasson c'est la version féminine de Will Hunting!!!  

C'est qui ça Will Hunting ? j'ai la flemme de chercher

Monsieur de Bougrelon de Jean Lorrain.

Il va être temps... Requiem for me de Stanislas Rodanski.

GrandGousierGuerin a écrit:

colimasson a écrit:

D'habitude, je ne lis pas plus d'1h30 par jour grand maximum et là j'ai dépassé les 2h sans m'en rendre compte...

Et moi qui croyais que Coli lisait 35h par jour ...

Terminé Rashômon et autres contes (version intégrale, avec une quinzaines de nouvelles)
J'en ferai un commentaire plus tard.

Maintenant, les Carnets de Malte Laurids Brigge

colimasson a écrit:

C'est qui ça Will Hunting ? j'ai la flemme de chercher

Soit t'es sérieuse et je suis grandement surpris que tu ne connaisses pas (ces jeunes ce n'est plus ce que c'était), soit c'est ironique?


Sinon, je laisse de côté Le dit du Genji, je ne parviens pas à accrocher, et je me lance dans Jacques le Fataliste.

colimasson a écrit:

C'est vrai Pia, entre Nana et le Journal d'une femme de chambre, le genre du point de vue change... mais l'auteur reste quand même un homme dans les deux cas (enfin, il semble).

Et bien ils ne sont pas tendres avec la gent masculine dont ils font parti. Il faut dire que Mirbeau n’est pas tendre avec les femmes…maitresses… non plus. Et puis ce n’est pas nouveau de la part des auteurs, ils n’ont pas besoin d’être tendres…. Une sorte d’observation d’une certaine tranche de la société? Mais justement, au début du livre il y a une préface de Mirbeau qui dit s’être inspiré d’un journal d’une certaine Célestine R. Il dit même qu’il  a raté  son livre parce qu’il a fait de la littérature et a altéré la grâce corrosive des écrits de cette Célestine  …Donc vérité ? Plaisanterie ? Coup de « pub » ?

pia a écrit:

colimasson a écrit:

C'est vrai Pia, entre Nana et le Journal d'une femme de chambre, le genre du point de vue change... mais l'auteur reste quand même un homme dans les deux cas (enfin, il semble).

Et bien ils ne sont pas tendres avec la gent masculine dont ils font parti. Il faut dire que Mirbeau n’est pas tendre avec les femmes…maitresses… non plus. Et puis ce n’est pas nouveau de la part des auteurs, ils n’ont pas besoin d’être tendres…. Une sorte d’observation d’une certaine tranche de la société? Mais justement, au début du livre il y a une préface de Mirbeau qui dit s’être inspiré d’un journal d’une certaine Célestine R. Il dit même qu’il  a raté  son livre parce qu’il a fait de la littérature et a altéré la grâce corrosive des écrits de cette Célestine  …Donc vérité ? Plaisanterie ? Coup de « pub » ?

Mirbeau n'est pas sérieux quand il dit s'être inspiré d'un vrai journal. C'est juste pour donner un sentiment de vérité.

Juste un petit mot pour vous dire que je lis avec plaisir Le chasseur de têtes de Findley ! J'ai hâte de retrouver l'atmosphère et les personnages quand arrive enfin le temps de la journée où je peux lire.

Je commence un livre qui va m'accompagner un bon moment: Marie Noël - Almanach pour une jeune fille triste. Des notes, idées pour chaque jour...

Si le soleil ne revenait pas
C'est du Ramuz .

Nostromo - Conrad
C'est une conquête ! Techniquement, ce livre est magistral.
J'en suis à la moitié, mais qu'est-ce qu'il évoque bien l'Amérique latine !!
Sans parler de la galerie de personnages impayables.
En fait, c'est simple, j'y suis.


Journal d'un bourgeois de Paris sous François 1er - 10/18
Le témoignage d'un contemporain, avocat de son état. Très riche pour capter l'état d'esprit de cette époque ultra violente et la façon dont le roi était perçu (un guerrier toujours en quête de fric).
Langue du 16è, donc, je vais doucement.