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| repérages nouveautés 2016 | |
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eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Anton Tchekhov : Vivre de mes rêves Dim 23 Oct 2016 - 11:22 | |
| Anton Tchekhov : Vivre de mes rêves - L'éditeur a écrit:
- " Dans l'histoire de la littérature, écrit Simon Leys, je ne vois guère que Tchekhov chez qui la qualité de l'homme semble avoir correspondu à la qualité de l'artiste. " Vivre de mes rêves en est l'illustration. C'est le roman vrai de la vie d'un génie humble, soucieux du sort des autres, d'une rare générosité, et dont, par-delà le temps, on aimerait conquérir l'amitié bienveillante, moqueuse, tendre et fidèle...
Cette vaste correspondance permet d'accompagner au fil de son existence cet écrivain soucieux de son art qui était aussi un homme dévoué à sa famille et à ses amis et un médecin animé par une conception humaniste de son métier et une inquiétude profonde devant l'absurdité de la condition humaine. Tchekhov y raconte sa passion du théâtre, son voyage comme reporter sur l'île-bagne de Sakhaline, ses démêlés avec ses éditeurs... Il nous permet aussi de partager les secrets d'un style unique, exquis et délicat.
Ce choix de lettres – dont certaines, longtemps censurées pour cause d'" indécence ", sont traduites ici pour la première fois dans leur intégralité – se lit comme une véritable autobiographie, permettant d'approcher leur auteur au plus près de sa vérité d'homme et d'écrivain. C'est un Anton Tchekhov intime qui s'offre à nous, jusque dans les dernières années de sa vie, au moment où, alors que la maladie va l'emporter inexorablement, il découvre l'amour et le bonheur. Un chef-d'oeuvre d'humour et d'émotion. | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| | | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: L' Oubli Mar 25 Oct 2016 - 19:03 | |
| L'Oubli : David Foster Wallace. - L' Olivier Traduit de l'anglais (États-Unis) par Charles Recoursé. « Je gaspillais beaucoup de temps et d’énergie à créer une certaine image de moi-même et à recueillir une approbation ou une acceptation qui ne me faisaient rien, parce qu’elles n’avaient rien à voir avec celui que j’étais vraiment. J’étais un imposteur et ça me dégoûtait, mais je crois que je n’arrivais pas à m’en empêcher. » Ces mots sont ceux de Neal, son long monologue d’homme en proie au doute, à l’imposture et à l’errance constitue l’une des nouvelles de L’Oubli. Comme Neal, les autres personnages de ce recueil souffrent de l’impossibilité de faire coexister leur propre espace mental avec le reste du monde. Et trouvent leur refuge dans l’effacement et l’oubli : dans l’art le plus absurde, la folie, la chirurgie esthétique, une lettre désespérée, ou même le suicide. L’univers de David Foster Wallace se retrouve condensé dans ces huit nouvelles qui sont autant de petits romans où se conjuguent humour noir et empathie." L' Olivier | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: La Cheffe, roman d' une cuisinière Mar 25 Oct 2016 - 19:07 | |
| Marie NDiaye La Cheffe, roman d'une cuisinière Collection Blanche, Gallimard «Elle trouvait excessives les louanges dont on s’est mis à couvrir sa cuisine. Elle comprenait les sensations puisqu’elle s’appliquait à les faire naître, n’est-ce pas, et que leur manifestation sur la figure des convives l’enchantait, c’est tout de même bien ce à quoi elle s'évertuait jour après jour, depuis tant d’années, presque sans repos. Mais les mots pour décrire tout cela lui paraissaient indécents.» Le narrateur raconte la vie et la carrière de la Cheffe, une cuisinière qui a connu une période de gloire, dont il a longtemps été l’assistant – et l’amoureux sans retour. Au centre du récit, la cuisine est vécue comme une aventure spirituelle. Non que le plaisir et le corps en soient absents, au contraire : ils sont les instruments d’un voyage vers un au-delà – la Cheffe allant toujours plus loin dans sa quête d’épure. Les phrases de Marie NDiaye se déploient lentement, comme pour envelopper le lecteur avec un charme constricteur. Les replis de l’âme de chaque personnage sont explorés avec une détermination calme dans la volonté de dissoudre la pénombre des êtres. Le récit dévoile une humanité violente, claire, à la fois mélancolique et enviable." Gallimard | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Dessins Dim 30 Oct 2016 - 9:48 | |
| Sylvia Plath : Dessins. Editions La Table Ronde, 88 pages. - L'Editeur a écrit:
- En 1956, Sylvia Plath écrivait à sa mère Aurelia : "J'ai le sentiment d'être en train de développer une sorte de style primitif bien à moi, et que j'aime beaucoup. Attends de voir". Tout au long de sa vie, Sylvia Plath a parlé de l'art comme de sa source d'inspiration la plus profonde ; et pourtant, tandis que ses écrits connaissent un succès mondial, ses dessins restent méconnus.
Cette édition rassemble des dessins datés de 1955 à 1957, période durant laquelle elle étudiait à l'Université de Newnham, à Cambridge, boursière du prestigieux programme Fulbright. C'est à cette époque qu'elle rencontre, et épouse en secret, le poète Ted Hughes ; ils partiront en lune de miel à Paris et en Espagne avant de retourner aux États-Unis en juin 1957.
Les dessins à l'encre de Sylvia Plath témoignent de délicieux moments d'observation à cette période de sa vie, et comptent parmi leurs sujets des toits parisiens, des arbres, des églises, et un portrait de Ted Hughes. Avec une introduction éclairante de sa fille Frieda Hughes, le livre met en lumière ces années clés de l'existence de Sylvia Plath, et inclut des lettres ainsi qu'un passage de son journal où il est question de son art. Quelques dessins de Sylvia Plath : Boat of Rock Harbour, Cap Cod Bouteille de Chianti Et un petit chat français curieux pour finir : | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Dans la tete d' Andrew Mer 2 Nov 2016 - 16:26 | |
| "Dans ce qu’on imagine être le cabinet d’un psychanalyste, un homme évoque l’un de ses amis, un chercheur en sciences cognitives répondant au prénom d’Andrew, qui n’est autre que… lui-même. Victime d’un délitement mental peut-être lié aux recherches requises par sa discipline, Andrew s’est convaincu que le cerveau n’était qu’une machine à mentir et à feindre qui fait de lui un prisonnier à vie. Imperméable à la culpabilité, au chagrin comme au bonheur, il est persuadé que chacun de ses actes nuit aux êtres qu’il aime, qu’un désastre va se produire quoi qu’il fasse, alors que lui-même sort indemne de toutes les épreuves de la vie. Tandis que l’étrange narrateur se confesse, le lecteur s’interroge : ledit Andrew a-t-il bien, lorsqu’il était enfant, provoqué un accident de voiture ? A-t-il, de fait, empoisonné par mégarde son propre bébé ? Une femme a-t-elle vraiment disparu à cause de lui un certain 9 septembre ? A-t-il pour de bon bu des cocktails avec des nains ? Et est-il exact que le président ait été son camarade de chambre pendant ses études à Yale ? Véritable tempête sous un crâne, ce texte survolté, pétri de malice virtuose et de clins d’oeil littéraires et cinématographiques convoquant aussi bien Mark Twain et Lewis Carroll que Le Magicien d’Oz ou L’Ange bleu, ouvre des mondes vertigineux. C’est le roman d’une Amérique pieds et poings liés à l’inconscient collectif et à son imaginaire artistique, le point d’orgue d’une oeuvre magistrale en forme d’invitation réitérée à voyager sans entraves au pays des expériences-limites." Acte Sud | |
| | | églantine Zen littéraire
Messages : 6498 Inscription le : 15/01/2013 Age : 59 Localisation : Peu importe
| Sujet: Re: repérages nouveautés 2016 Mer 2 Nov 2016 - 16:29 | |
| Oui j'ai vu ça dans Télérama de cette semaine et je suis intriguée .... | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Ensemble séparés Mer 2 Nov 2016 - 16:30 | |
| Dermot Bolger : Ensemble séparés [Tanglewood]. - J. Losfeld Trad. de l'anglais (Irlande) par Marie-Hélène Dumas Collection Littérature étrangère/Joëlle Losfeld, Gallimard "Par amour pour sa femme Alice, soucieuse de changer de vie, Chris est prêt à tout, même à s’associer à son voisin Ronan, tantôt ami, tantôt rival, dans un projet immobilier dont il est loin de connaître toutes les subtilités. Mais les deux hommes ne s’attendaient pas à unir à ce point leurs destins en se lançant dans la construction d’une maison. Le drame survient lorsqu’ils découvrent dans le jardin de Chris le cadavre de Pavle, l’un des migrants qu’ils employaient illégalement. Ronan convainc Chris de jeter le corps dans un ravin. Ce geste macabre va ainsi cristalliser et exacerber les passions des protagonistes : pourquoi un tel acte s’ils n’ont rien à se reprocher? Qui était réellement cet ouvrier dont on ne sait absolument rien ?" J. Losfeld | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Ce qui reste de la nuit Jeu 3 Nov 2016 - 19:14 | |
| Ce qui reste de la nuit : Ersi Sotiropoulos. - Stock/La Cosmopolite "Paris – juin 1897. Trois jours dans la vie du jeune Constantin Cavafy. En son for intérieur, il mûrit une oeuvre poétique mais les entraves personnelles sont nombreuses : sa poésie est encore incertaine, le carcan de la rime le corsète, son homosexualité le tourmente, et la tyrannique affection que lui témoigne sa mère l’empêche de se réaliser. Sans compter la faillite familiale qui l’humilie depuis son enfance. Ces trois jours à Paris seront la pierre de touche, le catalyseur décisif pour la vie et l’oeuvre du grand poète alexandrin." Stock | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Les douze indices de Noël Jeu 3 Nov 2016 - 21:38 | |
| P.D. James : Les douze indices de Noël - Citation :
- Une romancière à succès revient sur un crime commis dans la demeure de sa grand-mère pendant la guerre, un soir de réveillon. Un employé de bureau qui s'est introduit de nuit dans le bureau de son patron pour feuilleter ses revues pornographiques devient le témoin d'une aventure amoureuse illicite, et bientôt d'un meurtre qui le place face à un dilemme atroce.
Le fringant inspecteur Adam Dalgliesh enquête sur la mort d'un patriarche qui s'est suicidé dans des circonstances suspectes, puis sur celle d'un très vieux monsieur très riche qui aurait été empoisonné par sa très jeune femme soixante-sept ans plus tôt...
Dans la lignée de ses illustres prédécesseurs Edgar Allan Poe, Arthur Conan Doyle, Agatha Christie ou G. K. Chesterton , Phyllis Dorothy James s'est adonnée avec brio à l'écriture de nouvelles piquantes et raffinées. Les plus savoureuses d'entre elles sont rassemblées dans ce recueil posthume où l'on retrouve avec bonheur la plume acérée de la grande dame de la littérature policière. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| | | | ArenSor Main aguerrie
Messages : 516 Inscription le : 16/11/2014
| Sujet: Re: repérages nouveautés 2016 Ven 4 Nov 2016 - 18:39 | |
| Bon, c'est à long terme : parution en février dans la Pléiade des romans + Le Vent Paraclet de Tournier. Je pense que l'année 2017 verra pas mal de littérature française dans cette collection : il était fortement question de 2 volumes consacrés à Perec et un autre (l'an prochain ?) aux oeuvres de Germaine de Staël. | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Watershipdown Ven 4 Nov 2016 - 18:39 | |
| Watershipdown : Richard Adams. - Monsieur Toussaint Louverture "C’est dans les fourrés de collines verdoyantes et idylliques que se terrent parfois les plus terrifiantes menaces. C’est là aussi que va se dérouler cette vibrante odyssée de courage, de loyauté et de survie. Menés par le valeureux Hazel et le surprenant Fyveer, une poignée de braves choisit de fuir l’inéluctable destruction de leur foyer. Prémonitions, malices et légendes vont guider ces héros face aux mille ennemis qui les guettent, et leur permettront peut-être de franchir les épreuves qui les séparent de leur terre promise, Watership Down. Mais l’aventure s’arrêtera-t-elle vraiment là ? Aimé et partagé par des millions de lecteurs à travers le monde, l’envoûtant roman de Richard Adams fait partie de ces récits mythiques et hors du temps, une épopée sombre et violente, néanmoins parcourue d’espoir et de poésie. Vous sentirez le sang versé. Vous tremblerez face aux dangers. Vous craindrez la mort. Et, par dessus tout, vous ressentirez l’irrépressible désir de savoir ce qui va se passer." Monsieur Toussaint Louverture | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Le Garçon qui n' existait pas Mar 8 Nov 2016 - 18:51 | |
| Le garçon qui n'existait pas : SJON. - Rivages Traduit de l'islandais par Eric BOU "Sjon réinvente l'histoire de sa famille à travers la figure de Manasteinn, Pierre de lune. Garçon différent, il fuit une réalité âpre dans les salles obscures. À travers cette évocation poétique, c'est Reykjavik que le roman recrée : une ville ravagée par les épidémies qui semblent annoncer la fin du monde. Traduit dans plus d'une quinzaine de pays, Sjon est un personnage important en Islande et en Amérique, couronné de prix littéraires." Rivages | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: M pour Mabel Mar 8 Nov 2016 - 18:55 | |
| M pour Mabel : Helen MACDONALD. - Ed Fleuve "Enfant, Helen rêvait d’être fauconnier. Elle nourrit des années durant son rêve par la lecture. Devenue adulte, elle va avoir l’occasion de le réaliser. De manière brutale et inattendue, son père, journaliste qui a marqué profondément sa vision du monde, s’effondre un matin dans la rue. Terrassée par le chagrin, passant par toutes les phases du deuil, le déni, la colère, la tristesse, Helen va entreprendre un long voyage physique et métaphysique. Elle va se procurer un rapace de huit semaines, le plus sauvage de son espèce, Mabel. Réputé impossible à apprivoiser. Elle va s’isoler du monde, de la ville, des hommes. Et emprunter un chemin étonnant. « Des clairières. Voilà ce qu’il me fallait. Peu à peu, mon cerveau retrouvait ses points de repère et reprenait possession d’espaces inutilisés depuis des mois. Je passais ma vie depuis si longtemps dans des bibliothèques et des salles des professeurs, à fixer des écrans d’ordinateurs, à corriger des essais et à traquer des références universitaires. Ceci était une tout autre chasse. Ici, j’étais un tout autre animal. » Ed. Fleuve | |
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