Revue de blogs

swallow a écrit:

"Le « Bateau-Livre » est mort, vive le « Bateau Libre » !

"Ce ne sera qu’un esquif mais j’en serai le seul amiral. Une sorte de navigateur solitaire, de Capitaine Haddock enivré par l’encre noire et les écueils (de l’informatique). " Frédéric FERNEY.


http://fredericferney.typepad.fr/

Ferney revient enfin parmi nous, et continue son combat contre la haine de la littérature de certains media.

J'ai eu le lien hier au hasard de mes balades dans la blogosphère....une excellente nouvelle que celle-ci!

Coline:

Citation :

Le lien est ici et aussi sur le Café Littéraire

Chacun ses fils!!!
Et puis, je dois te dire qu´aimant les chemins cachés et tortueux, j´avais d´abord pensé mettre la bonne nouvelle du nouveau Blog sur " la Princesse de Clèves" ( j´aurais indiqué le pourquoi ainsi que l´hommage de F. Ferney à Madame de La Fayette, mais ce fil n´existe pas encore sur notre Forum).

"Je dédie le premier numéro de ce blog à Madame de La Fayette, l’auteur du premier roman d’amour et d’analyse français, « La Princesse de Clèves », qui fait si peur à notre Président. Que cela puisse aujourd’hui paraître une provocation ou un acte de résistance en dit long sur nos renoncements"
Il faudra que je parle un jour de cette Princesse, mais elle me touche de si près, que je ne sais pas trop par où commencer...

swallow a écrit:

Coline:

Citation :

Le lien est ici et aussi sur le Café Littéraire

Chacun ses fils!!!

Et que tous les chemins mènent à la Littérature...
C'est une bonne nouvelle ces retrouvailles avec Frédéric Ferney...

swallow a écrit:

j´avais d´abord pensé mettre la bonne nouvelle du nouveau Blog sur " la Princesse de Clèves" ( j´aurais indiqué le pourquoi ainsi que l´hommage de F. Ferney à Madame de La Fayette, mais ce fil n´existe pas encore sur notre Forum).

"Je dédie le premier numéro de ce blog à Madame de La Fayette, l’auteur du premier roman d’amour et d’analyse français, « La Princesse de Clèves », qui fait si peur à notre Président. Que cela puisse aujourd’hui paraître une provocation ou un acte de résistance en dit long sur nos renoncements"
Il faudra que je parle un jour de cette Princesse, mais elle me touche de si près, que je ne sais pas trop par où commencer...

C'est un peu pareil pour moi, j'adore ce livre et j'aurais un mal fou à en parler, peut être que pour un texte aussi littéraire, on se sent obligé de faire autre chose que juste donner ses impressions, présenter le contexte littéraire de l'époque, je sais qu'il y a eu un débat sur l'auteur du livre entre autres, mais quand on est pas un spécialiste de littérature on ne se sens par forcement armé pour ce genre de choses.

Bon, Arabella, je vois que nous sommes déjà deux à èprouver la même gêne... On finira bien par trouver la clef, pour ouvrir le fil!