Jonathan Franzen

Donner son avis sur un livre, c'est un peu comme lancer une bouteille à la mer.
J'ai des doutes que cela vaille vraiment le coup.

J'ai récupéré Freedom hier à la bibliothèque, je compte le lire pendant les vacances.

Igor a écrit:

Donner son avis sur un livre, c'est un peu comme lancer une bouteille à la mer.
J'ai des doutes que cela vaille vraiment le coup.

dommage que tu éprouves ainsi..

kenavo a écrit:

Igor a écrit:

Donner son avis sur un livre, c'est un peu comme lancer une bouteille à la mer.
J'ai des doutes que cela vaille vraiment le coup.

dommage que tu éprouves ainsi..

Oui.
C'est peut être passager...

Igor a écrit:

Oui.
C'est peut être passager...

j'espère.. parce qu'on sait bien que tout commentaire prend du temps de celui qui le rédige et il veut naturellement faire de son mieux pour trouver d'autres lecteurs à le lire, à en discuter.. mais il y a entre temps autant de fils, autant d'auteurs, autant de livres à lire.. et si peu de temps
mais le partage devrait être la raison première pour faire un commentaire, pas l'espoir de réaction.. et qui sait, il y a toujours des internautes qui nous lisent sans être membre, faudra te dire que tu as donné envie de lire ce livre à plus d'un

Donner son avis c'est pour soi autant que pour les autres, ca permet d'éclaircir son jugement et si personne ne réagit bah tant pis pour personne ^^.
Moi j'avoue que je déteste les corrections mais je sais que la qualité de ce livre est bonne c'est juge que je ne supporte pas le style aussi n'ai je pas un avis trés constructif mais c'est pas grave l'avis des autres m'intéresse davantage du coup.

kenavo a écrit:

Igor a écrit:

Oui.
C'est peut être passager...

j'espère.. parce qu'on sait bien que tout commentaire prend du temps de celui qui le rédige et il veut naturellement faire de son mieux pour trouver d'autres lecteurs à le lire, à en discuter.. mais il y a entre temps autant de fils, autant d'auteurs, autant de livres à lire.. et si peu de temps
mais le partage devrait être la raison première pour faire un commentaire, pas l'espoir de réaction.. et qui sait, il y a toujours des internautes qui nous lisent sans être membre, faudra te dire que tu as donné envie de lire ce livre à plus d'un

Tout à fait d'accord, parfois on ne dit rien mais on note et un jour on lit le livre grâce à ce commentaire

Igor a écrit:

Donner son avis sur un livre, c'est un peu comme lancer une bouteille à la mer.
J'ai des doutes que cela vaille vraiment le coup.

Pourquoi ça Igor? Le fait de ne pas avoir de réponses à la suite ne veut pas dire qu'on ne lit pas. Enfin c'est un vaste débat qui revient maintes fois. J'ai bien noté tes réserves qui sont en fait ce que j'ai trouvé de mieux dans le roman, le fait de décortiquer au maximum tous les états d'âmes des personnages. Tu as été plus sensible au thème de l'écologie, et c'est paradoxalement ce qui m'a le moins touchée. Question de sensibilité, rien à redire, chacun ses préférences et son approche!

Kierkegaard a écrit:

Donner son avis c'est pour soi autant que pour les autres, ca permet d'éclaircir son jugement et si personne ne réagit bah tant pis pour personne ^^.
Moi j'avoue que je déteste les corrections mais je sais que la qualité de ce livre est bonne c'est juge que je ne supporte pas le style aussi n'ai je pas un avis trés constructif mais c'est pas grave l'avis des autres m'intéresse davantage du coup.

J'aime bien la vision de Kierke. C'est aussi pour soi que l'on fait ses commentaires. Personnellement ça m'aide à mettre à plat mes perceptions, démêler ce que j'en ai retiré. Si on me répond tant mieux bien sûr, mais ce n'est pas non plus le principal, je suis consciente qu'il est impossible de répondre à tous (Qui le fait d'ailleurs?)
Comme toi, Kierke, même si je ne suis pas dans la même perception d'un bouquin, je vais lire avec intérêt les avis divergents. Cela ouvre l'esprit déjà, le travail sur la tolérance est un combat de tous les jours

Ceci dit les corrections m'ont tellement révulsé que je ne lirai je pense jamais Freedom... malgré les critiques élogieuses de ce fil...

Vous avez raison, je ne vais pas m'apitoyer sur mon sort, mais le manque de communication m'étouffe un peu et comme signalé plus haut: c'est passager.
Le fil s'est remis à vivre, les avis divergent et se partagent. Le forum s'anime.
Question surpopulation, pour moi le thème le plus important dans ce roman d'amour, Franzen expose la réelle difficulté à l'aborder.
Et c'est vrai, comment refuser l’existence d'un autre alors que nous en bénéficions. Mais ça nous mène où ?