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| Pierre Loti | |
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Auteur | Message |
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Marie Zen littéraire
Messages : 9564 Inscription le : 26/02/2007 Localisation : Moorea
| Sujet: Re: Pierre Loti Mar 20 Nov 2007 - 19:50 | |
| - Citation :
- Regardez un peu l'image qu'on les gens de régions comme l'Alsace ou la Bretagne
...heu...je ne crois pas que le non breton qui arrive en Bretagne actuellement s'attende à trouver la jeune bretonne avec coiffe, etc. Alors qu'ici, d'emblée, la polynésienne se doit de correspondre au mythe, fleurs, tamure, etc. Il y a d'ailleurs eu des choses très drôles à ce sujet! Il y a une dizaine d'années , il a été fait des remontrances publiques par voie de presse aux tahitiennes sur l'accueil au fenua qui n'était plus ce qui devait être...Heureusement, Mme Chirac a remis de l'ordre dans tout ça en exigeant des tenues moins dénudées lors de leur dernier voyage... Bon, j'arrête de prendre la défense de mes amies tahitiennes, mais elles sont souvent très agacées par justement les clichés qu'elles vehiculent.. | |
| | | Chatperlipopette Zen littéraire
Messages : 7679 Inscription le : 24/02/2007 Age : 59 Localisation : Bretagne
| Sujet: Re: Pierre Loti Mar 20 Nov 2007 - 20:04 | |
| Et je les comprends | |
| | | Alfred Teckel Envolée postale
Messages : 259 Inscription le : 16/11/2007 Localisation : Lorrain en exil à Paris
| Sujet: Re: Pierre Loti Mar 20 Nov 2007 - 21:23 | |
| Je les comprends aussi, quand j'entends les clichés (bien moins flatteurs) sur la Lorraine | |
| | | bulle Zen littéraire
Messages : 7175 Inscription le : 02/07/2007 Age : 67 Localisation : Quelque part!
| Sujet: Re: Pierre Loti Ven 19 Déc 2008 - 2:25 | |
| - Alfred Teckel a écrit:
- Pêcheur d'Islande, aux éditions Hachette... Chef-d'oeuvre! Loin des clichés, "Pêcheur d’Islande" est le roman de la mer, de ces pêcheurs qui usaient leur vie loin de leur foyer, sur des mers glacées, à tenter de pêcher la fortune qui améliorerait leur quotidien des mois d’hiver. Mais, encore plus que le roman de ces marins, c’est bel et bien le roman des femmes, sœurs et mères de marins, qui attendent le retour de leurs hommes, et qui parfois, savent que le retour n’aura plus lieu, et prient alors pour eux, depuis les chapelles surplombant la mer, cette terrible maîtresse qui a dévoré tant de leurs hommes vigoureux. Le roman d’une attente et d’une angoisse insondable.
Pêcheur d'Islande J'ai craquée pour la page couverture. J'ai lu vos commentaires et je crois que j'ai fait un très bon achat. | |
| | | sonitaline Posteur en quête
Messages : 77 Inscription le : 23/10/2008 Age : 38
| Sujet: Re: Pierre Loti Sam 20 Déc 2008 - 15:04 | |
| j'ai lu ce roman quand j'étais au lycée ce dont je me rappele est que l'auteur y peint la vie des pecheurs bretons qui parcouraient tous les ans la mer froide et perilleuse d'Islande pour pêcher la morue existence misérable qui prend fin en mer pour la plupart d'entre eux On y trouve également l'histoire d'un amour impossible entre Gaud, fille d'un gros commerçant de Paimpol, et Yann, le pêcheur du Nord mais qui à ma grande déception finit de manière tragique (j'étais encore ado ) récit interessant pour les amateurs de romans marins | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Pierre Loti Jeu 16 Juil 2009 - 12:34 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Pierre Loti Ven 24 Juil 2009 - 16:43 | |
| Pr moi Lotti c'est bien sûr pécheur d'Islande comme vous en avez si bien parlé mais aussi et surtout Ramuntcho. Lu petite dans la collection Bibliothèque verte, ce livre m'a tout de même laissé des souvenirs mais pas assez précis pr que je me lance dans de longues explications.
Je vous mets ici un résumé:
Ramuntcho dort. Tout à l'heure, il partira pour une de ces expéditions clandestines dé l'autre côté de la frontière espagnole qui sont le métier secret de tant d'hommes au pays basque. Dans la salle basse, sa mère Franchita songe. II s'est déjà fait une solide réputation de joueur de pelote et le voilà maintenant qui tâte de la contrebande. Il suit les traditions de sa race, alors pourquoi s'inquiéter de l'avenir ? De plus il s'entend bien avec Gracieuse, fille de Dolorès Detcharry qui fut l'amie d'enfance de Franchita jusqu'à la fugue de celle-ci avec l'étranger, le père de Ramuntcho. Le mariage des enfants serait une belle revanche sur cette Dolorès orgueilleuse et bigote.
Oui, Gracieuse aime Ramuntcho et lui promet de l'épouser quand il reviendra du service militaire. Seulement la séparation dure trois ans, pendant lesquels Dolorés se déchaîne : plutôt que de la donner au fils de Franchita, elle préfère l'enfermer au couvent. D'un couvent ne peut-on sortir? C'est Arrochlcoa, le propre frère de Gracieuse, qui en suggère l'idée. Projet sacrilège mais bien tentant pour un amoureux. C'est sur un enlèvement manqué que s'achève ce roman célèbre où Pierre Loti dépeint avec talent l'âme et le pays basques.
Petite c'est surtout la relation entre Ramuntcho et Franchita qui m'avait intéressé, même si le décors ne m'avait pas laissé insensible. Je me souviens surtout d'une fin triste à en pleurer et de ce couvent, terrible couvent... Et aussi de l'âme triste de ce pays et de ses habitants...
Un extrait peut-être?
(...)Ensuite, il y avait des intervalles de solitude, où l'on n'entendait plus, dans ces chemins, que le bourdonnement des mouches, à l'ombre jaunie et finissante des arbres. Ramuntcho les regardait, ces rares passants qui croisaient sa route, s'étonnant de ne pas encore rencontrer quelqu'un de connu qui s'arrêterait à lui. Mais, point de visages familiers, non. Et point d'effusion avec des amis retrouvés ; rien que de vagues bonjours, échangés avec des gens qui se retournaient un peu, croyant l'avoir vu jadis, mais ne se rappelaient plus bien et, tout de suite, se replongeaient dans l'humble rêve des champs... Et il sentait plus accentuées que jamais les différences premières entre lui et ces gens de labour.
Là-bas cependant, en voici venir, un de ces chariots, dont la gerbe est si grande que les branches des chênes l'accrochent au passage. Devant, chemine le conducteur, au regard de résignation douce, large garçon paisible, roux comme les fougères, roux comme l'automne, avec une fourrure rousse embroussaillée sur sa poitrine nue ; il marche d'une allure souple et nonchalante, les bras étendus en croix le long de son aiguillon à boeufs, qu'il a posé en travers sur ses épaules. Ainsi, sans doute, au flanc de ces mêmes montagnes, marchaient ses ancêtres, laboureurs et bouviers comme lui depuis des siècles sans nombre. Et celui-là, à l'aspect de Ramuntcho, touche ses boeufs au front, les arrête d'un geste et d'un petit cri de commandement, puis vient au voyageur en lui tendant ses braves mains... Florentino ! un Florentino très changé, ayant plus de carrure encore, tout à fait homme à présent, avec je ne sais quoi de définitivement assuré et épanoui. Ils s'embrassent, les deux amis. Ensuite, ils se dévisagent en silence, gênés tout à coup par le flot des souvenirs qui remontent du fond de leur âme et qu'ils ne savent ni l'un ni l'autre exprimer. (...) |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Pierre Loti Ven 24 Juil 2009 - 16:57 | |
| Je vais être amenée à retrouver la langue de Pierre Loti...Il paraît qu'il n'est plus au programme dans les lycées et collèges?... J'ai choisi le Roman d’un enfant, récit autobiographique publié en 1890, et Aziyadé, le roman (chef d’œuvre dit-on) qui a révélé l’écrivain au public en 1879... A suivre... | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Pierre Loti Lun 17 Aoû 2009 - 17:32 | |
| Le roman d’un enfant.
Pierre Loti a 40 ans lorsqu’est publié, en 1890, Le roman d’un enfant. Il a passé des années à parcourir les mers, et la reine Elisabeth de Roumanie le pousse à se pencher sur son enfance. C’est donc à elle que Pierre Loti va dédier, « de son respect charmé » cet ouvrage.
"Il se fait presque tard dans ma vie, pour que j'entreprenne ce livre; autour de moi, déjà tombe une sorte de nuit; où trouverai-je à présent des mots assez frais, des mots assez jeunes?" Ces souvenirs seront ceux que porte un adulte sur l’enfance qui a été la sienne, dans un souci de grande sincérité mais avec le recul de l’âge…
On y découvre un enfant choyé, notamment par sa mère, sa grande sœur (de 19 ans son aînée) , ses tantes et sa chère amie Lucette D. Il aime les promenades avec son père et admire le grand frère (douze ans de plus que lui) qui très tôt s’engage dans la marine et part à Tahiti. Le jour de son départ, la mère au cœur rempli de tristesse dit à Pierre : « Toi au moins, nous te garderons ». Or, l’enfant, bien qu’attaché à sa grande maison au jardin fleuri et à sa famille, rêve déjà de voyages. Il rêve de lointains baignés de soleil, mais toujours mesure son attachement à cette maison et à toutes celles qui servent de cadre à ses souvenirs, ses rêves et ses jeux d’enfance. La maison sur l’île d’Oléron. La maison de leurs amis D., La Limoise, au bord de la rivière, hors de la ville (jamais nommée). La maison médiévale des cousins dans le Lot, à Bretenoux, le village dominé par son château de Castelnau en ruines, le domaine de Borie…
« J’ai la nostalgie d’ici et d’ailleurs. Je voudrais être là-bas et ici. »
Sensible et imaginatif, Pierre est surprotégé. «J'attribue aux calfeutrages, aux précautions excessives dont on m'entourait jadis, le besoin qui me prit, plus tard, quand vint la période des réactions extrêmes, de noircir ma poitrine au soleil et de l'exposer à tous les vents du ciel... »
Parce qu’on craint toutes sortes de dangers pour lui, il n’ira à l’école qu’après l’âge de dix ans. Il n’aime d’ailleurs pas les livres, il n’aime pas du tout étudier. "Je ne lisais jamais et dédaignait beaucoup les livres."
C’est un enfant solitaire, rêveur et minutieux qui passe son temps à observer et collectionner les objets, les coquillages, les papillons… Il est en proie souvent à une profonde tristesse, à la mélancolie, à l’angoisse.
C’est avec la poésie de l’enfance et une écriture sensible et délicate que l’écrivain conte ses premières années, au sein d’un univers tranquille et tendre. Tellement qu’il craint parfois d'être ennuyeux. Mais comme il est loin de l’être ! L’on succombe au charme de ce « roman ».
Le roman s'arrête lorsqu'il a 14 ans et demie. Il vient de prendre la décision d'entrer à l'Ecole Navale. D’emblée, il avait choisi que le roman s’arrêterait « de bonne heure, afin que l’amour n’y apparaisse qu’à l’état de rêve imprécis. ».
« Du reste mon sentiment sur la beauté s’est bien modifié depuis cette époque, et on m’eût beaucoup étonné alors en m’apprenant quelles sortes de visages j’arriverais à trouver charmants dans la suite imprévue de ma vie. Mais tous les enfants ont sous ce rapport le même idéal, qui change ensuite dès qu’ils se font hommes. A eux, qui admirent en toute pureté naïve, il faut des traits doucement réguliers et des teints fraîchement roses : plus tard, leur manière d’apprécier varie, suivant leur culture d’esprit et surtout au gré de leurs sens. »
Suivra Prime jeunesse, parue en 1919. | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Pierre Loti Mer 19 Aoû 2009 - 22:06 | |
| AZIYADE ( 1879) En 1877, Julien Viaud (nom de plume anonyme Pierre Loti), jeune officier de la marine française en séjour à Salonique est tombé amoureux des yeux verts d’une belle esclave circassienne entrevue derrière les grilles d’un harem. S’ensuit une folle histoire d’amour, sensuelle, passionnée, audacieuse et malheureusement tragique, qui se poursuivra à Stamboul (quartier de Constantinople) où les jeunes amants prendront tous les risques pour se retrouver chaque jour. Dix mois d’ivresse sous les charmes de l’Orient… « Aziyadé est âgée de dix-huit ou dix-neuf ans, elle est capable de prendre des résolutions extrêmes et de les suivre coûte que coûte, jusqu’à la mort… »Pierre Loti écrit son journal, comme il a toujours eu coutume de le faire. C’est à partir de ce journal que s’écrira Aziyadé. Avant de le publier pour ses qualités littéraires incontestables, la maison d’édition Calmann-Lévy suggère d’y couper des passages trop sulfureux (pour l’époque). La lettre envoyée à Loti : « Nous n’avons jamais compté sur un grand succès de vente. Aziyadé sera, nous le croyons, très apprécié des artistes, des littérateurs et de tous ceux qui ont le goût assez épuré ; mais, comme vous le savez, ce public-là est assez restreint. Votre volume, en raison de ses qualités, ne saurait convenir au commun des lecteurs. Dans l’intérêt de votre réputation, mieux vaut qu’il en soit ainsi. » Extraits : « Je me croyais si parfaitement seul, que j’éprouvai une étrange impression en apercevant près de moi, derrière d’épais barreaux de fer, le haut d’une tête humaine, deux grands yeux verts fixés sur les miens.
Les sourcils étaient bruns, légèrement froncés, rapprochés jusqu’à se rejoindre ; l’expression de ce regard était un mélange d’énergie et de naïveté ; on eût dit un regard d’enfant, tant il avait de fraîcheur et de jeunesse.
La jeune femme qui avait ces yeux se leva, et montra jusqu’à la ceinture sa taille enveloppée d’un camail à la turque (féredjé) aux plis longs et rigides. Le camail était de soie verte, orné de broderies d’argent. Un voile blanc enveloppait soigneusement la tête, n’en laissant paraître que le front et les grands yeux. Les prunelles étaient bien vertes, de cette teinte vert de mer d’autrefois chantée par les poètes d’Orient.
Cette jeune femme était Aziyadé."« - Avant mon arrivée en Turquie, que faisais-tu, Aziyadé ? - Dans ce temps-là, Loti, j'étais presque une petite fille. Quand pour la première fois je t'ai vu, il n'y avait pas dix lunes que j'étais dans le harem d'Abeddin, et je ne m'ennuyais pas encore. Je me tenais dans mon appartement, assise sur mon divan, à fumer des cigarettes, ou du hachisch, à jouer aux cartes avec ma servante Emineh, ou à écouter des histoires très drôles du pays des hommes noirs, que Kadidja sait raconter parfaitement. »Certains critiques (comme Roland Barthes) évoquant l'homosexualité de Pierre Loti, ont dit que le personnage d'Aziyadé était en réalité un jeune homme. Le récit se déroule sur une toile de fond historique sur laquelle je suis passée un peu vite car il m’aurait fallu faire des recherches. L’Empire Turc vit ses dernières heures. Et je ne pas très férue d'Histoire... Une histoire romantique, agréable à lire. A la fois tendre et cruelle. Teintée de la mélancolie profonde et des tourments de son auteur qui semble s’étourdir dans les plaisirs en Orient. C'est intéressant de voir de quelle manière se sont concrétisés les rêves du petit garçon du Roman d'un enfant. | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Pierre Loti Dim 11 Oct 2009 - 12:46 | |
| Pierre Loti était aussi un dessinateur talentueux.J'avais placé sur ce fil quelques échantillons de son travail . Une très importante exposition de ses dessins a lieu depuis vendredi au Musée archéologique départemental à Moulins (03). Je ne résiste pas à vous indiquer ce lien où vous pouvez en voir quelques uns encore (diaporama et article). CLICCLICCette exposition est magnifique et a donné lieu à l'édition d'un ouvrage de très belle qualité publié par les Editions Bleu Autour. Pierre Loti, dessinateur. Une oeuvre au long cours. Pour ma part, j'ai la joie de faire d'ici la fin de l'année, trois lectures publiques de textes de l'écrivain aujourd'hui un peu oublié. J'ai choisi pour l'instant Le roman d'un enfant et Azyadé...J'ai l'embarras du choix pour la troisième... Déjà édité chez Bleu Autour: Suprêmes visions d'Orient | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Pierre Loti Dim 11 Oct 2009 - 13:04 | |
| J'avais manqué tes posts sur ces romans. J'ai lu Aziyadé il y a un moment et j'avais apprécié cet orientalisme un peu surrané mais séduisant. | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Pierre Loti Dim 11 Oct 2009 - 13:08 | |
| - Marko a écrit:
- J'avais manqué tes posts sur ces romans. J'ai lu Aziyadé il y a un moment et j'avais apprécié cet orientalisme un peu surrané mais séduisant.
As-tu vu ses dessins?... | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Pierre Loti Dim 11 Oct 2009 - 15:39 | |
| - coline a écrit:
- Cette exposition est magnifique et a donné lieu à l'édition d'un ouvrage de très belle qualité publié par les Editions Bleu Autour.
j'avais pensé à toi quand j'ai présenté ce livre ici | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
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| Sujet: Re: Pierre Loti | |
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| | | | Pierre Loti | |
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