je ne peux m'empêcher de trouver que les tournures sur le fil de l'élégance toc comme :
"Ce matin-là c'était le beau temps, celui de la jointure exaltée de deux jours et de nos deux corps. Oui, c'était l'aube absolue, entre un 26 juillet qui s'évaporait au-dessus du lac et la nuit immanente de la révolution."
ou "eaux névrosées du fleuve" qui accompagnent la (ramuzienne) "image renversée des Alpes", ça allège (en dehors des passages plus lourds de l'enfermement, de mémoire) beaucoup le récit, et ça lui confère son rythme (choisi !) et son atmosphère particulière.
dans le très écrit mais avec une recherche, fausse ? de l'effet presque manqué. (c'est un fichu bon souvenir cette lecture, héhé !).