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| Margaret Atwood | |
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Auteur | Message |
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Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Margaret Atwood Dim 2 Juin 2013 - 23:02 | |
| - Arabella a écrit:
- Elle y est pour la cinquième fois au portail, quand même.
Faut parfois taper fort. | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Margaret Atwood Dim 2 Juin 2013 - 23:04 | |
| C'est le moins que l'on puisse dire. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Margaret Atwood Lun 3 Juin 2013 - 6:27 | |
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| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Margaret Atwood Dim 7 Juil 2013 - 19:55 | |
| La Servante écarlate (1985) La Servante écarlate est à considérer comme un récit douteux, pas moins pourtant que les notes historiques qu’il a inspirées au Professeur James Darcy Piexoto dans le cadre du Douzième Colloque d’Etudes Giléadiennes en juin 2195. Pourquoi douteux ? Alors que la société giléadienne semblait avoir proscrit toute forme d’individualisme –pire : alors qu’elle semblait avoir aboli toute capacité réflexive-, comment un de ses membres, une femme de surcroît, aurait-elle pu écrire le récit de ses jours avec autant de distanciation critique ? Sur cet état de fait d’apparence paradoxal –une société totalitaire ne l’est pas vraiment si elle conserve encore le droit d’expression même le plus intime, ce qui n’était plus le cas par exemple dans 1984 d’Orwell-, le Professeur Piexoto s’interroge, et à travers lui Margaret Atwood prévient d’emblée les controverses que pourrait susciter son conte de la Servante écarlate. Le titre de ce récit désigne une des castes sociales en vigueur dans la société giléadienne. Les Servantes écarlates sont des femmes fertiles, mises au service d’Epouses stériles afin de concevoir des enfants. Régulièrement, les Servantes écarlates se livrent à leur Commandant attitré –le mari des Epouses- et mènent à bien une relation sexuelle à visée exclusivement productive. Les Servantes se résument à leur matrice : aucun sentiment ne doit être suscité en elle ni à travers elles, c’est pourquoi elles vivent recluses, obéissent à des cérémonials stricts et sont privées de toute source d’émancipation sexuelle et individuelle. Parmi ces éléments, on trouve aussi bien des objets d’apparat tels que le maquillage, la garde-robe, les magazines féminins, que des objets à visée intellectuelle tels que les jeux de réflexion, les journaux ou les livres. L’individu doit s’effacer pour la bonne marche de la société giléadienne et surtout pour le renouvellement de sa population. Margaret Atwood décrit cette société en prenant son temps, rebondissant régulièrement du récit à ses préquelles par l’intermédiaire des souvenirs de la Servante écarlate. Ici, contrairement à d’autres récits dystopiques tels que Le meilleur des mondes ou 1984, la prise de pouvoir politique d’une partie de la population par rapport à une autre n’est pas le motif causal de son organisation mais bien plutôt la conséquence nécessaire d’une catastrophe écologique qui pourrait bien se produire demain. Baisse de la natalité, stérilité, malformations génétiques et hausse de la mortalité infantile : tel serait le programme des années à venir, piégés que nous sommes entre nos inhalations prolongées de perturbateurs endocriniens et nos expositions répétées aux irradiations. Dans ce contexte, les Servantes écarlates constituent le dernier espoir de renouvellement de la société. Capturées parmi le sérail des dernières femmes productives de la société pré-giléadienne, elles n’ont pas d’autre choix que de se reproduire au service des Epouses. Le sacrifice semble vain car malgré des fécondations répétées, déshumanisées et désagréables, les grossesses sont rares et lorsqu’elles se produisent, elles aboutissent souvent à une fausse couche, à un mort-né ou à une chimère. « Les chances sont d’une sur quatre, nous l’avons appris au Centre. L’atmosphère est devenue trop saturée, un jour, de produits chimiques, rayons, radiations ; l’eau grouillait de molécules toxiques, tout cela prend des années à se purifier, et entre-temps cela vous rampe dans le corps, assiège vos cellules graisseuses. Qui sait, votre chair elle-même peut être polluée, sale comme une plage huileuse, mort certaine pour les oiseaux du littoral et les bébés pas encore nés. Peut-être un vautour mourrait-il s’il vous mangeait ; peut-être êtes-vous lumineuse dans le noir, comme une horloge démodée. »
Peut-être parce que le sacrifice semble vain, les moyens de faire entorse au strict règlement se développent et laissent apercevoir leurs portes d’accès pour qui ouvre l’œil et désire lui faire faux bond. Mais la méfiance règne toujours et l’individu qui veut se retrouver doit échapper aux membres de la caste de l’ « Œil » ainsi qu’aux autres Gardes, Servantes, Epouses ou Commandants trop orthodoxes. Dans cette atmosphère étouffante, rongée par le spectre de la disparition de l’humanité, les sacrifices propitiatoires font figure d’aberration et traduisent la position paradoxale d’un système qui semble vouloir précipiter sa destruction. Toute ressemblance avec un système existant serait purement fortuite…et c’est peut-être pourquoi nous, lecteurs qui ne connaissons pas encore réellement cette société giléadienne, devons nous réjouir des dernières libertés qui nous échoient encore. Tout le récit de la Servante écarlate traîne à sa suite un diffus parfum de nostalgie qui s’attarde là où nous l’attendions le moins, qu’il s’agisse des magazines féminins et de leurs promesses d’éternité, du Scrabble et de ses fonctions sociales et culturelles improductives, ou encore des pissenlits et de toutes les légendes imaginaires qui leur sont associées. Là où Freud décelait en chaque comportement l’action inconsciente de la libido, Margaret Atwood exacerbe l’instinct sensuel qui motive nos activités, lui donnant une légitimité salvatrice à une époque qui l’aura définitivement banni. Dans le genre du récit dystopique, Margaret Atwood rivalise d’inhumanité avec George Orwell ou Aldous Huxley tout en tenant un discours différent. Ici, ce n’est pas particulièrement par la surveillance ou par l’asservissement politique que ses personnages sont déshumanisés, mais par la privation de leur sensualité. Restent cependant des points communs qui sont l’abolition du concept d’individu, de sa capacité réflexive ainsi que de sa répartition en castes. La Servante écarlate ne nous prive heureusement ni de sensualité ni de plaisir intellectuel. A l’ouverture du récit, cela semblait loin d’être gagné : les propos étaient souvent incompréhensibles car imprégnés du jargon giléadien, mais le texte s’éclaircit au fur et à mesure que la servante se révèle personnellement et se défait des concepts qui lui ont été inculqués, à la recherche d’un épanouissement marginal. Outre la passion révélée pour ce récit, Margaret Atwood fait encore mieux : elle révèle à nos consciences la passion que devrait nous inspirer une société futile, animée par des intérêts sensuels, sexuels et intellectuels –mais reste floue et donc effrayante quant à la limite décente d’intérêt que nous devons leur consacrer pour ne pas que la pulsion de vie ne se transforme en pulsion de mort et ne nous précipite dans une société giléadienne nécessitée par la catastrophe écologique des individualismes exacerbés. Ôde au superficiel... - Citation :
- « Nous aurions hoché la tête pour ponctuer les dires les unes des autres, et montrer que oui, nous connaissons bien tout cela. Nous aurions échangé des remèdes, et tenté de nous surpasser mutuellement dans la litanie de nos misères physiques ; doucement, nous nous serions plaintes, à voix basse, sur un ton mineur et mélancolique comme des pigeons sur les rebords des gouttières. […]
Comme je méprisais ces conversations. Maintenant je soupire après elles. Au moins, nous parlions. Un échange, du moins. » Derrière le langage technique et apparemment dénué d'émotion, les sentiments continuent à se frayer leur chemin (que l'on soit d'accord ou non avec le fond du propos)... - Citation :
- « Parfois je ne peux penser à moi-même, à mon corps, sans voir mon squelette : ce que je suis, vue par un électron. Un berceau de vie, fait d’os ; et à l’intérieur dangers, protéines déformées, cristaux ratés, ébréchés comme du verre. Les femmes prenaient des médicaments, des pilules, les hommes aspergeaient les arbres, les vaches mangeaient l’herbe, toute cette pisse épicée a coulé dans les rivières. Sans parler des explosions d’usines atomiques, le long de la faille de Saint-Andréas, sans défaillance humaine, au moment des tremblements de terre, et la souche mutante de syphilis, qu’aucune moisissure ne pouvait arrêter. Certaines l’ont fait elles-mêmes, se sont fait coudre hermétiquement au catgut, ou ravager avec des produits chimiques. Comment ont-elles pu ? disait Tante Lydia, oh, comment ont-elles pu faire une chose pareille ? Jézabel ! Mépriser les dons de Dieu ! »
Ici aussi, la manipulation par les mots n'est pas anodine : - Citation :
- « Je manque d’étouffer : il a prononcé un mot interdit. Stérile. Un homme stérile, cela n’existe plus, du moins officiellement. Il y a seulement des femmes qui sont fertiles et des femmes improductives, c’est la loi. »
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| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Margaret Atwood Dim 7 Juil 2013 - 20:19 | |
| - Epi a écrit:
Au début, on ne sait pas très bien où on est ni où on va. Defred (quel nom étrange, que l'on comprend un peu plus tard) paraît d'abord assez détachée, assez froide dans son récit. Au fil des pages toutefois, sa voix se fait plus émouvante, elle s'ouvre de plus en plus, elle devient touchante. Le climat dans lequel elle vit, ou tente de survivre, est révélé, les explications sont données, l'horreur s'installe, par petites touches. Tout est décrit du seul point de vue de Defred que l'on apprend à connaître tout doucement, on s'y attache et toute l'étendue du désastre qu'elle est en train de vivre nous apparaît de plus en plus nettement. Les nombreux flashbacks aident à reconstituer l'histoire, les pièces s'assemblent au fur et à mesure de la lecture. On est captivé, on ne peut plus quitter Defred. Exact, j'ai eu des difficultés de compréhension au début mais le paysage se débroussaille peu à peu... Je pense un peu au style de Philip K. Dick. Laconique, nous en disant le moins possible pour nous en faire comprendre (et craindre) le plus... | |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Margaret Atwood Dim 7 Juil 2013 - 23:01 | |
| Chaque fois que j'entends parler de ce roman, je retrouve cette atmosphère effrayante qui m'avait tant plu à l'époque de ma lecture. Merci pour ton commentaire Coli, ce livre ne se laisse vraiment pas oublier. | |
| | | GrandGousierGuerin Sage de la littérature
Messages : 2669 Inscription le : 02/03/2013
| Sujet: Re: Margaret Atwood Lun 8 Juil 2013 - 11:28 | |
| @Coli : Magnifique commentaire, comme tu as l'habitude de nous en dispenser. Bravo | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Margaret Atwood Lun 8 Juil 2013 - 14:30 | |
| Oui, Colimasson, c'est un très beau commentaire que tu nous offres là, et qui me donne envie de me replonger dans du Atwood.
Personnellement, je n'ai lu d'elle que le recueil de nouvelles L'œuf de Barbe bleue, et je suis vraiment restée sur ma faim.
La nouvelle principale qui donne son titre au recueil m'est apparue d'une banalité sans nom, et d'un "modernisme" sans intérêt. Une trentaine de pages nous raconte l'histoire d'une femme au foyer, Sally, qui - pour s'accorder un peu de loisirs dans un quotidien sclérosé - adhère à un atelier d'écriture. Lorsqu'on lui demande de réécrire une nouvelle version du conte Barbe bleue en remplaçant la clé par un oeuf, elle se surprend à écrire un texte qui la renvoie à sa propre vie. Des inquiétudes apparaissent quant à la possible infidélité de son mari. Et si c'était avec sa copine qui est également la voisine ? Voilà, que Sally regarde différemment son entourage et s'interroge sur l'amour et le sexe.
L'œuf de Barbe bleue représente symboliquement son mari, et elle comprend que, malgré les années passées ensemble, elle ne sait pas ce que renferme la coquille !
Un semblant d'analyse de l'identité masculine est esquissé, avec un peu d'humour, mais la thématique - vu et revue du couple de classe moyenne qui s'ennuie - est abordée de façon bien trop classique.
J'ai un souvenir très flou des autres nouvelles, mais dans l'ensemble, je n'ai pas aimé.
La servante écarlate me réconciliera sûrement avec Atwood ! |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Margaret Atwood Ven 12 Juil 2013 - 19:36 | |
| Je l'espère pour toi | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: Margaret Atwood Sam 13 Juil 2013 - 7:47 | |
| Oui, brillant commentaire Coli, je l'ai lu dans son ensemble mais j'y reviendrai suite à ma lecture en chaîne, je viens d'en lire les cent premières pages (merci Aaaliz)
Pour l'instant je suis complètement embarquée dans cette atmosphère surréaliste, et tout à fait déroutante. On suit l'héroine dont on ne connait rien du passé ni du pourquoi de sa situation. Petit à petit des informations nous sont livrées, des réminescences d'un autre temps où la liberté existait et où un certain Luke partageait sa vie. Le puzzle se reforme doucement (bien que l'adjectif ne corresponde pas vraiment)
Tout est plutôt délicieusement glaçant, effrayant dans sa précision et sa mécanique de déstructuration de l'individu qui perd totalement la moindre parcelle d'autonomie. J'adore... | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Margaret Atwood Dim 14 Juil 2013 - 20:11 | |
| - Aeriale a écrit:
Pour l'instant je suis complètement embarquée dans cette atmosphère surréaliste, et tout à fait déroutante. On suit l'héroine dont on ne connait rien du passé ni du pourquoi de sa situation. Petit à petit des informations nous sont livrées, des réminescences d'un autre temps où la liberté existait et où un certain Luke partageait sa vie. Le puzzle se reforme doucement (bien que l'adjectif ne corresponde pas vraiment)
Cette situation est déstabilisante et avait presque failli me décourager au début... ç'aurait été bien dommage ! Passées les 20 premières pages, on se laisse prendre au jeu... | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: Margaret Atwood Jeu 25 Juil 2013 - 16:33 | |
| - colimasson a écrit:
- Cette situation est déstabilisante et avait presque failli me décourager au début... ç'aurait été bien dommage ! Passées les 20 premières pages, on se laisse prendre au jeu...
Carrément oui! -La servante écarlate-Je ne vais pas refaire le résumé, pas mal de parfumés l'ont déjà fait et très bien. J'ai tout comme vous été emportée par ce thème angoissant au possible, parce que quasi réaliste, où une république intégriste, mue par la préservation de l'espèce et en réaction à une société parvenue à ses limites libertaires, instaure par la force un régime totalitaire niant les droits de chacun, et principalement ceux des femmes (mais pas que) C'est absolument terrifiant, d'emblée Margaret Atwood instaure un climat étrange et glaçant dont elle ne nous délivre les clés que peu à peu, sans doute pour maintenir au maximum cet état. On tâtonne à pas craintifs derrière ceux de Defred, tentant de déchiffrer ses silences et partageant ses peurs et ses manques, rabaissée qu'elle est au statut de reproductrice. Aucune liberté n'est tolérée, aucun échange autres que ceux admis (avec les Marthas ) tout est sous contrôle. Un passé nié, un présent imposé et un futur qu'elle n'ose même pas entrevoir, tout est absolument effroyable. J'ai beaucoup aimé ce roman, l'auteure met en garde et de façon d'autant plus convaincante qu'elle ne nous impose par une fin véritable (même si on suppose une fuite pour la narratrice, on ne sait pas réellement ce qu'il advient) ni un récit précis de son passé. Elle joue constamment sur la vraisemblance, ses personnages ne sont ni blancs, ni noirs, ils sont tous piégés par ce système pervers et cherchent l'évasion dans ses moindres failles (bien aimé le personnage du Commandant) Sa description de ce monde apocalyptique tient la route car il est décrit dans les moindres détails (lors des Commissions ou des Cérémonies par exemple) mais le glauque de certaines scènes laisse souvent place à de superbes échappées poétiques qui donnent une respiration. Rien n'est pesant. Il y a une grande maîtrise dans tout ça, on sent bien quelles sont les intentions de l'auteure, pourtant le ton n'est jamais appuyé et elle nous laisse toujours libre d'interpréter. En partant de l'individu ( les sentiments de Defred sont parfaitement suggérés sans être totalement analysés ) elle rebondit sur un possible phénomène de société, et sur une réflexion qui demeure très présente, le livre refermé. C'est très fort! | |
| | | Heyoka Zen littéraire
Messages : 5026 Inscription le : 16/02/2013 Age : 36 Localisation : Suède
| Sujet: Re: Margaret Atwood Jeu 25 Juil 2013 - 17:24 | |
| Rhooo ça donne envie ! J'ai Dans les coulisses du musée à lire avant. | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Margaret Atwood Jeu 25 Juil 2013 - 17:46 | |
| Décidément, c'est vraiment le livre à lire ! | |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Margaret Atwood Jeu 25 Juil 2013 - 17:54 | |
| - Queenie a écrit:
- Décidément, c'est vraiment le livre à lire !
N'hésite pas, il devrait vraiment te plaire. Super com Aériale, il rend bien compte de cette atmosphère un peu étrange et surtout effrayante qui pour sûr ne peut pas laisser indifférent. | |
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| Sujet: Re: Margaret Atwood | |
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