Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Samuel Fuller

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MessageSujet: Re: Samuel Fuller   Samuel Fuller - Page 2 EmptyDim 11 Mai 2014 - 22:33

Samuel Fuller - Page 2 Underw10

Underworld USA / Les Bas-fonds new-yorkais (1961)

Fait partie des Samuel Fuller qui ont la cote et c'est compréhensible ! Et pour être noir, c'est noir de noir.

Tolly Devlin, 14 ans et déjà en train de mal tourner voit son père se faire tabasser à mort par quatre gangsters. La vengeance deviendra son unique but. Basés sur des articles de journaux parlant de la mafia, de ses activités et de son organisation, le film va nous faire suivre ce Tolly Devlin que l'on retrouve adulte, du bagou, démmerdard mais on sent qu'il reste une petite frappe. Toujours est-il que pour se venger il va grimper les échelons...

Et jouer un double jeu avec un procureur qui courre autrement après les mêmes types. Au milieu deux femmes, Sandy qui est un peu la mère par défaut de Tolly et Cuddles, superbe blonde qu'il sauve d'un mauvais coup certainement fatal...

Le truc c'est que les mafieux sont pourris, les flics corrompus ou relativement impuissants et notre héros a quelque chose de mesquin, mauvais et froid. Les gens sont des moyens et pas beaucoup plus. Quand même la blonde amène le questionnement mais ce n'est pas facile.

Filmé assez brute, expéditif, sec, méchant. Avec ses figures très tranchées, extrêmement efficaces, envahissant l'écran, ça marche !!! et fort. Les présences sont saisissantes et le film n'est pas lisse sous tous les angles.

Pourtant, pour je ne sais trop quelles raisons et malgré ses évidentes qualités, par rapport à d'autres film de Fuller, il me manque un petit quelque chose ? Très motivé et réussi (si, ça marche terriblement ces acteurs !) mais un rien trop expédié ?

Les deux personnages de femmes sont en retrait dans ce catalogue de brutes en costume mais je les trouve particulièrement réussis incarnant à la fois des personnages types et nourrissant le propos du film de façon substantielle, de façon beaucoup plus subtile que ce qu'on aurait pu attendre.


Samuel Fuller - Page 2 Underw11    


Samuel Fuller - Page 2 63562210
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MessageSujet: Re: Samuel Fuller   Samuel Fuller - Page 2 EmptyLun 12 Mai 2014 - 22:42

pour l'ambiance : clic (et c'est quand même bien bien fichu !)

c'est dommage on entrevoit qu'à peine la déco de l'arrière salle du bar ou le type décroche le téléphone, à voir plus en détail il y a un ensemble de petits tableaux qui pourrait être surprenant ?
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MessageSujet: Re: Samuel Fuller   Samuel Fuller - Page 2 EmptyLun 12 Mai 2014 - 22:50

et :

Citation :
The studio nixed Fuller's brash concept for a title sequence depicting the comely members of a prostitute's union forming a map of the United States with their bare backs and the post-credits assassination of the union leader, who has the barrel of a revolver thrust into her mouth and her brains blown out by a Mafia gunsel. Undaunted by the front office censorship, Fuller shifted the focus of the story to an underworld loner and his quest to bring about the fall of the gang bosses responsible for the murder of his father. Briskin and the suits at Columbia approved of this new tack, assuring Fuller that "the public loves revenge."

clic le reste du petit article


et plus on y pense plus il est solide le film ?
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MessageSujet: Re: Samuel Fuller   Samuel Fuller - Page 2 EmptyDim 18 Mai 2014 - 22:53

et une petite séquence ou le bonhomme personnage ! parle de son boulot : cinéma cinémas 1982
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MessageSujet: Re: Samuel Fuller   Samuel Fuller - Page 2 EmptyDim 3 Aoû 2014 - 16:37

Samuel Fuller - Page 2 Crimso10

The Crimson Kimono (1959)

Un générique en studio d'artiste avec un petit tableau de femme en kimono qui progresse au fur et à mesure, le meurtre d'une strip teaseuse, c'est le début du grand écart. Un duo de détectives est sur l'affaire, un américain "caucasien" et un américain d'origine japonaise, deux super potes, vétérans de la guerre de Corée, leur piste tourne vaguement autour de quelque chose de japonisant, mais surtout le film ne suit l'enquête que comme un prétexte et un exhausteur de suspens sentimental. L'essentiel du film est à chercher du côté du triangle amoureux qui se forme entre les deux policiers et Chris, la témoin numéro un.

Et comme on est chez Fuller, on avance façon locomotive mais le paysage vaut le détour. La vraie romance bascule sur le couple entre Joe, l'américano-japonais et Chris et le film ne joue pas la carte du racisme ordinaire mais celle du poids de celui-ci et sans doute celui de la non mixité des communautés reposant plutôt sur des non-dits. Et c'est assez réussi, avec une dimension aggravée par la position de vétéran et de policier zélé.

Le final recoupe le doute de cette thématique avec un plus classiquement tragique d'amour jalousie qui pousse au crime, comme une (jolie) touche d'humanité simple et crue pour finir d'emballer cette affaire décalée, revendicatrice, rageuse même, mais non dénuée de finesse.

Et puis il y a tout un recul et une utilisation des images attendues, préfabriquées, l'autre flic Charlie Bancroft sûr de lui, des contextes, des contrastes, les pas faits de temps en temps un peu trop bas, le sentiment d'une frontière avec les bas-fonds ou avec...

Improbable si on devait trop y penser, ce sont les petites touches et la volonté farouche qui font du film un vrai solide bon film pas exactement convenu.

Samuel Fuller - Page 2 Vlcsna56
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MessageSujet: Re: Samuel Fuller   Samuel Fuller - Page 2 EmptyDim 8 Mar 2015 - 22:30

Samuel Fuller - Page 2 I_shot10

I Shot Jesse James (1949)

Jesse James tué d'une balle dans le dos par un de ses acolytes, Bob Ford.

Avec Preston Foster, Barbara Britton, John Ireland et Reed Hadley, Samuel Fuller dont c'est le premier film propose une possibilité à la fois très noire et très romantique, un truc encore un peu bancal mais assez vicéral et plutôt étonnant.

Jesse James c'est le super truand avec la cote auprès des braves gens, presque un Robin des Bois de l'Ouest. Mais sa dévouée femme se fait beaucoup de mauvais sang et il envisage de raccrocher. Le fougueux Bob Ford est amoureux d'une jeune actrice qui se fait aussi du mauvais sang et l'épouserai bien si...

Et là il est question d'une amnistie en échange de Jesse James et Bob Ford, fou d'amour passe à l'acte. Méprisé de tous et torturé par son geste il est aussi rejeté par Cinthy (l'actrice qui s'explique mal le geste). Il part donc faire le mineur avec son rival amoureux, le plus tranquille Kelley.

Ça marche plus ou moins tout ça mais ça ne peut pas finir bien.

Assez plan plan quand même le film fait quand même son effet avec le quotidien peinard de Jesse James ou certaines relations pas trop compliquées à côté de celle qui dégénère. On ajoute une belle baston de bar et le drame intemporel mais un peu forcé à tout le décor nécessaire pour le torturé Bob Ford/John Ireland (un faux air de JCVD ?) et quelques effets pas si mal foutus pour jouer de l'obscurité.

Avec en prime une paire de moments tendus comme une chansonnette moqueuse en tête à tête par un terrifié troubadour de passage il y a ce qu'il faut pour tenir l'intérêt pendant les 80 minutes de ce western fauché et qui laissera quelques traces !

(Il y a les petites touches qui font la différence).

Samuel Fuller - Page 2 Bscap010
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MessageSujet: Re: Samuel Fuller   Samuel Fuller - Page 2 EmptyMar 10 Mar 2015 - 21:46

pas de bande-annonce mais... chansonnette !

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MessageSujet: Re: Samuel Fuller   Samuel Fuller - Page 2 EmptyDim 21 Juin 2015 - 23:01

Samuel Fuller - Page 2 4136a10

China Gate (1957)

On peut voir le film de deux façons. D'un côté un film d'aventure/guerre armé d'une femme fatale et respectant scrupuleusement certains impératifs du moment, la guerre froide donc où ce qui pourrait vous arrivez de pire serait d'être communiste.

Carrés de jungle en studio, exotisme, personnages typés et charismatiques (Angie Dickinson, Nat 'King' Cole, Lee Van Cleef et quelques autres), des ruines aussi dont l'usage est toujours très maîtrisé par Samuel Fuller, on aurait un film de seconde zone correct mais auquel il manquerait quelques atouts pour le faire sortir du lot.

L'autre côté du film, aussi fullerien que son côté direct est rendu encore un peu plus pertinent par l'histoire. En effet l'action ne se déroule ni en Corée ni au Vietnam, ou presque car elle a lieu dans les derniers jours de la guerre d'Indochine. Dans un village proche de la frontière chinoise des légionnaires à bout d'énergie et de ressources tentent un dernier coup pour sauver les meubles. Pour cela ils ont besoin de la cabaretière locale dite Lucky Legs qui fait du business des deux côtés et pourrait avoir ses entrées chez l'ennemi et découvrir où sont cachés les dépôts d'armes et bombes utilisées pour mettre à genoux les français.

Un seul truc l'intéresse Lucky Legs c'est mettre son gamin à l'abri. Un gamin comme elle métisse mais plus typé asiatique. Ah ! le drame, c'est pour ça que son bonhomme d'américain est parti... et dire qu'il se trouve être maitnenant l'artificier chez les légionnaires. Et tout ce petit monde doit partir dans la jungle !

Dans la jungle on retrouve donc une femme, deux trois français, un polonais, un allemand, un noir américain, un blanc américain... le principal sujet du film est le comportement du type qui s'est enfui, bien que très amoureux, parce que son fils, désiré pourtant, n'était pas assez blanc. Tout le monde lui fait la gueule et respecte énormément au delà des ragots cette femme déterminée.

Ce racisme qui revient sans cesse est mis en place sans détour et cette part du film marche très bien, grâce aussi au discret mais très efficace contre poids du personnage de Nat King Cole. Mais il y a aussi un retour non dénué d'intérêt sur les ennemis d'hier et d'aujourd'hui. Les "communistes" était des alliés, aujourd'hui un allemand se bat avec des américains (et des français) contre eux. Un noir a libéré les camps et enterré des russes... on se détache et on compense le message simpliste du film pour prendre un peu de hauteur. Une hauteur qu'on continue de prendre bien qu'un peu à l'envers avec le méchant de service : Cham/Lee van Cleef, ancien instituteur rêvant de devenir cadre du parti à Moscou, ambitieux donc qui travaille avec les Chinois pour mieux aller voir ailleurs ensuite, les moyens mis en oeuvre et les victimes si ce ne sont les finalités de son action l'intéresse potentiellement moins que sa carrière. A la fois vrai démontage (redoutable dans le principe) du camp adverse et façon de ramener les idéaux au plus près.

Disons à celui qui vit à côté quelque soit sa couleur et si possible dans la paix ?

Pour son manque de compromis là où sa compte et pour sa franche détermination à jouer les héros qu'il veut, et pour son savoir faire sans chichis Samuel Fuller sera toujours Samuel Fuller et ça fait beaucoup !

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MessageSujet: Re: Samuel Fuller   Samuel Fuller - Page 2 EmptyLun 23 Nov 2015 - 21:03

Samuel Fuller - Page 2 Run210


Run of the Arrow / Le Jugement des flèches (1957)

Avec Rod Steiger, Sara Montiel, Charles Bronson

Alors que les généraux Lee et Grant signent la fin de la Guerre de Sécession, un soldat sudiste tire la dernière balle et blesse gravement un adversaire. Plus tard ne pouvant se résoudre, comme sa mère ou ses compagnons d'armes, à accepter la paix et à oublier les morts de ses frères il décide de rejoindre les Sioux. Pas pour se venger mais pour ne pas faire la paix.

Sauvé par une femme de la tribu du "jugement de la flèche" (en gros se faire courser par les guerriers jusqu'à ce que mort s'en suive) il s'intègre au groupe. Missionné par le chef auprès de la cavalerie pour guider les bâtisseurs d'un fort vers un lieu où les bisons ne seront pas perturbés il se retrouve confronté à ses inimitiés profondes.

Et tout se complique quand de part et d'autres des va-t-en-guerre provoque l'explosion de violence d'une bataille que l'on sait finalement pour les uns comme pour les autres perdue d'avance.

Avec des dehors (et quelques raccourcis) un peu simple ce petit western propose donc une trame complexe autour de trois identités fortes et iconiques de la culture américaine, un paradoxal film de guerre qui préfère à la mise en avant des racines du conflit se concentrer sur les termes de la paix et sur les dégâts déjà causés (jusqu'à la situation peu enviable des indiens dont l'ombre plane sur le film).

Et entre la petite famille recomposée et des morts accidentelles ou inutiles on peut dire que le film choisit bien ses arguments. Rod Steiger entre la rage tenace et l'incompréhension, la tentation d'un abandon livre un personnage assez fort quoique impuissant à résoudre ses tourments ou à empêcher le pire d'arriver.

Un film de paix en forme de western loin d'être simpliste.

Le genre fait qu'on perd quelques images criantes de vérité comme on en trouve souvent chez le réalisateur mais les qualités de l'écriture rappellent qu'il est ça et pas seulement.

Vrai beau film.





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MessageSujet: Re: Samuel Fuller   Samuel Fuller - Page 2 EmptyMer 25 Nov 2015 - 16:29

Coup sur coup, Fuller et Huston ! Deux réalisateurs majeurs mais dont j'ai vu peu de film, au final. Tu donnes envie de combler ces lacunes ! Et pour Samuel Fuller, ça fait plusieurs (dizaines) d'années qu'il faut que je voie "Forty guns", en plus.
Tout ça à cause de Gotlib - une case dans "Rubriques-à-brac"...
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MessageSujet: Re: Samuel Fuller   Samuel Fuller - Page 2 EmptyMer 25 Nov 2015 - 22:52

et puis je commence à me sentir seul sur le fil rire

bande-annonce, à revoir quelques images dedans et quelques images des autres films sur le fil ça fait déjà du bien :

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MessageSujet: Re: Samuel Fuller   Samuel Fuller - Page 2 EmptyMar 29 Mar 2016 - 23:09

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Forty Guns (1957)

Collection : regardons un drôle de western qui déménage. Dans le fond thème habituel de l'ouest qui change, bientôt on va ranger les colts et se réveiller civilisés on trouve un trio d'hommes de loi, des frères d'ailleurs, l’œil vif et la main sûre et une femme avec sous ses ordres "quarante tueurs". La proprio du coin c'est elle, le shérif c'est à elle, elle fait ce qu'elle veut, comme elle veut, à commencer par les chevauchées sauvages sur les routes du coin avec son gang au grand complet : scène d'intro de dingues, en large qui claque sous un ciel miraculeux.

Dans la petite ville entre chanson chantonnée en playback et traveling arrière de folie sur un exquis visage, on glisse en format large avec une facilité déconcertante. Problème le frère de la dame est un petit con violent. Face à face et gros plan sur regard impassible sans passer par la case Sergio Leone.

Anyway. Une tempête de malades aussi, une contre plongée en béton, bref, Fuller n'arrête pas dans ce film, c'est vif et ça joue l'esbroufe du format large avec un plaisir évident et partagé. 1957, "petit" western. Ah, ça calme, on n'en finit pas de découvrir qu'on savait décidément bien s'y prendre "avant".

Mais avec tout ça ? De la romance bien sûr, crépusculaire certes, gothique ? La belle (Barbara Stanwyck... présence !) qui n'est plus dans sa première jeunesse et le beau (Barry Sullivan ) qui ne l'est plus non plus, c'est le couple qui compte dans le film. Mais raccrocher n'est pas si facile...

Sans doute pas parfait mais attachant, charismatique, pas lisse et surtout fichtrement étonnant quand on se prend en pleine face ses féroces effets de style.

On peut avoir des attentes et être surpris, et tant mieux !

Et c'est un western dans lequel on se lave :

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intro ? sur grand écran ça devait donné terriblement !

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