Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Elisabeth Vonarburg

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Arabella
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MessageSujet: Elisabeth Vonarburg   Elisabeth Vonarburg EmptyMer 31 Déc 2008 - 15:42

Elisabeth Vonarburg


Elisabeth Vonarburg Eva20210



J'ai emprunté la biographie et la photo sur le site de l'auteur
http://www.noosfere.org/heberg/auteurstf3/sommaire.asp?site=58



Née en France le 5 août 1947, Elisabeth Vonarburg fait des études supérieures à Dijon, avec un mémoire de thèse de maîtrise portant sur la SF et le fantastique. Après une agrégation de Lettres Modernes en 1972 et un peu d'enseignement, elle émigre au Canada et s'installe au Québec en 1973. Détentrice depuis 1987 d'un doctorat en création littéraire, mais écrivaine "à plein temps" comme on dit, c'est-à-dire sans emploi régulier, elle vit à Chicoutimi, désormais arrondissement de la grande ville de Saguenay, dans le Moyen-Nord (région du Saguenay-Lac-St.-Jean).

Elle collabore à la revue Requiem dès 1974, et commence à publier des fictions en 1978, avec la nouvelle “Marée haute”, toujours pour Requiem — débutant d'emblée une carrière marquée par des publications internationales, puisque “Marée haute” fut reprise dans l'anthologie Vingt Maisons du Zodiaque de Maxim Jakubowski (édition française : Denoël, "Présence du futur", 1979 ; édition anglaise : New English Library, 1979 ; édition suèdoise : Delta SF, 1980).

Sa nouvelle “L’Œil de la nuit” remporte le Prix Dagon 1978. En 1979, elle organise le premier congrès québécois de SF, "Boréal", à Chicoutimi. La même année, elle anime un premier atelier d'écriture sur la SF, activité qui durera jusqu'à la fin des années 80 et qu'elle a reprise en 2004. Elle récidivera dans l'organisation d'un congrès de SF à Chicoutimi en 1982, en 1988 et en 1999.

Parallèlement à ses activités d'écrivaine, elle est également traductrice de nombreux romans de science-fiction et de fantasy (en particulier l’œuvre de Guy Gavriel Kay) et fut responsable chez Pocket des “Grands temples” consacrés à Anne McCaffrey et Marion Zimmer Bradley. (voir Bibliographie)

Fidèle à la revue Requiem (rebaptisée Solaris en 1979), elle en a été la directrice littéraire de 1979 à 1990, et la rédac' chef de 1983 à 1985, pour en redevenir en 2000 l’une des cinq directeurs littéraires.
Ses romans connaissent des éditions québécoises, canadiennes, anglaise, étatsunienne et allemande — mais, tristement, ne sont plus publiés en France depuis la parution du recueil Janus en 1984 chez Denoël (épuisé). C'est ainsi que, ironiquement, l'écrivaine francophone contemporaine de SF la plus connue dans le monde (elle a eu l'honneur d'une entrée à son nom dans l’Encyclopedia of Science Fiction de Clute & Nicholls, contrairement à la plupart des auteurs français importants) demeure très peu accessible pour les lecteurs français. Jusqu'à ces dernières années, du moins, puisque Chroniques du pays des Mères est sorti au Livre de Poche, et des rééditions chez l'éditeur québécois Alire (distribué en France) ont remis à disposition le principal de l'oeuvre de l'auteure, romans et nouvelles — sans parler bien sûr que la publication chez le même éditeur des cinq volumes de la saga de Tyranaël, ainsi que des deux premiers volumes du roman de fantasy Reine de Mémoire.


Dernière édition par Arabella le Mer 31 Déc 2008 - 15:45, édité 1 fois
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Arabella
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MessageSujet: Re: Elisabeth Vonarburg   Elisabeth Vonarburg EmptyMer 31 Déc 2008 - 15:43

Chroniques du pays des mères




Nous sommes très loin dans l’avenir, la Terre est dévastée suite au Déclin, qui a balayé le monde que nous connaissons, il y a bien longtemps déjà. La société du roman est un monde où les hommes sont rares, et les femmes ont pris leur destin, et le destin de la planète à leur compte. Les hommes n’ont pas de véritable place dans la société, leur seul rôle est la reproduction, organisée et planifiée par les femmes. Avant d’en arriver à cette société, d’autres formes d’organisation sociales ont existé, elles sont évoquées plus que décrites réellement. Et le monde continue à évoluer, et les personnages du roman en sont les acteurs, en tout premier lieu Lisbeï. Nous faisons sa connaissance lorsqu’elle est une petite fille qui grandit à Bethély dans uns communauté de femmes, dominée par la Mère de Béthély, nous découvrons ce monde étrange en même temps que Lisbeï grandit. Devenue adulte, Lisbeï se découvre stérile, quitte Bethély, et se construit peu à peu un devenir propre ; elles sera archéologue et va chercher les vestiges du passé pour essayer de le comprendre. Elle fera d’ailleurs très rapidement une grande et troublante découverte.

Difficile de résumer ce roman subtil, où le sous-entendu et la suggestion ont une plus grande place que des explications claires et univoques. C’est d’une grande complexité, la société décrite est complètement cohérente, même si elle est très différente de la nôtre. Rien n’est simpliste, il y a des aspects positifs et négatifs, et tout peut évoluer dans des sens différents, d’où l’importance de l’engagement de notre héroïne. Les personnages, et en particulier le personnage de Lisbeï sont très convaincants et très bien dessinés. Un roman difficile à abandonner une fois la lecture commencée. Un livre de science fiction très original, qu’il est difficile d’oublier et qui m’a donné envie de lire d’autres romans de l’auteur.
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MessageSujet: Re: Elisabeth Vonarburg   Elisabeth Vonarburg EmptyMar 19 Mai 2009 - 18:35

CHRONIQUES DU PAYS DES MERES
d’Elisabeth VONARBURG
Ed Alire/625p


4ème de Couverture : Au pays des Mères, quelque part sur une Terre dévastée du futur en train de se remettre lentement, les hommes sont très rares. Seules les Captes des Familles-les Mères- font leurs enfantes avec les Mâles. Les autres femmes doivent utiliser une forme hasardeuse d’insémination artificielle. Lisbeï et Tula ne s’en soucient pas trop : filles de la Mère de Bethely, elles grandissent ensembles, sœurs et amies. Mais Lisbeï se révèle stérile et ne pouvant être la Mère comme elle en avait rêvé elle doit quitter Bethely et Tula. Devenue « exploratrice » elle accomplira un autre de ses rêves : découvrir les secrets du lointain passé du Pays des Mères. Mais certains rêves sont difficiles à vivre… »

Ce roman je l’ai découvert il y a une dizaine d’années par pur hasard dans une bouquinerie alors que je cherchais ma ration sf. Il était publié alors au Livre de Poche, l’illustration avait l’air sympa, le titre me plaisait alors je l’ai acheté. Et j’ai eu le coup de foudre à la lecture. Ce n’est pas pour rien qu’il figure dans mon coffre aux trésors, car ce roman est un grand roman, merveilleusement bien écrit, intelligent, et avec des personnages inoubliables avec qui on peut aimer, rire, pleurer, vieillir, découvrir, et je m’arrête là.

Avec Elisabeth Vonarburg, tout est dans la subtilité du propos. Par exemple, l’inégalité des sexes est une réalité dans le Pays des Mères mais ce sont les hommes qui ne sont pas du « bon côté de la barrière » tout jusqu’au langage est féminin et dans la structure politique du pays, ils ne sont pas représentés. Inversion des rôles donc mais une inversion qui n’est pas caricaturale ou grotesque, c’est beaucoup plus subtil que ça en a l’air. La lutte pour les droits des hommes rappelle une autre lutte et ils obtiendront en partie gain de cause dans le roman non par la violence mais par la voie démocratique, le reste c’est affaire de changement de mentalité. Comment faire prendre conscience que nous vivons dans un monde entièrement pensé au masculin jusqu’au langage ? En faisant l’inverse dans son récit, en mettant le monde et le langage au féminin. Pas de démonstration virulente, juste un petit détail qui fait réfléchir.
Mais les chroniques ne sont pas seulement la lutte pour l’égalité des sexes, c’est aussi un voyage dans le passé, une réflexion sur la mémoire et ce qui peut rester des anciennes civilisations qui nous ont précédés et l’interprétation que l’on peut faire (parfois erronée) sur les traces qu’elles ont laissées.
Et puis il y a Lisbeï, l’inoubliable Lisbeï, un des personnages qui m’aura le plus marqué dans ma vie de lectrice. Tout au long du récit, elle évolue, change, se montre parfois bornée et parfois en marge dans la société où elle vit. C’est l’histoire d’une vie avec ses ratés, ses réussites, ses chemins qui ne seront jamais pris parce que…parce que voilà…il y a des évènements dans l’existence qui font que l’on dévie de ce que l’on désirait faire ou avoir. Il est aussi normal aussi que certaines questions restent sans réponse comme dans la vie.
« Est-ce triste ou simplement curieux, ou doit-on s’émerveiller quand on regarde en arrière toutes ces histoires qui sont presque arrivées mais pas tout à fait, qui ont commencé à s’esquisser dans la Tapisserie mais dont les fils détournés sont allés tracer d’autres dessins ? Tous ces autres côtés imaginés, mais jamais mis au monde ? » (extrait)

Je relis ce roman régulièrement. Il est toujours aussi fort, ces personnages sont toujours aussi humains et vrais. Je suis toujours en immersion complète dans le monde du Pays des Mères même si je connais tous les évènements à venir, je suis autant captivée par le récit que la première fois. Même allergiques à la sf vous devriez essayer d’entrer dans ces chroniques du Pays des Mères. Et je m’arrête là avant de vous parler des autres romans de cette auteure incontournable du genre, mais ce n’est que partie remise
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MessageSujet: Re: Elisabeth Vonarburg   Elisabeth Vonarburg EmptyDim 24 Mai 2009 - 21:14

Il me semblait bien avoir vu sur ton Blog Chimère que ce livre te tenait très à coeur, il est vrai que c'est un livre très étonnant.
J'avais lu par la suite Le silence de la cité, qui se situe dans le même univers que Chroniques du Pays des mères, mais à une époque précédente, et qui explique du coup certains éléments. Même si c'est un bon roman, il est à mon sens en dessous des Chroniques, c'est un roman de SF plus traditionnel, avec des éléments vus par ailleurs, même si encore une fois c'est pas mal du tout.
J'ai dans ma PAL les 5 tomes de Tyranael, j'ai aussi acheté le premier tome de Reine de Mémoire au Livre de Poche, mais j'ai l'impression que les tomes suivants ne sont pas prêts de sortir.
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MessageSujet: Re: Elisabeth Vonarburg   Elisabeth Vonarburg EmptyJeu 25 Mar 2010 - 22:24

Tyranaël



1) Les rêves de la mer
2) Le jeu de la perfection
3) Mon frère l’ombre
4) L’autre rivage
5) La mer allée avec le soleil


Il s’agit d’un vaste cycle de Science-Fiction, l’action se passe sur la planète Tyranaël, rebaptisée Virginia par les Terriens. Lorsqu’ils ces derniers arrivent pour la coloniser, d’une Terre mal en point, ses précédents occupants sont partis depuis environ 300 ans, laissant leurs villes, les bâtiments, intacts vais complètement vides des effets personnels. En parallèle de ce que vivent les colons terriens, nous suivons aussi, tout au moins en parti, les événements du point de vue des premiers occupants de Tyranaël, découvrons leur culture, leur histoire, la spécificité de leur planète et leur devenir. Le cycle se déroule sur plusieurs centaines d’années pour les colons terriens (devenus Virginiens) et sur une durée encore plus longue en ce qui concerne les autochtones. Les personnages changent dans les différents volumes, même si certains fils rouges demeurent.


Le tome un, Les rêves de la mer, nous présente les premiers pas des arrivants de la Terre, leur découverte de la planète. Qui commence très mal, car ils sont surpris par un étrange phénomène, La mer, une sorte de substance immatérielle qui envahit une partie de la planète la moitié du temps, détruit tout forme de vie organique, et rend l’utilisation de l’électricité impossible en dessous de 2000 mètres d’altitude. Les premiers explorateurs sont décimés et les contacts étant impossibles avec la planète, le vaisseau s’en retourne d’où il est venu. Mais il reviendra des années plus tard, entre temps des survivants de la première expéditions se sont en partie adaptés à la planète. Nous suivons cette installation, et l’arrivée d’autres colons terriens. La nouvelle société se construit.
Ce récit s’entrecroise avec celui d’Eïlai, une habitante ancienne de Tyranaël, qui a « rêvé » l’arrivée des Etrangers, une arrivée violente et destructrice. Elle regarde ses anciens « rêves », ainsi que ceux faits par d’autres « Rêveurs » et vit de cette façon leurs vies. Nous découvrons également des éléments de sa vie à elle, bouleversée par ces rêves dérangeants.

Dans le tome deux, Le jeux de la perfection, nous suivons l’évolution de la société virginienne deux siècle après. Certains des habitants sont devenus des mutants, développant d’étranges aptitudes. Une lutte pour le pouvoir s’engage. En même temps, le mutant le plus puissant, découvre dans un ancien bâtiment transformé en musée, des mystérieuses plaques, qui ont enregistrés des événements, ou rêves des anciens occupants de la planète. Nous suivons par son intermédiaires certaines d’entre elles.

Le tome trois, Mon frère l’ombre, se passe des siècles plus tard. Les Virginiens n’ont plus de contacts avec la Terre. Une guerre civile interminable se livre entre deux factions. Le personnage principal, Mathieu, est un adolescent qui s’est évadé d’une étrange prison. Il devient un enjeu important entre faction, et recherche son identité. Il va devenir un pont entre les mondes des anciens et nouveaux occupants de la planète.

Dans le tome quatre, L’autre rivage, nous allons dans le monde où sont allés les premiers occupants de Tyranaël, monde désormais accessible à certains Virginiens. Mais le voyage se fait uniquement dans un sens, et les nouveaux venus sont obligés de rester. Ils ont des descendants, mais les mélanges des deux peuples donnent des êtres dépourvus des capacités extraordinaires, et qui sont un peu en marge de la société. L’un d’eux, Lian, va réussir à revenir sur Virginia. En même temps, le contact avec des Terriens est rétabli, la station Lagrange qui renferme des millions de Terriens fuyant leur planète dévastée se dirige vers Virginia, sur laquelle ils pensent trouver les données techniques leur permettant de construire un moteur plus rapide et plus efficace pour pouvoir explorer l’espace et trouver un monde accueillant.

Le dernier volume, La mer allée avec le soleil, se passe encore des siècle après, et il est sensé en quelque sorte expliquer un certain nombre de choses concernant Tyranaël et ses habitants.


Comme ces résumés tentent de le montrer, il s’agit d’un cycle très vaste et complexe, sensé se passer dans un univers plein de mystères et d’inconnu, que nous sommes sensé découvrir petit à petit. Chaque volume place au centre des événements des personnages, en général jeunes, qui d’une façon ou d’une autre sont en marge, qui se sentent différents, et que cette différence pousse à explorer les limites, de leur monde et d’eux-mêmes, ce qui s’avère d’une certaine façon la même chose.

C’est une lecture prenante, les intrigues sont suffisamment bien construites pour tenir en haleine, les personnages en général intéressants. Mais néanmoins, l’ensemble est trop long, il y a des personnages qui se finissent par se ressembler. Et les types de société que nous rencontrons sur de nombreux siècles, sont finalement assez semblables aussi. Je trouve également que les explications sur le fonctionnement de l’univers ne sont pas vraiment satisfaisantes, nous ne saurons jamais grand-chose de la fameuse Mer, ni sur de mystérieux pylônes. Je suis restée sur ma faim sur plusieurs points. Même si la lecture encore une fois est plutôt plaisante, je trouve que l’ensemble ne tient pas ses promesses.
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MessageSujet: Re: Elisabeth Vonarburg   Elisabeth Vonarburg EmptyLun 26 Avr 2010 - 11:13

Je viens de finir 'Chroniques de la Maison des Mères', et j'avoue que j'y ai été plongée avec assez de plaisir, dans ce monde uniquement féminin où se posent à l'envers le problème de la place des hommes dans une société régie par les femmes, où l'on questionne les bases d'une religion établie et reconnue au vu de nouveaux textes récemment découverts, et ce ne sont que les deux thèmes principaux, mais le livre fourmille d'idées et de questionnements....

Un roman étonnant pour ceux qui aiment l'anticipation, un bon roman dans ce genre d'ailleurs difficile où, je ne trouve pas souvent de livres à mon goût. A ce propos, le meilleur que j'ai pu lire ces dernières années s'appelle 'Le Moineau de Dieu' de Maria-Doria Russell. Mais j'avoue que c'est un genre que j'aborde de moins en moins souvent car je suis souvent déçue.
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MessageSujet: Re: Elisabeth Vonarburg   Elisabeth Vonarburg EmptyLun 26 Avr 2010 - 11:27

Contente que tu aies aimé, c'est je pense un livre de SF idéal pour ceux qui n'aiment pas vraiment ou plus vraiment la SF. C'est vraiment très original et bien mené de bout en bout.
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MessageSujet: Re: Elisabeth Vonarburg   Elisabeth Vonarburg EmptyLun 26 Avr 2010 - 12:15

Je note coup sur coup les deux références : Chroniques de la Maison des Mères de Vonarburg et Le Moineau de Dieu de Maria-Doria Russell. A l'instar de Domreader, j'aime beaucoup le genre mais il faut bien sélectionner sous peine d'être trop souvent déçue...
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MessageSujet: Re: Elisabeth Vonarburg   Elisabeth Vonarburg EmptyLun 26 Avr 2010 - 14:48

Et moi je note évidemment Le moineau de Dieu.

jemetate Je ne m'en sortirai jamais avec ce forum.....
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