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| Danny Boyle | |
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+9Marie coline Sophie swallow Babelle Aeriale Marko domreader Pichnette13 13 participants | |
Auteur | Message |
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Marie Zen littéraire
Messages : 9564 Inscription le : 26/02/2007 Localisation : Moorea
| Sujet: Re: Danny Boyle Mar 29 Mar 2011 - 2:18 | |
| -127 heures- Vu en salle, je n'aurais pas dû, je me suis beaucoup, mais alors beaucoup ennuyée..J'attendais vraiment avec impatience qu'il se coupe le bras pour qu'on en finisse et hélas il avait oublié son couteau suisse! C'est sans doute une adaptation fidèle du récit de ce jeune homme au rythme boylien, un Mars, un bras en moins et ça repart, mais je pensais , toujours en m'embêtant ferme, à ce que Sean Penn avait su faire avec Into the wild, dans lequel je m'étais vraiment sentie en phase avec le héros et sa souffrance . Là, absolument pas, et c'est dû, je pense au rythme effréné donné au récit de ce fait-divers. On ne les sent pas, les 127 heures, même dans le physique de James Franco ,c'est dommage. Et pourtant, il aurait déjà dû être un peu fatigué, vu ce qu'il avait déjà fait avant.. Du coup, c'est tout juste si j'ai pu y croire ( avec en plus quelques détails peu réalistes d'ordre médical et chirurgical, si je puis dire..) et pourtant l'histoire est vraie! | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: Danny Boyle Mar 29 Mar 2011 - 9:22 | |
| - Marie a écrit:
- Vu en salle, je n'aurais pas dû, je me suis beaucoup, mais alors beaucoup ennuyée..J'attendais vraiment avec impatience qu'il se coupe le bras pour qu'on en finisse et hélas il avait oublié son couteau suisse! C'est sans doute une adaptation fidèle du récit de ce jeune homme au rythme boylien,
un Mars, un bras en moins et ça repart, mais je pensais , toujours en m'embêtant ferme, à ce que Sean Penn avait su faire avec Into the wild, dans lequel je m'étais vraiment sentie en phase avec le héros et sa souffrance . Là, absolument pas, et c'est dû, je pense au rythme effréné donné au récit de ce fait-divers. C'est marrant comme les impressions peuvent être diamétralement opposées parfois! Nous c'est dans Into the wild que l'on s'est fermement ennuyés (avec Speedy ) et où je n'ai pas ressenti grand chose. Trop long, trop explicatif. Ce que j'ai justement aimé dans le Boyle c'est la rupture de ton qui m'a semblé refléter exactement le mental du personnage: Speedé au début puis en plein marasme dans la seconde partie. J'avais les nerfs (et les émotions) à vif... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Danny Boyle Lun 27 Juin 2011 - 13:53 | |
| - Sophie a écrit:
- Babelle a écrit:
- P-S : me souviens pas du titre du film où de jeunes co-locataires assassinent leur invité en fin de repas s'il répond mal à leurs questions. Ils ont de superbes plans de tomates au jardin...
Je crois que c'était Petits meurtres entre amis; j'avais vraiment beaucoup aimé. Désolé de te contredire mais il s'agit de l'ultime souper avec cameron diaz, courteney B vance et Ron Perlman. Ce film est de Stacy Title et raconte l'histoire de coloc habitant l'IOWA et qui décident que les débats en suffisent plus, il faut passer à l'action. Petits meurtres entre amis raconte l'histoire de trois colocs anglais qui décident d'en héberger un quatrième. Problème, celui-ci meurt le lendemain matin et est découvert par les trois amis dans sa chambre avec une valise pleine d'argent... |
| | | Avadoro Zen littéraire
Messages : 3501 Inscription le : 03/01/2011 Age : 39 Localisation : Cergy
| Sujet: Re: Danny Boyle Ven 10 Mai 2013 - 23:46 | |
| Trance - Citation :
- Commissaire-priseur expert dans les œuvres d’art, Simon se fait le complice du gang de Franck pour voler un tableau d’une valeur de plusieurs millions de dollars. Dans le feu de l’action, Simon reçoit un violent coup sur la tête. À son réveil, il n’a plus aucun souvenir de l’endroit où il a caché le tableau. Ni les menaces ni la torture ne lui feront retrouver la mémoire. Franck engage alors une spécialiste de l’hypnose pour tenter de découvrir la réponse dans les méandres de l’esprit de Simon…
Danny Boyle suit la mode du thriller psychologique à tiroirs mais sans aucune conviction. La mise en place est relativement séduisante avant de basculer vers l'insignifiance et le grand guignol à force de multiplier les rebondissements scénaristiques. Vincent Cassel reprend pour la énième fois le même rôle alors que Rosario Dawson ne trouve jamais sa place dans le puzzle. Avec en supplément une esthétique publicitaire, il ne reste plus grand chose à retenir. | |
| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Danny Boyle Dim 19 Mai 2013 - 22:14 | |
| - Avadoro a écrit:
Trance Parce que son Trainspotting avait surpris et séduit, Danny Boyle jouit d'une réputation passablement surfaite émaillée de films souvent divertissants à regarder mais tout aussi profondément oubliables. Avec aussi cette impression qu'il ne se hisse jamais plus haut que le niveau de ses scénarios. Un bon illustrateur, soit, mais sans regard particulier dans un registre de touche à tout agaçant. Trance n'est rien d'autre qu'une série B rallongée à l'adrénaline, au sexe et à la violence, qui n'a d'autre but que de jouer au plus malin en multipliant les twists jusqu'à ce qu'épuisement s'en suive. Le film ne commence pas mal pourtant, avec une mise en scène élégante et un point de départ qui en vaut en autre. Ca se gâte très vite et, perdu pour perdu, Boyle enchaîne les rebondissements ad nauseam atteignant le point de non retour. Ce qu'il en reste au bout du compte ? Quasi rien, pas même l'interprétation mécanique des Cassel, Dawson et McAvoy. | |
| | | Avadoro Zen littéraire
Messages : 3501 Inscription le : 03/01/2011 Age : 39 Localisation : Cergy
| Sujet: Re: Danny Boyle Ven 12 Fév 2016 - 0:17 | |
| Steve JobsSi le film est réalisé par Danny Boyle, le projet est celui d'Aaron Sorkin et la mise en scène apparait constamment au service de la narration. Loin de proposer une biographie linéaire de Steve Jobs, Sorkin se concentre sur des moments décisifs de la vie publique du cofondateur d'Apple, respectivement en 1984, 1988 et 1998. Le lancement de trois produits (Macintosh, NeXT et l'iMac) devient ainsi le prétexte d'une course contre la montre, où Jobs est confronté à ses propres démons. Des joutes oratoires avec son ancien associé Steve Wozniak, le PDG d'Apple John Sculley, et sa fille Lisa révèlent les failles d'un homme qui cherche à se protéger, à édifier sans cesse des remparts émotionnels pour s'effacer derrière la certitude de son talent et les perspectives d'une innovation historique. Michael Fassbender interprète Jobs comme un bloc de tension toujours au bord de l'explosion, avec une démesure fascinante et souvent poignante tant elle révèle un masque, que son assistante jouée par Kate Winslet tente à la fois d'apprivoiser et de contrarier. Le film est aussi très efficace à travers sa structure presque théâtrale, garantissant une unité de lieu et de temps lors de chaque partie. Mais j'ai finalement trouvé ce pari scénaristique trop artificiel, à l'image de la volonté de résoudre finalement les contradictions du personnage pour l'humaniser. A la fois trop proche et trop distant de son sujet, Sorkin privilégie une dimension spectaculaire à une sincérité et une simplicité d'approche. | |
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